Aliments toxiques...

 

               Prendre conscience de la nocivité des produits industriels et transformés,

               c'est la meilleure façon de retrouver une santé parfois vacillante...

 

 

 

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Préambule

 

Cette page invite chacun à prendre connaissance des aliments les plus toxiques pour son corps. Néanmoins, si vous consommez une partie ou tous ces aliments, il ne faut laisser place à aucune forme de culpabilité, car le seul souhait de vouloir s'améliorer et considérer avec respect son corps est la première marche qui permettra d'évoluer. D'autre part, la santé dans le corps est le signe d'une belle santé psychologique, car cela signifie qu'un équilibre harmonieux a été trouvé dans son existence. Je vous invite pour cela à corriger vos défauts et développer vos qualités, et pourquoi pas, vous lancer dans un chemin spirituel. Bien manger, c'est naturellement être bien en soi, et il n'y a aucun miracle en cela, sauf de prendre sa vie en main, et d'avoir le courage de régler tout ce qui empêche de s'élever et d'évoluer harmonieusement.

 

La nocivité avérée des produits alimentaires industriels

 

Mes cher(e)s ami(e)s, à travers la liste qui va suivre, je ne saurais que trop vous conseiller de prendre conscience de la nocivité des produits industriels et transformés, qui jouent sur vos plaisirs des sens, et ainsi vous lient dangereusement à ces derniers, mais vous le savez bien, au détriment de votre santé et de votre corps qui un jour vous dira "stop". La finalité est toujours la même lorsque l'on ne respecte pas son corps : la maladie. Il s'agit tout simplement de prendre conscience graduellement de la valeur inestimable de rester en bonne santé, et de se détourner aussi vite que possible d'une alimentation dénaturée.

 

Je l'ai dit souvent sur ce site, il me paraît important de comprendre que le monde industriel de l'alimentation est basé sur le profit, et sur la manipulation de nos sens, afin de les rendre esclaves des produits proposés. La majorité des personnes aujourd'hui est réellement droguée, et cela demande du courage de se sevrer de cette alimentation addictive et empoisonnante, mais ce n'est qu'à ce prix que vous retrouverez le pouvoir de votre Vie, et participerez à l'arrêt de méthodes de productions désastreuses pour la planète. Car les produits industriels, en plus de vous détruire, détruisent également la Nature. Cette prise de conscience, comme vous le voyez, est à double niveau, et est l'équation qui permettra à l'équilibre d'être progressivement restauré.

 

Il y a un réveil à l'heure actuelle du monde scientifique et de certaines personnes de tous horizons, qui commencent à comprendre la manipulation généralisée dont le monde a été la victime depuis de nombreuses décennies, par la naissance des ères alimentaires industrielles (et pharmaceutiques d'ailleurs), même si tout n'est pas à jeter bien entendu. Mais cela demandera encore du temps, car cette prise de conscience doit s'étendre également parmi les peuples, totalement drogués par la mise en place de cette alimentation industrielle, et dont la réactivité émotionnelle est encore forte lorsque l'on touche à leur mode de consommation... ce qui montre clairement le pouvoir de cette alimentation toxique sur leur chimie interne ! Voir ici pour comprendre (un exemple parmi tant d'autres !). Bonne lecture à tous(tes) !

 

Autant ne plus rien manger !

 

Certains penseront en effet qu'il n'y a plus grand chose à manger si l'on enlève les aliments de la liste suivante, car ces derniers sont hélas très couramment consommés, mais je dirais bien au contraire qu'il y a une multitude de possibilités, mais qui sort des produits dénaturés ou toxiques que la grande distribution propose, et cela nous demande de nous rééduquer, en abordant une alimentation différente, saine et respectueuse de son corps. Ce n'est que par cette décision de modifier ses habitudes néfastes que chacun pourra retrouver une meilleure santé.

 

 

Menu

 

Le sucre

L'alcool

Le tabac

La viande (et le poisson)

L'ail (et l'oignon)

 

Le lait de vache

Le café (et le thé)

Le chocolat

Le soja, toxique ou non ?

Les boissons sucrées

 

Céréales du petit déjeuner

La "junk-food"

Baguette ou pain blanc

Pâtisseries & viennoiseries

Les glaces industrielles

 

 

Le sucre

 

Je me rappelle encore lorsque j'étais un jeune adulte, et qu'un médecin, dans un grand hôpital, me disait : "Mais non voyons, le sucre n'a jamais fait de mal à personne..." Le corps médical et beaucoup de personnes pensaient ainsi, et nous nous retrouvons aujourd'hui avec l'un des fléaux les plus graves en termes de santé publique que le monde a connu, tellement cet aliment éminement nocif s'est immiscé partout. La dépendance que crée le sucre est aujourd'hui, et depuis de nombreuses années, parfaitement connu, et c'est pour cette raison que pratiquement tous les industriels l'utilisent aujourd'hui pour créer une dépendance à leurs produits toxiques, qui sont vecteurs de la plupart des maladies modernes.

 

Sucres lents et sucres rapides

 

Le cerveau, comme les muscles, a besoin de ce "carburant" indispensable, le glucose, pour fonctionner correctement, mais le souci se situe dans l'indice glycémique de chaque aliment, à savoir si son absorption est rapide ou lente par l'organisme. Le problème d'une trop rapide transformation de certains aliments en glucose  augmente ce dernier dans le sang brutalement, et le corps enclenche alors un mécanisme de régulation. Le pancréas produit alors une hormone appelée insuline, dont le rôle est de réguler le taux de sucre dans le sang, et l'excès de sucre est stocké dans le foie et les muscles, et enfin l'excédent, qui ne peut être absorbé par l'organisme, est transformé en graisse (d'où la cellulite et l'obésité qui finit par en découler). D'autre part, si une personne absorbe trop de sucres rapides, et que son corps ne contient pas suffisamment de sucres lents, le taux de glucose dans le sang va rapidement diminuer, et ce dernier va puiser les réserves disponibles en premier lieu dans le foie, puis dans les muscles, et enfin la personne va se retrouver en hypoglycémie. Il survient alors pour cette dernière une envie irrépressible de consommer du sucre, et si cette personne cède à cela en absorbant des sucreries, elle rentre dans le cercle terrible et sans fin de l'hypoglycémie chronique, et de toutes les pathologies qui y sont associées, que cela soit d'ordre physique ou psychologique. C'est pour cela que le corps a besoin d'un taux de glucose constant dans le sang (environ 1 gr. pour 1 litre de sang), et ce taux ne peut être régulier que par l'absorption d'aliments a l'indice glycémique faible ou moyen, c'est-à-dire une transformation lente des aliments en glucose dans le sang, qui assure à ce dernier un approvisionnement continu.

 

Mais il est un autre facteur important qui intervient. En effet, ce n'est pas parce qu'un aliment à un facteur glycémique moyen ou bas qu'il est bon pour la santé. Certains aliments comme l'ail sont toxiques, tout en ayant un IG bas. Il reste encore un élément à souligner, ce sont les aliments générateurs d'acides et ceux qui sont alcalins (antiacides). Le jus d'orange, qui a un IG moyen de 45, est acide, comme la majorité des jus de fruits  (en ayant pour référence 100 pour le glucose). Alors, que peut-on manger pour être en bonne santé ? Des aliments de préférence à l'IG bas, voire moyen, non acides, non toxiques, et en faisant attention aux mauvaises associations alimentaires ! C'est simple, n'est-ce pas ? Rassurez-vous, je vous propose une liste d'aliments répondant à ces critères.

 

Le sucre est un poison

 

Voici la définition du mot poison : "Substance affectant les fonctions vitales et pouvant provoquer la maladie ou la mort". C'est exactement ce que provoque le sucre à court, moyen et/ou long terme.

 

> En 1912, le docteur Robert Boesler affirme : "La fabrication moderne du sucre a entraîné des maladies complètement nouvelles. Le sucre du commerce n'est rien d'autre que de l'acide cristallisé. Si dans le temps passé le sucre était tellement cher que seuls les riches pouvaient se permettre de l'utiliser, cela était du point économique national, sans conséquence. Mais aujourd'hui quand, à cause de son bas prix, le sucre a entraîné la dégénérescence du peuple, il est temps d'exiger une mise en garde nationale. La perte d'énergie par l'usage du sucre au siècle dernier et au début de ce siècle ne pourra jamais être rattrapée car elle a laissé sa marque sur notre race. (...) Ce qui a été détruit par le sucre est perdu et ne pourra jamais être retrouvé."

 

> En 1924, le Dr Seale Harris décrit pour la première fois la maladie hypoglycémique, qui se caractérise par les symptômes de fatigue chronique, somnolence, sueurs froides, nervosité, anxiété, irritabilité, troubles digestifs, maux de tête etc.

 

> Dans les années 30, le dentiste américain Weston Price fut frappé par la destruction rapide de la denture des Américains, s'accompagnant souvent de l'apparition précoce d'autres maladies dégénératives. Il parcourut le monde entier pendant 12 ans pour étayer et confirmer ses recherches.

 

> En 1957, le docteur William Coda Martin a classé le sucre raffiné dans la catégorie des poisons, parce que ce dernier est totalement dépourvu de ses forces vitales, de ses vitamines et de ses minéraux : "Ce qui reste se compose de glucides raffinés, purs. Le corps ne peut utiliser cet amidon et ce glucide raffinés que si les protéines, les vitamines et les minéraux qui ont été supprimés sont présents. La nature apporte ces éléments en quantité suffisante dans chaque plante pour métaboliser le glucide de chacune de ces plantes particulières. Il n'y a aucun excédent pour des glucides supplémentaires. Un métabolisme incomplet du glucide provoque la formation de métabolite toxique comme l'acide pyruvique et de sucres anormaux possédant cinq atomes de carbone. L'acide pyruvique s'accumule dans le cerveau et le système nerveux et les sucres anormaux s'accumulent dans les globules rouges. Ces métabolites toxiques entravent la respiration des cellules. Elles ne peuvent pas obtenir suffisamment d'oxygène pour survivre et fonctionner normalement. A la longue, certaines cellules meurent. Ceci entrave le fonctionnement d'une partie du corps et c'est le début d'une maladie dégénérative."

 

> En 1958, le professeur R. Steinmann, chirurgien-dentiste, met en évidence l'existence de la présence d'une protection interne de la dent (flux dentinaire) qui empêche la destruction de l'émail par les acides. Ce flux dentinaire est un balayage liquidien qui transite de la pulpe dentaire à la surface de l'émail. Sa production et son efficacité dépendent de notre minéralisation interne, mais aussi de la présence d'une hormone digestive, la ptyaline (qui est une enzyme salivaire) produite par la parotide (glande salivaire) et dont la production est inhibée par une alimentation raffinée.

 

> En 1960, la preuve est faite que le sucre diminue la résistance du corps aux maladies, et en particulier dans les infections staphylococciques, car les staphylocoques se nourrissent de sucre.

 

> En 1970, le docteur John Yudkin déclare : "Premièrement, il n'y a aucun besoin physiologique pour le sucre. Tous les besoins de la nutrition humaine peuvent être complètement comblés sans avoir à prendre une seule cuillerée à thé de sucre blanc, de sucre brun ou de sucre brut, tel quel, dans les aliments ou dans les boissons. Deuxièmement, si seulement une petite fraction de ce qui est déjà connu au sujet des effets du sucre devait être révélée et mise au compte d'un quelconque additif alimentaire, cet additif serait promptement interdit."

 

> En 1980, le docteur Abram Hoffer dit : "le sucre produit une assuétude aussi grave que n'importe quelle autre drogue. La seule différence entre la dépendance envers l'héroïne et la dépendance envers le sucre est que le sucre n'a pas besoin d'être injecté, il peut être consommé immédiatement parce qu'il est disponible et il n'est pas considéré comme une plaie sociale. Cependant, la puissance de la dépendance au sucre est aussi forte que la dépendance à l'héroïne. (...) La dépendance au sucre cause des symptômes typiques aussi graves que ceux qui accompagnent le sevrage de n'importe quelle autre drogue."

 

> Mai 2009 - Magazine "ça m'intéresse" - N°339, page 100 - L'équipe du magazine, avec comme référence des médecins et des nutritionnistes, définit quatre zones avec une liste d'aliments, de la plus à la moins recommandable, en incluant dans la zone 1 des aliments riches en nutriments, pauvres en gras et en sucre, aux produits très gras ou très sucrés dans la zone 4, et en indiquant pour cette dernière zone que ces aliments doivent être consommés en très petites quantités (à fuir et à éviter totalement me paraît encore mieux pour sa santé). Bien entendu, le sucre blanc, sur les 200 aliments proposés, est le tout dernier de la dernière zone. Avec lui se trouvent les bonbons, confiture, sodas, sirops, glace, mousse au chocolat, gâteau, pâte à tartiner au chocolat, beignets, croissants, etc.

 

> Juillet 2009 - Magazine "Science & Vie" - N°1102, page 110 - L'équipe de Serge Ahmed, de l'université de Bordeaux, a mené une expérience montrant que le sucre a des effets similaires à ceux de la cocaïne sur des rats, en termes de dépendance.

 

> Janvier 2013 - Magazine "Science & Vie" - N°1144, page 27 - Alzheimer serait bien favorisé par l'excès de sucre. L'excès de glucose dans le sang provoqué par le diabète contribuerait au développement de la maladie d'Alzheimer (équipe de Pamela Maher, de l'institut Salk aux Etats-Unis).

 

Pathologies liées au sucre

 

Voici quelques pathologies liées à l'absorption continuelle de sucreries (IG élevé et aliments acides), aux dépens des sucres lents, donc d'un taux glycémique dans le sang défaillant :

 

Pathologies d'ordre physiologique : cancers, diabète, obésité, troubles gastro-intestinaux, sentiment de fatigue répétée, toujours faim ou soif, avec des envies de sucreries répétées, transpiration, tremblements, palpitations, maux de têtes, concentration défaillante, allergies, crampes, extrémités des membres froides, etc.

 

Pathologies d'ordre psychologique : dépression, anxiété, peur de tout, comportement agressif ou violent, instabilité émotionnelle, crises d'hystérie ou de larmes, impulsivité, grande susceptibilité, distraction permanente, morosité, insomnie, incapacité d'adaptation, tocs, tics, etc.

 

Les différents sucres

 

> Le glucose : Amidons des hydrates de carbone

Le glucose est largement fourni par une alimentation normale et saine, pour la bonne raison que tous les aliments peuvent être transformés en glucose ! La consommation de sucre est donc totalement inutile et dangereuse.

 

> Le fructose : Fruits et miel

Le fructose a un indice glycémique bas (20), mais les jus de fruits qui en contiennent sont souvent acides, et donc agressifs pour l'estomac et pour le corps. Préférez les fruits entiers et frais en petites quantités. D'autre part, il est utile de savoir que le fructose pur, dépourvu d'enzymes ou de nutriments, vole les minéraux de l'organisme en compensation, et agit donc comme le sucre blanc ! Quant au miel, il est extrêmement concentré en sucre, avec un IG d'environ 90, et donc ce dernier est fortement déconseillé.

 

> Le saccharose : Canne à sucre (le plus commun)

Le poison qu'est le saccharose, ou sucrose, est le sucre "commercial" extrait de la betterave sucrière ou de la canne à sucre. Ce sucre est le constituant du sucre blanc. Le saccharose est riche en calories, mais complètement dénué de vitamines et de minéraux. Le problème, c'est que le saccharose, étant dénué de minéraux, les consomme dans l'organisme pour sa transformation en glucose dans le sang, d'où son effet déminéralisant, et toutes les conséquences désastreuses citées dans cet article ! Il est également important de noter que tous les produits raffinés sont extrêmement toxiques pour la santé (farine blanche, pâtes blanches, pain blanc, riz blanc, etc.), ces derniers ayant un IG très élevé, qui de surcroît "pompent" sur les réserves du corps les minéraux pour être assimilés (comme le sucre blanc) : le résultat est aussi désastreux pour la santé que le sucre !


> Le lactose :
(galactose + glucose) : Lait

Véritable poison pour l'homme, le lactose (sucre du lait), est parfaitement inadapté pour l'homme. Voici les symptômes les plus courants de l'intolérance au lactose : diarrhées, ballonnements, douleurs et crampes abdominales, vomissements et constipation. Ces troubles peuvent apparaître dans les minutes qui suivent l'absorption des aliments qui en contiennent, mais certaine fois après plusieurs heures ou parfois le lendemain. En fonction de la sévérité de l'intolérance, les symptômes peuvent durer plusieurs jours ! Mais il est intéressant de préciser que la littérature spécialisée mentionne d'autres troubles attribués au lactose : fatigue chronique, humeur dépressive, membres douloureux, vertige, maux de tête, abattement, troubles de concentration, eczéma, etc.

 

> Le maltose : sirops ou malt de céréales (sirop de riz ou de blé, mais aussi d'orge, de maïs, etc.)

Même si le maltose est de loin préférable au saccharose raffiné (minéraux conservés), saviez-vous que l'indice glycémique du sirop de blé ou de riz est de 100 ! En bref, il est de suite transformé en glucose dans le sang. Si vous n'arrivez pas à vous séparer du sucre dans l'immédiat, préférez ces sirops, mais dépensez-vous ou faites une activité sportive après absorption. De cette façon, il sera éliminé, plutôt que d'être stocké sous forme de graisse si vous en consommez trop ! Il existe bien le sirop d'agave, à l'IG très bas (15), mais ce sirop contient 90% de fructose (non naturel de part sa fabrication) pour 10% de glucose (quand il est non dilué), donc il agit comme le fructose quasi pur, et les inconvénients qu'on lui connaît !

 

> Les édulcorants de synthèse : aspartame, saccharine ou cyclamate

Si vous souhaitez avoir de graves problèmes de santé (physiologiques et psychologiques), n'hésitez pas à consommer ces produits chimiques régulièrement ! Les édulcorants ne sont que des substances chimiques au pouvoir sucrant supérieur à celui du saccharose ou du sucre blanc, mais totalement dépourvus de valeur énergétique. Ce sont des sucres artificiels qui ont pour effet de stimuler la libération d'insuline, et pour conséquence une hypoglycémie possible aggravée par l'absence de vrai glucose, et donc l'ambiguïté des signaux de faim et de satiété que ces produits chimiques provoquent.

 

Source internet : "Selon les chercheurs et les médecins étudiant les effets indésirables de l'aspartame, les maladies chroniques suivantes peuvent être causées ou aggravées par son ingestion : tumeurs au cerveau, sclérose en plaques, épilepsie, syndrome de fatigue chronique, maladie de Parkinson, maladie d'Alzheimer, retard mental, lymphome, malformations congénitales, fibromyalgie et diabètes. L'aspartame est composé de trois produits chimiques : l'acide aspartique, la phénylalanine et le méthanol. Le livre "Prescription for Nutritional Healing" de James et Phyllis Balch, range l'aspartame dans la catégorie des poisons chimiques."

 

> Alternative au sucre 1 : La stevia semble être un produit sucrant intéressant : indice glycémique très bas (parfait pour les diabétiques, obésité...), zéros calories (ne fait pas grossir, et pas de cellulite), alcalin (rare, mais c'est un "faux sucre" qui n'est pas acide), etc. Et un pouvoir sucrant totalement inimaginable (300 fois supérieur au sucre)... sans les très nombreux désagréments du sucre. A voir néanmoins sur le temps et les différentes études sur ce produit dans nos pays (utilisé depuis des siècles au Paraguay et depuis longtemps au Japon).

En savoir plus ici.

 

> Alternative au sucre 2 : Le xylitol semble, tout comme la stevia, être un produit nettement plus sain que la quasi-majorité des sucres proposés dans le commerce (IG bas, alcalin, etc.). A voir également sur le temps. Voici un lien qui semble intéressant : Le xylitol.

 

Le sucre et le cancer

 

Le docteur Otto Heinrich Warburg (1883 - 1970), médecin physiologiste et biochimiste allemand et docteur en chimie et en médecine, fut lauréat du Prix Nobel de physiologie ou médecine en 1931 pour sa découverte de processus-clés de la respiration cellulaire et de différents systèmes enzymatiques. Il a démontré que les cellules cancéreuses changent leur métabolisme, pour passer à un métabolisme anaérobie (qui n'a pas besoin d'oxygène). Il a donc formulé l'hypothèse que le cancer ne peut pas se développer dans un milieu riche en oxygène. Et les cellules privées d'oxygène par l'accumulation de l'acide pyruvique (conséquence d'un métabolisme incomplet du glucide) provoquent la mort de certaines cellules, ou... de leurs transformations en cellules cancéreuses ? Le lien est vite établi...

 

Il a également démontré que le métabolisme des cellules cancéreuses dépendait de leur consommation de glucose. D'ailleurs, La TEP (Tomographie par émissions de positions) ou Pet scan, est une technique d'imagerie nucléaire qui fait appel au noyau de certains atomes. En pratique, l'injection intraveineuse d'un traceur radioactif spécifique permet d'obtenir des informations sur le fonctionnement des tissus ou de l'organe exploré. On peut ainsi visualiser des foyers de cellules consommant trop de glucose, comme les cellules cancéreuses du fait de leur importante activité et de leur rapide multiplication. En résumé, si l'on note dans une région une consommation excessive de glucose, il est fort probable qu'il s'agit d'un cancer. Il est ainsi tout à fait possible de conclure que le sucre pourrait nourrir les cellules cancéreuses, et provoquer également sa croissance.

 

Juste pour information, j'ai connu une personne très proche il y a de cela une quinzaine d'années, qui avait un cancer généralisé des organes digestifs. Son état était si dégradé que les médecins ne lui donnaient que trois mois à vivre au grand maximum. En effet, les cellules cancéreuses avaient envahi son foie, son estomac et son pancréas. Ce type de cancer est normalement très douloureux. Suite à quelques conseils, cette personne a banni tout sucre de son alimentation, et consommé des aliments sains, tout en mâchant bien tous ses aliments, de façon à limiter le travail de ses organes malades. Après plusieurs mois de ce régime, il passa à nouveau un scanner, et à sa grande surprise, son cancer n'avait absolument pas progressé ! De plus, il n'a jamais souffert de sa maladie. Au bout d'un an, il décéda... mais pas de son cancer, mais d'une hémiplégie cérébrale. Saviez-vous qu'aujourd'hui, le cancer est la première cause de mortalité en France ? Il est certain que l'alimentation actuelle, qui est extrêmement dénaturée, en est l'une des causes principale... tout comme la relation entre l'obésité et le cancer, qui est aujourd'hui considérée comme le facteur de risque le plus important pour cette maladie !

 

Conclusion

 

Les sucreries ont non seulement un IG élevé, mais sont également très acides, et donc ces dernières constituent un véritable empoisonnement du corps ! Et saviez-vous que de l'année 1700 à nos jours, la consommation de sucre est passée progressivement de 2 kilos par personne et par an, à près de 90 kg dans certains pays ? Avec cette quantité actuelle, la populationest en pleine overdose ! Mais il reste très difficile d'attirer l'attention des personnes sur leur consommation excessive de sucre, tellement ces dernières sont conditionnées, et dont la dépendance est savamment entretenue.

 

Si après cet exposé, vous souhaitez encore consommer du sucre, et bien mes chers amis, je n'ai plus qu'à prier pour vous ! Mais plaisanterie à part, la frustration ne sert à rien, et ce qui est nécessaire à chacun, c'est d'effectuer une introspection salutaire en lui-même, afin de découvrir le pourquoi de son alimentation dénaturée (pour ceux qui sont concernés). Pour cela, reportez-vous au préambule au début de cette page.

 

Note

 

Si vous faites la démarche de cesser votre consommation de sucre, vous passerez par un vrai sevrage, ce qui vous démontrera votre dépendance à cette substance (dépendance = drogue), et donc son réel pouvoir empoisonnant. Ne vous découragez pas, cela pourra durer une bonne quinzaine de jours, et vous penserez souvent au sucre pendant quelques mois encore. C'est le prix à payer pour retrouver une bonne santé, et sortir de ce terrible cercle qui emmène les personnes inexorablement vers la maladie (en fonction de l'intoxication de chacun bien entendu). Si vous avez une démarche intérieure de santé et idéalement de spiritualité, vous devriez réussir, mais si vous vous sentez frustré en permanence, il est inutile de poursuivre ce sevrage. Dans ce cas, préférez des sucres dont les minéraux sont conservés (Xylitol, Stévia, et éventuellement en très petite quantité du sirop de blé ou de riz, ou encore vraiment très (très) modérément le sucre intégral "rapadura", afin d'éviter la déminéralisation du corps). Mais vous devriez faire une activité physique après absorption, si vous souhaitez éviter la formation de graisse dans votre corps, conséquence d'un IG trop élevé. Cela devrait être une période de transition (pour la dépendance que ces substances créées), mais à chacun de gérer cela en fonction de ses objectifs personnels. Sachez qu'il faut parfois plusieurs années avant d'atteindre une désintoxication totale à ces substances sucrées, tellement l'ancrage de ce goût est grand. Le problème d'un aliment sucré, même "relativement" sain, c'est qu'il entraîne progressivement la plupart des personnes dans des produits sucrés de moins en moins sains.

 

 

Merci à David Servan-Schreiber (21 avril 1961 - 24 juillet 2011) pour cette vidéo courageuse qui dénonce les méfaits du sucre, et également les aliments générant de l'inflammation (lait, fromage, oeufs, etc.), ces deux éléments étant les facteurs "nourrissants" du cancer ! Vers la fin de la vidéo, David parle des bienfaits du thé vert, mais je vous propose le thé kukicha, car vous profiterez des mêmes vertus sans la théine qui est toxique ! Il parle également des brocolis, mais privilégiez le bio, qui cumule les vertus anti-cancéreuses, et l'absence de pesticides néfastes pour la santé !

 

 

 

 

 

L'alcool

 

Au delà de l'effet profondément nocif et cancérigène bien connu, la question à se poser est : Pourquoi une personne boit ? Il est bien entendu que le premier problème est d'ordre psychologique. Une personne heureuse et épanouie dans sa vie, son couple, son travail, etc., n'a aucune raison particulière de se "suicider" à petit feu par l'alcool ou le tabac. Cette addiction prend donc sa cause dans un mal être plus ou moins prononcé (peurs multiples, frustrations, angoisses, etc.), et c'est cela qu'il convient à mon humble avis de traiter en premier. Voir l'un de mes sites ici qui pourra peut-être apporter quelques pistes. Il me paraît donc essentiel d'analyser sa précieuse vie objectivement, puis de dresser la liste de tout ce qui déclenche ce processus auto-destructif pour soi-même, mais également pour son entourage.

 

Une fois la liste établie, il est souhaitable d'en dresser une autre, de tout ce qui serait épanouissant pour son bien-être, et puis enfin, être courageux et se débarrasser progressivement de toutes situations contraignantes, stressantes, etc. Se rapprocher autant que possible de la nature et d'une activité sportive est également souhaitable, tout comme se débarrasser de toute relation empoisonnante pour le succès de son sevrage... Car soyons clairs, l'absorption d'alcool est une activité malsaine et fortement toxique autant pour l'esprit que pour le corps.

 

Il n'y a, et ce n'est que mon humble avis, aucun intérêt sur le plan santé d'absorber ce genre de boissons, même en petites quantités. Des études ont démontré que certaines substances comme l'éthanol annihilent le soi-disant bienfait d'autres substances (polyphénols) présentent dans le vin (par exemple). Alors je ne parle même pas des alcools fort !

 

Les effets de l'alcool (Source : Wikipédia)

 

Système nerveux : neuropathie alcoolique, névrite optique rétro bulbaire, encéphalopathie hépatique, démences alcooliques (Korsakoff, marchiava bignami, Wernicke), hallucinose alcoolique.

Foie : cirrhose avec insuffisance hépato-cellulaire.

Pancréas : pancréatite : pancréatite aiguë ou pancréatite chronique, insuffisance pancréatique exocrine (mal digestion) et endocrine (diabète).

Système cardiovasculaire : hypertension artérielle, cardiopathie, hypertension portale avec varices gastriques et œsophagiennes, insuffisance veineuse.

Appareil sexuel : perte du désir sexuel, impuissance, éjaculation précoce, anorgasmie, dyspareunies, aménorrhée...

 

La consommation chronique augmente le risque de cancers : globalement un cancer sur dix chez l'homme et un sur trente chez la femme sont attribuables à l'alcool. Ce sont essentiellement des : cancer du foie, cancer du pancréas; cancers des voies aérodigestives supérieures : cancer de la bouche (langue, cavum, lèvres), cancer de l'œsophage, cancer de l'estomac ; cancer du sein : une femme consommant 50 grammes d'alcool par jour (5 pintes de bière, 5 verres de vin) augmente son risque de développer un cancer du sein de 50%. Pour 18g/jour (2 verres) son risque se voit augmenté de 7%.

 

La consommation chronique d'alcool augmente le risque de troubles dépressifs et anxieux. Elle peut conduire vers une situation de dépendance. La dépendance est caractérisée lorsque la personne est devenue incapable d'arrêter ou de réduire sa consommation.

 

Modifications biologiques liées à l'alcoolisme chronique :

Atteinte hépatique: cytolyse hépatique, macrocytose, augmentation des γ-GT, insuffisance hépatocellulaire: hypoalbuminémie, baisse des facteurs de la coagulation, thrombopénie. Atteinte pancréatique: augmentation des enzymes amylase et lipase, insuffisance pancréatique exocrine et endocrine. hypertriglycéridémie. carences vitaminiques (groupe B). Augmentation de la Carbohydrate Deficient Transferrin (CDT). Numération formule sanguine: les globules rouges sont globalement augmentés de volume (macrocytose).

 

Les vins du commerce (Source : Rue89)

 

Métaux lourds et pesticides dans le vin : l'omerta française - De Catherine Bernard, Vigneronne.

Une étude récente (2008) sur la présence de produits nocifs dans les vins français est passée totalement sous silence.

 

Catherine Bernard dit :

 

L'information est arrivée à bas bruit. Pas comme toutes ces études épatantes qui nous disent sur tous les tons, et le coeur, et les vaisseaux, et le poumon, et la peau, à la façon des comptines enfantines, que boire un verre de vin tous les jours est bon pour la santé. Bientôt, ce sera comme pour le cochon, dans le vin, tout sera bon. Mais là, rien. Pas un mot, pas une ligne, pas un murmure de la profession. Silence radio.

 

Le 30 octobre dernier, le Journal Chemistry Central, revue scientifique en ligne, diffuse une étude difficile à digérer, dont je résume les conclusions : après analyse de vins en bouteille en provenance de 15 pays, il s'avère que ceux de cinq pays, dont la France, recèlent la présence de métaux lourds à un niveau dangereux pour la santé.

 

Les chercheurs, des Britanniques de l'université de Kingston (je précise qu'en l'espèce, on ne peut pas taxer les Anglais de malveillance puisqu'ils ne sont pas producteurs et sont en sus de grands amateurs) ont utilisé un coefficient de dangerosité déjà appliqué aux autres denrées alimentaires, notamment les légumes et les poissons, prenant en compte une absorption régulière tout au long de la vie. Dans le cas du vin, un verre tous les jours.

 

Ils ont une petite idée des causes. La carte des vins incriminés, pour ne pas dire contaminés, épouse en effet celle des zones climatiques humides et/ou à culture intensive de la vigne (la France), conduisant à recourir aux produits en « ide ». En conclusion, très raisonnablement et très logiquement, ils invitent les autorités sanitaires des pays concernés à conduire des études complémentaires.

 

Articles multiples dans la presse anglo-saxonne :

 

C'est sûr, la nouvelle n'est pas très bonne. Il n'est pas sûr aussi que les Anglais aient définitivement raison et qu'il faille arrêter séance tenante de boire du vin français. Néanmoins, je regrette infiniment d'en avoir pris connaissance dans les bibles anglo-saxonnes du vin : Wine Spectator, Decanter, le très sérieux Washington Post et même dans un obscur site canadien, Psychomédia, lequel titre : « Des niveaux dangereux de métaux dans la plupart des vins français et européens ». On appréciera à sa juste valeur la mise en exergue de la mention française.

 

En mars dernier, un peu avant donc que je me lance dans ces chroniques, sont tombées dans ma boîte mail d'autres nouvelles pas réjouissantes-réjouissantes, sous le nom énigmatique de « message dans une bouteille ».

 

Le message était émis par les associations du Pesticides Action Network Europe (PAN-Europe). Il disait, en substance, que tous les vins issus de l'agriculture conventionnelle étaient contaminés par des résidus de pesticides à un niveau élevé, et forcément pas très bon pour la santé, même les très chers à 200 euros la bouteille, tandis que les vins issus de la viticulture biologique en étaient exempts.

 

Pour information et rappel du contexte, le vignoble représente 3% de la surface agricole en Europe mais 20% des pesticides utilisés.

 

La profession à laquelle j'appartiens maintenant un peu a néanmoins traité la chose avec un mépris tout à fait élégant. Là encore, je résume : "Circulez, il n'y a rien à voir car les niveaux de contamination constatés ne dépassent pas les limites maximales autorisées. Retournez à vos chères études, le champ de l'enquête est bien trop limité pour en tirer des leçons." Je me méfie des tenants de l'apocalypse et des ayatollahs, mais quand même !

 

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Pour information, même si les vins biologiques sont moins toxiques, ils contiennent quand même de l'éthanol, avec les conséquences que l'on connaît !

 

En conclusion, les prétendues "vertus" du vin sont fausses, et les alcools fort sont à éviter complètement pour ceux qui souhaitent conserver leur santé ! A chacun de faire les expériences qu'il souhaite bien entendu, mais l'issue est hélas toute tracée à moyen ou long terme pour le consommateur de ses substances. Là encore, il ne s'agit pas de se frustrer, mais de réduire petit à petit toute dépendance pour l'amélioration de ses conditions de vie, autant que possible !

 

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Même à faible dose, l'alcool est dangereux (Source : Science & Vie - Avril 2013, n° 1147)

 

Un seul verre d'alcool par jour augmente les risques de cancer. C'est l'une des conclusions d'une étude américaine regroupant l'ensemble des travaux menés depuis 2009 sur plus de 400.000 personnes ! Malgré les bénéfices cardiovasculaires associés à une faible consommation, un verre de vin quotidien augmente de 25 à 35% le risque de cancer mortel. Risque qui atteint 54% en cas de forte consommation d'alcool, soit au moins 3 verres par jour. Il n'existerait donc pas de niveau sain de consommation. Bien au contraire, l'alcool cause au total dix fois plus de décès qu'il n'en évite !    "Amer. J. Pub. Health.", fév. 2013

 

 

 

 

Le tabac

 

Au delà de l'effet profondément nocif et cancérigène bien connu, la question à se poser est : Pourquoi une personne fume ? Il est bien entendu que le premier problème est d'ordre psychologique. Une personne heureuse et épanouie dans sa vie, son couple, son travail, etc., n'a aucune raison particulière de se "suicider" à petit feu par le tabac ou l'alcool. Cette addiction prend donc sa cause dans un mal être plus ou moins prononcé (peurs multiples, frustrations, angoisses, etc.) , et c'est cela qu'il convient à mon humble avis de traiter en premier. Voir l'un de mes sites ici qui pourra peut-être apporter quelques pistes.

 

Il me paraît donc essentiel d'analyser sa précieuse vie objectivement, puis de dresser la liste de tout ce qui déclenche ce processus auto-destructif pour soi-même, mais également pour son entourage. Une fois la liste établie, il est souhaitable d'en dresser une autre, de tout ce qui serait épanouissant pour son bien-être, et puis enfin, être courageux et se débarrasser progressivement de toutes situations contraignantes, stressantes, etc. Se rapprocher autant que possible de la nature et d'une activité sportive est également souhaitable, tout comme se débarrasser de toute relation empoisonnante pour le succès de son sevrage... Car soyons clairs, l'absorption de fumée de tabac dans ses poumons est une activité malsaine et fortement toxique autant pour l'esprit que pour le corps.

 

Risques cardio-vasculaires et respiratoires

 

Devinez quels sont les poumons sains ?

La fumée résultant de la combustion du tabac comporte plus de 5 300 substances toxiques, dont 50 reconnues cancérigènes par le Comité International de Recherche sur le Cancer : du benzène, du monoxyde de carbone, du formaldéhyde, de la N-nitrosodiméthylamine et de la N-nitrosopyrrolidine durant la phase vapeur de la fumée, alors qu'on a trouvé du goudron, du benzo[a]pyrène, du cadmium, du nickel, de la N-nitrosonornicotine (NNN) et de la 4-(methylnitrosamino)-1-(3-pyridyl-1-butanone) (NNK) durant la phase solide (particules) de la fumée.

 

Certains des composants provenant de l'engrais sont radioactifs, notamment, le polonium 210, hautement radioactif. Elle produit aussi des substances utilisées dans les gaz de combat ou les insecticides, à l'origine des maladies cardiovasculaires liées au tabac comme le cyanure d'hydrogène à hauteur de 100 à 400 microgrammes par cigarette (Forestite, Zyklon B), et l'acroléine (Papite), à hauteur de 10 à 140 microgrammes par cigarette, un puissant irritant des muqueuses, cancérigène par ingestion orale !

 

Voici une petite liste des effets du tabac

 

Sphère ORL : la fumée de tabac contient des produits irritants susceptibles de provoquer des laryngites. L'irritation chronique est propice à la formation des cancers du pharynx et du larynx.

 

Poumons : Les dépôts de goudron irritent les voies respiratoires et favorisent l'apparition d'infections pulmonaires, puis de la broncho-pneumopathie chronique obstructive, provoquant une hypoventilation des tissus et une diminution de la résistance aux exercices physiques. A long terme, les bronchites deviennent chroniques pouvant mener à l'insuffisance respiratoire. Le monoxyde de carbone, quant à lui, se substitue à l'oxygène sur l'hémoglobine, et par conséquent diminue l'oxygénation du sang, provoquant un essoufflement (dyspnée). Il s'agit également d'une cause importante des cancers des poumons.

 

Cœur et vaisseaux sanguins : la nicotine provoque une accélération du rythme cardiaque et comporte un effet vasoconstricteur, induisant une sous-alimentation des tissus. Il entraîne en outre une augmentation du taux de graisse dans le sang. Il favorise directement, à long terme, l'apparition et l'aggravation de l'athérome, obstruant progressivement les vaisseaux sanguins, avec toutes les implications : angine de poitrine, infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral, artériopathie oblitérante des membres inférieurs... Le risque d'infarctus du myocarde est globalement multiplié par 3 chez le fumeur et de manière moindre en cas d'exposition répétée et durable au tabagisme passif. Cette augmentation du risque se retrouve également pour le tabagisme sans fumer (chique, snus (poudre de tabac)). En cas d'arrêt de consommation de tabac, le risque décroît mais ne revient pas au niveau d'un non-fumeur. En combinaison avec la pilule contraceptive, le tabagisme est un facteur d'apparition de caillots pouvant conduire à une thrombose veineuse profonde (phlébite) ou à une embolie pulmonaire, voire un infarctus du myocarde.

 

En France, 64 000 décès imputables au tabac (Source : Wikipédia)

 

Pour 25 000 au cancer du poumon (seuls 10 % des cancers du poumon ne sont pas imputables au tabagisme).

Pour 15 000 à 40 000 par bronchite chronique (broncho-pneumopathie chronique obstructive ou BPCO).

 

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Pire qu'un verre de vin, le tabac devrait être proscrit définitivement pour toute personne souhaitant atteindre une certaine plénitude dans son existence. Mais d'autres facteurs psychologiques seront inévitablement à traiter en amont de la prise de décision d'arrêt de cette habitude... mortelle !

 

 

 

 

La viande (et le poisson)

 

En plus d'être bien peu éthique en regard de la souffrance animale, voici un article très documenté de la toxicité tout à fait réelle et validée scientifiquement de la viande.

 

La viande est dangereuse pour la santé ! (veganisme.fr)

 

La croyance postulant que la viande est bonne pour la santé est un mythe ! Les êtres humains ne sont pas naturellement des carnivores, mais sont bien plus proches des herbivores. Notre système digestif n'est absolument pas fait pour digérer de la viande ! Notre intestin notamment est beaucoup trop long, et la viande reste beaucoup trop longtemps dans notre organisme, ce qui crée des problèmes de macération et de putréfaction...

 

De plus en plus d'études et de recherches partout dans le monde confirment qu'une alimentation à base de viande et autres produits animaux est nocive pour la santé, et apportent les preuves scientifiques qu'une alimentation végétarienne ou végétalienne équilibrée est tout-à-fait bénéfique pour la santé !

 

Que vous puissiez en douter est compréhensible, puisque les organismes français, et les études alimentaires, liés à notre santé, sont pour la plupart financés par l'industrie de la viande et les industries laitières ! Même si la situation commence un peu à évoluer, les lobbies français de la viande et du lait sont particulièrement puissants dans notre pays, et font passer leur message... tandis que les diverses études menées dans le monde montrant les bienfaits d'une alimentation végétarienne, ne sont que très rarement, ou très mal diffusées en France.

 

Notamment, l'Association Américaine de Diététique, une institution indépendante de toute association de végétariens ou d'organismes de protection animale, et dont les avis font autorité dans le domaine médical en matière de diététique ; ainsi que des Diététiciens du Canada (ces deux organisations regroupent 70.000 diététiciens !), ont publié leur Position Officielle, basée sur plus de 250 études scientifiques ! (ces études sont listées à la fin de leur rapport) :

 

"Les régimes végétariens et végétaliens menés de façon appropriée sont bons pour la santé, adéquats sur le plan nutritionnel, et bénéfiques pour la prévention et le traitement de certaines maladies. [...]

 

Les alimentations végétariennes et végétaliennes bien planifiées sont appropriées à tous les stades de la vie, y compris la grossesse et l'allaitement. Planifiées de façon adéquate, elles satisfont les besoins nutritionnels des bébés, des enfants et des adolescents, et contribuent à une croissance normale. [...]

 

Du fait d'un intérêt croissant pour le végétarisme et grâce aux bénéfices nutritionnels d'une telle alimentation, le développement de l'offre végétarienne quotidienne devrait être encouragé."

 

Sur la base de nombreuses études scientifiques menées sur des années, le rapport de l'Association Américaine de Diététique confirme l'effet bénéfique (prouvé et documenté) des régimes végétariens et végétaliens sur la réduction des risques et la prévention des maladies suivantes :

 

> Cancers (colon, prostate)

> Maladies cardiovasculaires

> Hypercholestérolémie

> Obésité

> Hypertension

> Ostéoporose

> Diabète (type 2)

> Altération des fonctions cognitives

> Calculs biliaires

> Polyarthrite rhumatoïde

> Maladies du colon (diverticulites)

> Maladies rénales

 

Toutes ces maladies affectent beaucoup moins les végétariens et végétaliens. Voici quelques exemples chiffrés, basés sur des études épidémiologiques (qui tiennent aussi compte d'autres facteurs comme la consommation de tabac ou d'alcool, ou la pratique régulière de sport...) :

 

Cancers

 

De nombreuses études démontrent une réduction de la mortalité jusqu'à 2 fois et demie chez les végétariens et végétaliens pour les cancers de l'oesophage, du gros intestin, du côlon, de la vessie, de la prostate... Les scientifiques attribuent l'effet carcinogène de la viande et des produits laitiers notamment aux acides gras saturés qu'ils contiennent.Inversement, une alimentation riche en soja (CM : surtout fermenté) et en végétaux, sources d'oméga 3 (acides gras insaturés) et antioxydants, exerce un effet protecteur contre le cancer ! Sur le site du Physicians Committee for Responsible Medicine (Association de Médecins pour une Médecine Responsable : organisme américain qui regroupe 100 000 membres, dont 5 000 médecins), de nombreuses études scientifiques montrent le lien direct entre la consommation de viande et produits laitiers avec les risques de cancers, et notamment le cancer du sein, le cancer colorectal, le cancer de la prostate...

 

Maladies cardio-vasculaires

 

De nombreuses études ont montré que les acides gras saturés animaux et les protéines animales (viandes, oeufs, produits laitiers) élèvent le taux de cholestérol, tandis qu'une alimentation végétalienne qui contient des fruits et légumes (fibres), des huiles végétales, et autres nourritures végétales et protéines de soja (CM : surtout fermenté), abaisse le taux de cholestérol. Par exemple, les études américaines du Docteur Phillips portant sur 24.000 personnes révèlent que les mangeurs de viande décèdent 3 fois plus fréquemment d'un infarctus que les végétariens (Phillips, R.: Coronary Heart Disease Mortality among 7th-Day Adventists with Differing Dietary Habits. American Journal of Clinical Nutrition 31(1978): S.191-198).

 

Hypertension

 

Les végétariens et végétaliens ont nettement moins de risques de faire de l'hypertension : une étude a montré que 42% des non-végétariens faisaient de l'hypertension, contre seulement 13% des végétariens. Changer le régime des non-végétariens vers un régime végétarien a permis la réduction de l'hypertension (Rouse IL, Beilin LJ, MahoneyDP, et al. J Hypertens. 1986;4:241-250).

 

Diabète

 

Les risques de décès dus à des maladies liées au diabète sont près de 4 fois plus élevés chez ceux qui mangent beaucoup de viande que chez ceux qui s'en abstiennent... (Etude de Snowdon et al., School of Public Health, University of Minnesota).

 

Obésité

 

Les personnes consommant de la viande, des oeufs et des produits laitiers ont 9 fois plus de risques d'avoir des problèmes d'obésité que les végétaliens (John Robbins, The Food Revolution, Conari Press : Boston, 2001, p. 58)...

 

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La recherche continuant de progresser et d'associer le végétarisme à un nombre croissant d'effets bénéfiques, on peut ajouter à cette liste notamment la fibromyalgie, la dermatite atopique, et le cancer du sein (selon des études publiées dans The International Journal of Cancer et The British Journal of Cancer : consommer de la viande de porc une fois ou plus par semaine, multiplie chez la femme le risque de cancer du sein par deux...).

 

Par ailleurs, les conclusions de la plus vaste étude internationale à ce jour sur la nutrition: "Le Rapport Campbell" (basé sur plus de 750 références scientifiques), par le Docteur Colin Campbell (et en collaboration avec de nombreux autres scientifiques), démontre clairement les dangers des protéines animales et du lait, et les bénéfices pour la santé d'une alimentation végétarienne ou végétalienne. Le Docteur Campbell explique : "Nous pouvons éviter dans une large mesure les maladies cardiaques, le cancer, le diabète, les attaques vasculaires cérébrales, l'hypertension, l'arthrite, les cataractes, la maladie d'Alzheimer, l'invalidité et d'autres désordres chroniques. [...] Les scientifiques ou les médecins qui se ferment à une telle vérité ne sont pas seulement entêtés, mais irresponsables".

 

Le Docteur Cambell avait pourtant débuté "de l'autre côté de la barrière" : élevé dans une ferme laitière, il avait fait sa thèse de doctorat sur "les meilleures façons de faire grossir plus rapidement les vaches et les moutons". Mais Colin Campbell était un vrai chercheur... Depuis plus de quarante ans, il est à l'avant-garde de la recherche dans le domaine de la nutrition. Il nous lègue Le Rapport Campbell (livre en français d'environ 500 pages, disponible en librairie), l'étude la plus exhaustive sur la santé et la nutrition à avoir jamais été entreprise. Le Docteur Colin Campbell est Professeur Emérite du Département de Biochimie Nutritionnelle à l'Université Cornell. Il a bénéficié de plus de 35 ans de subventions pour faire des recherches, revues ensuite par des pairs, et il a rédigé plus de 300 documents de recherche... (Voir l'excellente et exhaustive présentation du Rapport Campbell  par l'association Ahimsa.)

 

La viande est un poison pour l'organisme de l'être humain...

 

Non seulement l'organisme humain n'est pas fait pour digérer la viande, ce qui peut engendrer de sérieuses maladies à plus ou moins long terme comme on vient de le voir ci-dessus... mais en plus, les statistiques montrent que la concentration d'insecticides contenus dans la viande est douze fois supérieure à celle des légumes et des céréales ! Une consommation quotidienne de viande a donc pour effet d'accumuler dans l'organisme une forte quantité d'insecticides dont les conséquences à long terme sont à craindre...

 

De plus, on trouve aussi dans la viande les résidus des antibiotiques, hormones et autres produits chimiques (autorisés ou pas...) administrés aux animaux dans les élevages industriels. L'absorption régulière de ces poisons provoque notamment des cancers chez l'être humain.

 

Et contrairement à toutes les idées reçues à leur sujet, il en est de même pour le lait de vache et les produits laitiers, qui peuvent être eux aussi tout-à-fait préjudiciables à la santé humaine, comme le montrent de plus en plus d'études et de recherches sur le sujet...

 

Et le poisson ne vaut guère mieux...

 

Bien que l'huile de poisson apporte certains éléments bénéfiques pour la santé (les Omégas 3 en particulier, mais qui peuvent être remplacés facilement par certaines huiles végétales), la plupart des poissons font cependant partie des aliments les plus pollués, notamment par le mercure et autres métaux lourds qui polluent les mers (la chair du poisson absorbe et retient tout particulièrement ces polluants, qui se lient étroitement aux protéines de leurs tissus), ainsi que par les dioxines, le PCB et autres insecticides... Ces polluants empoisonnent l'organisme humain, et pourraient même, chez les enfants en bas âge en particulier, affecter gravement le développement du cerveau !

 

La contamination élevée de la chair du poisson en fait donc un poison à retardement pour l'organisme de l'être humain... alors que l'on peut tout-à-fait trouver les mêmes nutriments bénéfiques dans des sources végétales ! Les Omégas 3 par exemple se trouvent facilement dans les huiles végétales (huile de lin, de colza ou de noix...) et dans les oléagineux (les noix en particulier).

 

 

 

 

L'ail (et l'oignon)

 

Voici un article provenant d'un débat du Dr Robert C. Beck, fait au Whole Life Expo à Seattle, USA, en mars 1996, publié par Nexus Magazine et relayé par le Centre de méditation Raja Yoga au Québec: meditationquebec.org

 

L'ail - choc toxique (Dr Robert C. Beck)

 

La raison pour laquellel'ail est si toxique est qu'un dérivé qu'il contient, la molécule de sulfone hydroxyle, comme le DMSO (Diméthyl Sulfoxyde), pénètre la barrière sanguine du cerveau et est un poison spécifique pour toutes formes de vie et les cellules du cerveau. Nous avons découvert ceci à notre grande horreur, quand j'étais (Bob Beck, DSc) le plus grand manufacturier mondial d'appareils électroencéphalogrammes (EEG).

 

En revenant de leur dîner, on s'est aperçu que des personnes semblaient être cliniquement mortes sur une électroencéphalographie (appareil que nous utilisions pour calibrer leur progrès). "Que s'est-il passé ?" leur avons-nous demandé. "J'ai été dans un restaurant italien et il y avait un peu d'ail dans l'assaisonnement de ma salade !" Nous leur avons donc demandé de ne pas toucher à l'ail avant les séances d'examen, afin d'éviter qu'ils perdent leurs temps et leur argent, mais aussi notre temps.

 

Dans les années 1950, je faisais des études d'ingénierie de vols d'essai. Le médecin de bord faisait sa tournée tous les mois pour nous mettre en garde : "ne vous avisez pas de toucher à l'ail pendant les 72 heures avant de piloter l'un de nos avions, parce que cela peut doubler ou tripler votre temps de réaction. Vous êtes alors trois fois plus lents que vous ne le seriez si vous n'aviez pas pris quelques pincées d'ail." Alors que j'étais le propriétaire de la compagnie Alpha-Metrics qui produisait des équipements d'électroencéphalographie, je ne sais pas pourquoi nous n'avons découvert que 20 ans plus tard que l'ail désynchronisait les ondes du cerveau.

 

J'ai alors financé une étude à Stanford où l'on a découvert très clairement que l'ail était un poison. Frottez une gousse d'ail sur votre pied, et vous pourrez, un peu plus tard, sentir son odeur sur votre poignet. Donc, l'ail pénètre le corps. C'est la raison pour laquelle le DMSO (Dimetyl Sulfoxyde – agent cancérigène) a une odeur se rapprochant de l'ail : cette molécule de sulfone hydroxyle pénètre toutes les barrières, incluant les callosités du cerveau.

 

Ceux d'entre vous qui sont des jardiniers de produits biologiques savent que, si vous ne voulez pas utiliser de DDT (Dichloro-Diphenyl-Trichloroethane - un des meilleurs pesticides synthétiques), l'ail peut tuer toutes catégories d'insectes.

 

La plupart des gens ont entendu dire au cours de leur vie que l'ail était bon pour eux, et nous classons ces gens parmi les mêmes classes d'ignorants, telles ces mères qui à l'aube du nouveau siècle, achetaient encore du sulfate de morphine en pharmacie pour faire dormir leurs bébés.

 

Si vous avez toutefois des patients qui souffrent de maux de tête mineurs ou qui ont un problème de déficit d'attention, s'ils ne peuvent pas se concentrer sur l'ordinateur l'après-midi, faites alors une petite expérience - vous vous le devez. Demandez à ces personnes d'arrêter de manger de l'ail et voyez combien ils se portent mieux très rapidement. Ensuite, dans à peu près trois semaines, laissez-les en consommer un peu. Ils diront "Mon Dieu, je n'aurais jamais pensé que c'était ça la cause de mes problèmes !" Et cela inclut, entre autres, le Kyolic (extrait d'ail vieilli vendu dans les magasins d'aliments et de produits naturels) et quelques autres produits dérivés de l'ail.

 

Même si plusieurs ne sont pas en faveur de cela, je me devais de vous dire la vérité.

 

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Note sur l'oignon

 

L'oignon, l'ail, l'échalote, etc., font parties de la famille des liliacées, et ces derniers ont une toxicité sanguine pour les animaux. Les symptômes peuvent apparaître à partir d'une consommation de 5 à 10g d'oignon frais par kilo de poids. Les toxines agissent sur les globules rouges qu'elles détruisent. Il en résulte une anémie puis une jaunisse. Les symptômes se déclarent généralement 1 à 3 jours après l'ingestion. La récupération est longue, 1 à 2 semaines. Si la dose absorbée est importante, l'évolution est potentiellement mortelle.

 

Pour les êtres humains, l'absorption d'oignons peut provoquer différents troubles du système digestif (douleurs abdominales, flatulences et des changements dans les habitudes de défécation). Ces troubles peuvent également se manifester par des reflux gastro-oesophagiens ou de la dyspepsie (troubles de la digestion).

 

D'un point de vue spirituel, l'oignon comme l'ail trouble la concentration l'hors de la méditation. Le Jaïnisme (religion très ancienne proche de l'Hindouisme et du Bouddhisme) considère l'ail et l'oignon comme nuisible justement pour cela. L'ail et l'oignon sont également évités par tout Yogi un tant soi peu éveillé, en rapport aux "émanations" vibratoires peu spirituelles et élevantes que ces substances génèrent.

 

Evidemment, la grande majorité des études vont dans le sens bienfaiteur de ces aliments, alors à chacun de faire ou non ses propres expériences sur ce sujet. Une personne qui évolue dans un chemin spirituel engagé, profond et sincère, se sépare à un moment ou à un autre de ces substances, de part sa propre expérimentation, qui seule peut apporter une quelconque valeur à quoi que ce soit.

 

Les aliments rajasiques (connu des Yogi éclairés)

 

Les aliments rajasiques agitent le corps, le mental et le corps émotionnel. Mangé en excès, cette nourriture excite les passions et rend le mental incontrôlable: émotions vives, sensualité, colère, irritabilité, jalousie, l'envie, le malaise… Leur consommation peut engendrer la douleur, le souci, la dépendance. Les aliments suivants sont considérés rajasiques: les poireaux, l'ail, l'oignon (action sur l'énergie subtile), le poisson, le fromage salé, les agents conservateurs, le ketchup, le chocolat, la limonade. On compte également le café, le thé, le piment rouge et les épices fortes, les boissons glacées, ainsi que les aliments trop secs, trop chauds, exclusivement acides, salés ou épicés.

 

Dans l'enseignement de Saint-Germain, il est également noté l'abandon de ces substances pour leurs actions néfastes sur l'énergie subtile, comme pour le Yoga.

 

Un petit mot sur le poireau (www.epeautre.net)

 

Le poireau appartient à la même famille que l'ail, l'oignon, la ciboulette ou l'échalote. Hildegarde de Bingen (religieuse célèbre du 12è siècle) déconseille formellement ce légume dont elle dit même avec humour qu'il attise en l'homme la sensualité. Cela n'a pas d'équivalent dans toute la diététique populaire où le poireau est érigé en légume de référence. Notre moniale prêche-t-elle donc dans un désert ? Pas si sûr, car bon nombre de personnes abandonnent le poireau pour d'autres légumes bien plus profitables à leur santé. Certes, la toxicité du poireau n'a pas été reconnue scientifiquement bien que nous sachions que ce légume, comme l'échalote ou l'oignon, appartienne à la famille des alliums, que l'on retrouve souvent sous forme de fleurs et que l'on ne devrait surtout pas consommer ainsi sous peine de nous retrouver aux urgences rapidement. Les propriétés pesticides des composés volatils des alliums sont reconnues mais nous ne savons pas si elles sont nuisibles pour l'homme. Une chose est sûre, le poireau cuit s'oxyde très vite et devient toxique et indigeste au bout de 2 jours. Le docteur Hertzka, qui a expérimenté la diététique d'Hildegarde, avait eu des témoignages de personnes ayant eu une dégradation de leur santé après avoir consommé régulièrement du poireau. Il recommandait aux personnes fragiles de ne pas du tout en consommer. Pour Hildegarde, le poireau et l'échalote qui poussent sous l'action des vents tempétueux ne sont pas bons à consommer.

 

 

 

 

Le lait de vache

 

Depuis notre plus jeune âge, la plupart d'entre nous ont été éduqués dans l'idée que le lait est un bienfait pour notre santé (calcium), et pourtant, les nombreuses études montrent sans ambiguïté la nocivité de cet aliment, qui n'est absolument pas adapté à l'homme ! Le lait maternel humain est la continuation parfaitement naturelle de la fonction première du placenta. Il est important de comprendre que le placenta transmet une information qui permet le développement de l'embryon jusqu'à la naissance. L'allaitement est la continuation de cette information pour la croissance du bébé pendant six mois minimum. Le lait maternel est un régulateur hormonal parfaitement adapté au bébé, ce qui semble finalement évident, chaque race ayant les attributs chimiques nécessaires adaptés à ses petits !

 

Pensez-vous que le lait d'une vache prévu pour son veau est donc adapté pour un bébé humain ? C'est bien évidemment d'une grande incohérence ! Les informations de croissance transmises au veau sont par exemple de peser 500 kg à six mois ! Cette information qui n'est absolument pas adaptée à l'homme aura inévitablement des conséquences fâcheuses sur l'organisme humain, à court puis à long terme. Même si le métabolisme humain essaie de s'adapter à ses molécules bovines, cela ne suffit pas et détraque en profondeur la biologie du corps humain !

 

Le calcium

 

Le lait de vache contient en effet du calcium, mais ce dernier n'est pas disponible pour l'organisme humain, pour la raison que les protéines qui sont dans le lait animal, et qui ont pour fonction de transmettre l'information pour l'élaboration de l'osséine (substance protidique constitutive des os), ne sont pas adaptées à notre espèce, mais au veau, donc elles seront totalement inopérantes pour l'être humain. L'argument du calcium est donc totalement faux.

 

Les graisses saturées du lait de vache

 

Saviez-vous que le lait humain est constitué en grande partie d'acides gras poly-insaturés (qui n'est pas saturé), mais que le lait de vache contient essentiellement des acides gras saturés, que l'organisme humain à bien des difficultés à digérer ! Le système biliaire est vite fatigué par sa difficulté d'absorber un aliment incompatible avec le système digestif.

 

Les molécules géantes du lait de vache !

 

Les molécules et les protéines du lait bovin sont géantes en rapport à celle des êtres humains ! L'effort que doit fournir le foie pour dégrader ces molécules est intense et éprouvant. La formule biochimique du lait de vache restera la même, que le lait soit entier ou non, ou dilué avec de l'eau, donc l'effet sera le même sur le corps !

 

Est-il normal de boire du lait à l'âge adulte ?

 

La réponse est bien entendu : non. Pourquoi ? Auriez-vous l'idée de téter votre mère à l'âge adulte ? Le lait remplit sa fonction de croissance (suite au placenta) pour le corps du bébé, mais n'est plus approprié une fois le sevrage fait. N'est-ce pas évident ?

 

Evolution pathologique (source ici)

 

1. L'encrassement tissulaire commence dès le plus jeune âge par des problèmes inflammatoires touchant la sphère ORL (sinusite, amygdalite, conjonctivite, mastoïdite, méningite). Si les inflammations catarrhales ne sont pas supprimées (allergie au lait de vache par exemple), celles-ci atteindront l'enfant dans les parties plus basses (cage thoracique) avec des pleurites, laryngites, trachéites, bronchites.

 

2. A la puberté, l'adolescent, soumis à de nouveaux processus hormonaux élimine tant bien que mal ses toxines par le biais de la peau. C'est ce que l'on appelle l'acné juvénile, qui passera progressivement, comme les diarrhées du bébé ont progressivement disparu. La cause demeurant, la situation reste inchangée. Les signes de carences se manifestent par des déminéralisations (dentaires et osseuses), des troubles du poids, d'attention, de vision, s'ajoutant aux fatigues et nervosité.

 

3. A l'âge adulte, l'inflammation se propagera vers la sphère digestive avec des gastrites, colites, cystites, sigmoïdites. L'invasion inflammatoire se fait du haut vers le bas avec une progression plus ou moins rapide suivant l'état du terrain de chacun (potentiel vital fort, faible ou absent) et cette pathologie sera d'autant plus tenace et envahissante que les moyens pour arrêter sa progression ne feront qu'affaiblir le potentiel vital par absorption de toxines supplémentaires (médicaments) et fermeture des émonctoires (antibiotiques). Encore une fois, on essaie de soigner les effets et non d'arrêter la cause qui reste ici une intolérance à un aliment non spécifique.

 

Cette progression continuera tant qu'un redressement alimentaire correct ne viendra pas la stopper.

 

Toutes ces maladies chaudes inflammatoires, dites en "ites", se transformeront petit à petit en maladies froides, dites en "oses" (artérioscléroses, tuberculoses, cancéroses).

 

Les maladies silencieuses sont les plus dangereuses et les plus vicieuses. Elles progressent sans crier garde car le potentiel vital de la personne s'est considérablement affaibli par la prise de médicaments en plus de la continuation de la cause provoquant la toxémie. La phase aiguë du début de la vie et sa force d'élimination (diarrhée, vomissement, fièvre, acné, toux) vont peu à peu se transformer en phase silencieuse chronique où la maladie s'installe et s'incruste en formant kystes, polypes et indurations.

 

Les processus des défenses immunitaires seront grandement affaiblis et la pathologie accédera à un stade irréversible. Cette finalité est d'autant plus triste qu'elle aurait pu être facilement évitée.

 

Lire aussi : Le lait et le diabète

 

Conseils

 

Alternative au lait de vache pour le bébé, en cas d'impossibilité de l'allaiter :

Le lait d'amande est privilégié, mais aussi de châtaignes ou de noisettes. Se renseigner sur internet ou auprès des personnes compétentes.

 

Alternative au lait de vache pour l'adulte :

Le lait épeautre-riz-noisette de Bonneterre est tout simplement délicieux. Déplacez-vous dans des boutiques de produits bio, vous aurez une large gamme de "laits" végétaux. Je vous déconseille néanmoins le lait de soja qui reste discutable (voir sur cette page).

 

Lire aussi : Le cancer du sein et les produits laitiers

 

 

 

 

Le café (et le thé)

 

Le café et le thé contiennent des poisons (hygienisme.org)

 

A l'état naturel, le café et le thé sont amers. Or la plupart des aliments qui sont amers (C.M.: pas tous) contiennent du poison. Nos papilles gustatives ont été équipées pour détecter les poisons afin de nous prévenir de ne pas en manger. Mais tous les aliments contiennent des poisons, me dira un lecteur averti. Oui, mais les quantités sont si minimes, que cela n'a pas grande importance. La laitue contient du laudanum, mais en traces si insignifiantes qu'elles ne peuvent pas affecter la santé. Par contre, une seule goutte de ce poison suffit pour tuer ! Et pour tirer une seule goutte de laudanum, il faut des tonnes de laitues !

 

Ce n'est pas parce qu'un produit est naturel, qu'il faut en prendre aveuglément. Le café et le thé contiennent des poisons qui attaquent les nerfs, les reins, l'estomac, les intestins, le sang, etc. La caféine et la théobromine sont des poisons violents. En outre, le café contient une bonne quinzaine d'autres poisons. Tous ces poisons sont des stimulants. Le corps cherche à les éliminer et dépense ainsi de l'énergie qui est déviée de l'élimination naturelle de l'organisme, ce qui arrête donc cette élimination. Ils provoquent de ce fait une euphorie artificielle.

 

Le corps se met ainsi en branle pour les expulser. C'est cela la stimulation. Elle semble donner des forces, mais en vérité, elle les épuise. Les nerfs finissent par s'ébranler, ce qui donne des insomnies, une fatigue nerveuse, l'énervement, l'instabilité des nerfs face aux contrariétés, la vulnérabilité de tout le système nerveux qui commande moins bien toutes les autres fonctions organiques.

 

Quand on donne un coup de fouet à un cheval fatigué, il ne faut pas penser que ce coup de fouet lui donne des forces. En effet, l'énergie n'est évidente que dans sa dépense, jamais dans son accumulation.

 

D'autre part, le café qui contient tant de poisons finit par épuiser les reins chargés de les éliminer. Or, quand les reins dégénèrent, aucune régénérescence n'est possible. Les cas de néphrite sont très graves et finissent par tuer le malade.

 

Quand on prend des aliments artificiels, on stoppe l'élimination nocturne qui aurait due se poursuivre une partie de la matinée, et l'esprit reste vaseux. Mais au fil du temps, les poisons s'accumulent dangereusement. Enfin, quand on se nourrit d'aliments naturels, on se réveille l'esprit clair et l'on n'a plus besoin de café.

 

Pour arrêter le café, on peut consommer un succédané à base de céréales torréfiées, sans café. Ce produit, dont il existe plusieurs sortes, a presque le même goût que le café (CM: Yannoh), mais ne contient pas ses poisons. On le trouve dans les magasins de régime, comme d'ailleurs le thé déthéiné. Avec le temps, il faudra supprimer aussi cette boisson.

 

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Voici une dizaine de poisons que contient le café

 

Acide chlorogénique, qui libère à la torréfaction la caféine, voisin de la théine, la théophylline des asthmatiques, l'acide urique...

Le professeur MARCHESSEAU donne l'équivalence suivante : 1 verre de café = 1 verre d'urine.

Acide cafétanique, sclérosant les muqueuses, inhibiteur de la digestion.

Acide caféique, convulsif, mutagène, cancérigène...

Acide quinique, alcaloïde de la nicotine (d'où la relation intime café/tabac).

Caféone, hallucinogène, excitant du cerveau et des nerfs.

Hydrocarbures, hautement cancérigènes.

Phénols, hépato-toxiques, mutagènes, cancérigènes...

Furfurol, épileptogène, irritant des muqueuses.

Pyrogallol, toxique des chromosomes, du sang, des reins.

Méthylxanthines, toxiques de toutes les glandes, des muqueuses..... et tant d'autres effets entraînant des tremblements, crampes, insomnie, baisse de l'immunité, constipation, palpitations..., également des dommages cellulaires du fœtus.....

L'ochratoxine A, est un poison naturel fortement toxique pour les reins et pouvant être cancérogène, qui est produit par une moisissure que l'on trouve parfois sur les fèves de café brutes ou "vertes", et qui n'est pas complètement éliminé lors de la torréfaction.

 

Le café "décaféiné" n'est pas mieux. Il supprime peut-être la caféine et quelques autres poisons (pas tous), mais il est obtenu par action de solvants chimiques (trichloréthylène, chlorure de méthyle, essence 60/80, tétrachlorure de carbone...). Après distillation, il reste de 0,25 à 1 g de solvant par kilo de produit.

 

Conclusion

 

Tous comme l'alcool et le tabac, la prise de café est bien souvent lié à un problème d'ordre psychologique, ou encore pour un besoin de performance, de rester éveillé malgré son horloge biologique qui crie de dormir, ou bien d'autres éléments d'ordres psychiques qui se retrouvent dans la prise de toutes drogues.

 

Le premier facteur à rechercher, c'est : pourquoi je bois du café ? Car au delà du plaisir gustatif, l'effet psychotrope bien réel de cette substance induit un besoin lié à un problème, et c'est cela qu'il convient à mon humble avis de traiter en premier. Voir l'un de mes sites ici qui pourra peut-être apporter quelques pistes.

 

Globalement, toutes prises de drogues dénotent un problème "intérieur" à traiter. C'est pour cela que l'on pourrait faire la démonstration édifiante du danger de prendre un produit toxique, que cela ne ferait pas ou peu d'effet sur une personne qui n'a pas réglé son problème, et qui, d'une certaine façon, inconsciemment ou consciemment, accepte son sort auto-destructif.

 

Les sociétés actuelles, dites modernes, offrent à mon avis bien peu de possibilités d'épanouissement. Il est possible de s'en sortir en se dirigeant vers une spiritualité saine, peu importe le chemin, afin de retrouver une estime et une confiance en Soi, et ainsi avoir le goût de dépasser ses habitudes dangereuses pour son corps et son esprit. La Vie est sacrée, et il ne tient qu'à chacun qu'elle devienne belle et productive pour son propre bien-être, et celui de tous !

 

Alternative

 

La chicorée ou le Yannoh sont des alternatives saines au café. vous les trouverez en magasin biologique.

 

Il existe également des thés sans théine très sains et bénéfiques, comme le kukicha, que l'on trouve également dans les magasins ou coopératives biologiques.

 

Il existe donc des solutions qui vous permettront de vous passer du café, qui seront proches en goût, mais sans vous intoxiquer. Bien entendu, ces alternatives ne contiennent pas de substances excitantes. Cela vous donnera ainsi de l'énergie, mais sans épuiser votre organisme. Le Yannoh donne également un sentiment de chaleur très agréable.

 

 

 

 

Le chocolat

 

Mes chers amis, j'en vois déjà réagir plus d'un dans le fait que le chocolat serait une alimentation empoisonnante ! Pourquoi ? Parce que le chocolat fait partie des drogues/plaisirs les plus puissantes au monde en terme de dépendance, et nous savons bien que : dépendance = drogue (c'est la définition). Aucun aliment ne devrait provoquer une dépendance si ce dernier était sain. C'est un fait que personne ne peut nier. Dites à une personne consommant du chocolat d'arrêter, elle réagira bien souvent de façon négative et émotionnelle... oh oh... Pourquoi une réaction si brutale ? Que se cache t-il derrière le chocolat qui développe un tel attachement ? Les personnes sont attachées au chocolat par certaines substances que contient ce dernier, comme par exemple la caféine ou le sucre ajouté, tout simplement.

 

Ainsi, le marché pour les fabricants de chocolat est juteux. Et il ne faut pas croire que le chocolat apaise l'humeur, car c'est absolument tout le contraire. Son effet "bénéfique" passager, tout comme le café, peut se traduire avec le temps par de l'irritabilité, de l'énervement, de l'agitation, et la dépression, etc., d'ou le besoin d'en re-consommer, encore et encore... Un cercle vicieux sans fin qui tient en esclavage le consommateur. Ces substances, fabriquées par l'être humain, font parties d'un ensemble d'autres produits inhibants ou diminuant les possibilités d'évoluer sur des plans de conscience plus élevées, le tenant enchaîné dans ses désirs insatiables.

 

Le chocolat, super-aliment ou poison ? (par Alicia Hall)

 

Tout le monde parle du chocolat : chocolat noir, chocolat au lait, chocolat cru. Le chocolat a longtemps été considéré comme délicieux, excitant, érotique et sensuel. En fait, l'enthousiasme pour le chocolat cru fait croire qu'on ne peut pas s'en passer et qu'on doit en prendre pour être en très bonne santé et heureux.

 

On a souvent dit que le chocolat était un Viagra de la nature, un aphrodisiaque, un super-aliment, l'aliment n° 1 pour la perte de poids et la haute énergie, apaisant les envies, ne provoquant pas de dépendance, donnant le moral, le Prozac de la nature et, dans le cas du chocolat cru (cacao), exempt de matières grasses hydrogénées, de produits laitiers, de blé et de gluten – et, bien sûr, végétalien. On dit qu'il est conditionné avec des antioxydants, qu'il contient plus de 300 composés chimiquement identifiables, et la liste continue. Des déclarations telles que manger moins, perdre du poids et vivre plus, guérir et ouvrir votre coeur, augmenter votre sensualité et la beauté, doubler votre joie, nourrir votre cerveau et accélérer votre nutrition laissent à penser que cet élixir donne un faux sentiment de sécurité. Il n'y a pas de doute que tout être humain sur terre aimerait récolter ces bénéfices d'une nourriture-plaisir. Mais est-ce possible ? Des chercheurs, le Dr Paul Crawford et le Dr Michael Simmons, ont établi un lien direct entre la consommation de chocolat et la migraine (ces conclusions ont été rapportées dans le Journal de Pratique Familiale en 2006). Le chocolat est conditionné avec des antioxydants, du soufre (minéral de la beauté), du magnésium (minéral du cerveau), des inhibiteurs d'enzymes, la phényléthylamine (donne le moral), l'anandamide (le bonheur chimique), l'arginine (le Viagra de la nature), le triptophane (acide aminé anti-dépresseur), les polyphénols et les épicatechines (anti-oxydants), la dopamine et la sérotonine (neurotransmetteurs anti-dépresseurs), les antioxydants flavonols, les vitamines B et l'histamine. Pourtant, il existe de nombreux aliments ou substances qui offrent des bénéfices et en même temps améliorent la santé. L'un des multiples problèmes avec la consommation de chocolat est que le chocolat est toujours combiné avec des édulcorants, et même le sirop d'agave cru va affecter la glycémie, tout comme les autres sucres. Selon une étude publiée dans le Journal de Médecine de la Nouvelle Angleterre, les sodas et le chocolat sont les 2 principaux aliments-plaisir que prennent les diabétiques.

 

Il a été porté à mon attention qu'un produit chimique très toxique et mortel qui ne devrait jamais être ingéré, est également présent dans cette innocente graine de cacao – la caféine. La caféine est un produit chimique nuisible qui détruit les nutriments et augmente le niveau d'impureté du sang. Il héberge aussi la théophylline, qui a des effets dévastateurs similaires. On devrait immédiatement tirer la sonnette d'alarme et empêcher les gens de manger du chocolat, qu'il soit cru ou chauffé, mais leur dépendance à ce stupéfiant appelé chocolat les empêche de le faire. Beaucoup diront que si la caféine est crue, on peut la consommer. Mais permettez-moi de vous mettre en garde, elle ne l'est pas. Je le sais par expérience professionnelle et personnelle.

 

En tant qu'ancien accroc au sucre (dit Alicia Hall), j'ai décidé de ne pas céder à la mode du chocolat cru. Essayant de vaincre ma dépendance, je décidai de faire ma propre concoction sans sucre. Je laissai de côté le sirop d'agave qui est si souvent utilisé et je me suis mis à faire un pur chocolat cru. J'ai fièrement fabriqué ma première tournée et j'ai mis la substance épaisse dans des moules. Il avait très bon goût avant que je ne le réfrigère, et plus encore une fois refroidi. Il n'a eu aucun effet sur mon taux de glycémie, ou du moins je le pensais. Mon énergie était à son apogée et je décidai qu'un morceau de chocolat cru tous les jours était exactement ce dont j'avais besoin. Toutefois, après le troisième jour, je remarquai que je voulais augmenter la petite portion de chocolat que je m'étais permise. J'ai réalisé alors que je pensais à en manger durant toute la journée. Je suis devenu très agité et ne pouvais plus dormir la nuit ; Mon niveau de sucre a commencé à monter et à descendre, et je me suis rendu compte que si je n'éliminais pas ce séducteur de ma vie, la caféine me rendrait à nouveau dépendant. Même si je savais que c'était mauvais pour ma santé, j'en avais encore envie. Je pris des mesures drastiques, jetai le chocolat et me mis à jeûner. Il a fallu que je consomme du jus vert pendant 3 à 4 jours avant que je ne retrouve mon vrai moi. J'ai senti que j'étais devenu agressif et très hyperactif quand je consommais de la caféine crue. S'il vous plaît, veuillez tenir compte et tirer des leçons de mon expérience – ce n'est pas la peine (pour être stimulé rapidement) de mettre votre santé en danger. Si vous pensez que vous n'êtes pas affecté de la même façon, peut-être vous vous trompez vous-même, puisque chaque personne qui touche à ce nectar séduisant commence inévitablement à en « tomber amoureux ».

 

Le spécialiste en alimentation crue (bien connu) Frédéric Patenaude décrit le cacao comme un autre stimulant déguisé en aliment sain. Cela est très vrai. Il suggère le caroube comme alternative au cacao. La poudre de caroube est faite à partir d'un fruit et est très riche en minéraux, contrairement à la graine de cacao qui a un effet stimulant. Les graines de cacao ne sont pas vraiment de la nourriture. Si vous trouvez cette plante dans la nature, vous ne consommerez que le fruit et vous jetterez très probablement les graines. Quand on les consomme, elles n'ont pas le moindre goût de cacao brut. Dans le but de les rendre plus agréables au goût, les graines de cacao sont fermentées et ensuite, bien sûr, on rajoute une multitude d'autres ingrédients (en tête de liste du sucre sous une forme ou une autre) à cette substance.

 

Ces avocats de l'alimentation vivante faisant la promotion du cacao induisent le public en erreur en laissant entendre que des édulcorants comme le sirop d'agave affectent moins la glycémie, et ne sont pas aussi néfastes que les coupables communément appelés comme le sucre, le sirop de maïs, le miel et le sirop d'érable. Tous les sucres ont tendance à affecter le niveau de sucre dans le sang et à favoriser la maladie. Il y a des produits chimiques dans le chocolat tels que les méthylxanthines qui peuvent être mis dans la même catégorie que la théobromine, la caféine et la théophylline, toutes celles-ci ayant des effets dévastateurs sur le corps. Ces substances causent beaucoup de symptômes incluant une croissance glandulaire anormale, de la nervosité, de la dépression, de l'anxiété, de l'insomnie, des problèmes gastro-intestinaux, des démangeaisons, des problèmes cardiaques et circulatoires, des troubles nerveux, de l'ostéoporose, des anomalies de naissance, des maladies de l'estomac, des nausées et des vomissements. En outre, tous les trois sont classés comme substances cancérigènes notoires (agents qui causent le cancer). On a trouvé une substance cancérigène (l'aflatoxine) dans de grandes quantités de graines de cacao. Le beurre de cacao et d'autres ingrédients actifs dans le chocolat transformé et cru provoquent des éruptions d'acné et des infections de la peau chez un grand nombre de consommateurs.

 

Dès que les graines de cacao sont transformées en chocolat et en poudre, il y a un risque sanitaire. Il est très probable que le chocolat et la poudre de cacao contiennent des excréments d'animaux, des cheveux et des insectes. Les rongeurs et les insectes sont attirés vers le chocolat pour satisfaire leur dépendance et on a compris depuis longtemps que ça coûterait vraiment très cher que d'enlever les excréments et les résidus des graines de cacao. Les gouvernements du monde entier ont autorisé jusqu'à 10 % de ces saletés dans n'importe quel produit fini tel que le sucre de chocolat, le cacao, le sirop de chocolat, les préparations pour brownies et autres. Voici une citation : « … chaque fois que vous mangez une barre de chocolat, elle peut contenir un poil de rongeur et 16 parties d'insectes et être encore approuvée » comme aliment comestible et « pour la poudre de chocolat ou les gâteaux, il ne doit pas y avoir plus de 75 fragments d'insectes dans 3 cuillerées à soupe de poudre ». En outre, « 4 % des graines de cacao peuvent être infestés par les insectes. Les excréments d'animaux ne doivent pas dépasser 10 milligrammes par livre ». Que peut-on dire de plus ? Tout cela avec la bénédiction des gouvernements du monde entier.

 

Le simple fait est que le chocolat cru, ou tout autre nourriture contenant de la caféine ou un stimulant, est très préjudiciable à votre santé. Le chocolat est un faux aliment. C'est aussi simple que cela. Tenez-vous à l'écart de ces poisons et ne cherchez pas à justifier à vous-même ou aux autres pourquoi vous sentez que vous avez besoin de consommer des aliments avec stimulants, des débris putrides et cancérigènes. Il suffit de réaliser et de comprendre que la bonne santé vient de la consommation d'aliments sains, entiers, et vivants, et en exprimant de l'amour et la compassion quotidiennement. C'est votre corps et votre vie : prenez soin de lui car c'est le seul que vous avez. Soyez assuré qu'une attitude positive, en mangeant sain et vivant et profiter de la vie avec passion vous fera briller de vitalité. Pas besoin de chocolat !

 

En vous souhaitant santé et bonheur,

 

Alicia Hall, Educateur de santé Hippocrate.

HIPPOCRATES Healing Our World Volume 26 Issue 4

 

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Métaux lourds (Wikipedia)

 

Parmi les produits du régime alimentaire occidental typique, le chocolat possède l'une des plus fortes concentrations de plomb, et peut potentiellement provoquer une légère intoxication au plomb (saturnisme). Des études récentes ont montré que, bien que les grains eux-mêmes absorbent peu de plomb, il a tendance à se lier au cacao et une contamination peut se produire pendant le processus de fabrication.

 

Une étude scientifique de 2005 a trouvé des quantités significatives de plomb dans le chocolat. Cependant, les données sont rares et contradictoires. Dans une étude de l'USDA en 2004, des niveaux moyens de 0,0010 à 0 0 965 µg de plomb par gramme de chocolat ont été observés dans les échantillons testés, mais en 2002, une étude suisse avait trouvé un taux de 0,769 µg dans un gramme de chocolat, ce qui est proche de la limite internationale fixée à 1 µg de plomb par gramme de chocolat. En 2006, la FDA américaine a diminué d'un cinquième la quantité de plomb admissible dans les sucreries, mais le respect de cette règle est purement volontaire. Alors que des études montrent que le plomb consommé dans du chocolat n'est peut-être pas complètement absorbé par le corps humain, il n'y a pas de niveau limite connu pour obtenir un effet sur la fonction cérébrale des enfants, et de petites quantités de plomb peuvent provoquer des déficits de développement neurologique permanents, y compris une réduction du QI.

 

Selon une étude de Öko-Test, certains chocolats amers provoquent une augmentation de la teneur en cadmium, ce qui peut également entraîner un risque pour la santé.

 

Risque d'obésité

 

Le chocolat est particulièrement énergétique car il contient beaucoup de glucides et de lipides : 500 kcal pour 100 g (550 kcal dans le chocolat au lait). 100 grammes de chocolat noir apportent un quart des besoins quotidiens moyens d'une femme qui sont de l'ordre de 1 800 à 2 000 kcal/jour.

 

Le chocolat est composé en grande partie de graisse et de sucre. Le chocolat contient, en plus d'autres ingrédients, du saccharose (sucre de table, un disaccharide : Glucose-fructose). L'index glycémique (IG) du chocolat est de 65.

 

La principale préoccupation des nutritionnistes est que bien que la consommation de chocolat n'affecte pas négativement le taux de cholestérol sanguin, la pression artérielle ou l'oxydation du LDL, il n'est pas évident que les biomarqueurs des maladies cardiovasculaires le soient également. De plus, la quantité nécessaire pour provoquer cet effet irait de pair avec une grande quantité de calories qui, sans réduction par ailleurs, provoquerait un gain de poids. En conséquence, la consommation de grandes quantités de chocolat noir dans le but de se protéger des maladies cardiovasculaires a été décrite comme « scier la branche sur laquelle on est assis ! »

 

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Allez, encore un article intéressant sur le chocolat (un peu virulent !) :

 

Un assassin parfumé... Le chocolat !

 

La grande industrie et les trusts ont, grâce aux progrès de la technique et de la chimie, réussi à fabriquer avec les fèves de cacaoyer, un soi-disant aliment, certes doucereux et agréable au goût... pour mieux endormir et tromper notre sens physiologique de l'aliment naturel.

 

Le chocolat est un produit trafiqué, truqué, déséquilibré, toxique, mort... donc dangereux. Le chocolat n'a que des vices cachés sous une belle apparence et un goût flatteur; c'est un assassin de grande classe.

 

Voici sa composition, et... son palmarès

 

> Assez forte proportion d'acide oxalique et d'oxalates, deux éléments qui favorisent la formation de calculs rénaux.

> L'alcaloïde du chocolat, la théobromine, est un excitant général qui provoque notamment de l'éréthisme cardiaque, nerveux, sexuel.

> Il détient le record de purines alimentaires (quatre fois plus que la viande).

> Il provoque une leucocytose digestive importante, ce qui est la preuve de sa nocivité, et pourrait bien, à la longue, préparer la leucémie (avec d'autres facteurs).

> On dit partout que le chocolat est indispensable aux enfants car il contient des matières azotées. C'est une astuce des fabricants et c'est faux; il en renferme quatre fois mois que la viande et elles sont de digestion laborieuse.

> On dit encore qu'il est riche en vitamines et en sels minéraux; c'est encore faux car les différents traitements (soude, solvants hautes températures, etc...) ont tout tué ou déséquilibré et... le sucre blanc ajouté n'en contient pas !

> Le chocolat fatigue le foie, le détraque à la longue, de plus, il est échauffant et constipant.

> Il délabre aussi les reins, aussi ne faut-il pas s'étonner de voir tant de rénaux et hépatiques précoces chez les enfants qui, sans surveillance, en mangent trop.

 

En résumé, le chocolat est un produit dénaturé, artificiel, nervin et érotique. Il agit très activement sur les organes sexuels et, étant donné sa consommation générale, il ne faut pas être surpris de voir les enfants grandir plus vite (s'ajoutant à d'autres facteurs), se sexualiser plus tôt qu'autrefois et voir se répandre partout agressivité, licence en général, érotisme, violence, etc., la vie moderne déréglant les comportements dits humains les uns après les autres.

 

Pour toutes ces raisons, le chocolat, vanité gustative, est à proscrire d'une alimentation saine si l'on veut être en bonne santé physique et morale, et la conserver le plus longtemps possible.

 

Et tous les diététiciens avertis, honnêtes et... libres, vous diront la même chose : le chocolat est un flatteur qui vit aux dépens de celui qui l'écoute !

 

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Ceux qui consomment ce genre de substance n'ont bien sûr aucune culpabilité à ressentir, car qui n'a pas mangé ou mange du chocolat aujourd'hui ? Cette habitude transmise de génération en génération n'est pas si simple à arrêter, tellement cette drogue agit sur tous très puissamment. Elle donne un tel sentiment de bien-être et gustatif (provisoire) qu'il paraît bien difficile de s'en séparer. A ce niveau encore, la seule prise de conscience que nous ne contrôlons pas nos vies en consommant ces poisons peut devenir salutaire et provoquer un "réveil" salvateur ! Ne pas fuir sa Vie, mais au contraire accepter ce cadeau qui nous est offert, sans "s'endormir" et s'intoxiquer avec ces substances, est le début de l'éveil de Soi !

 

 

 

 

Le soja, toxique ou non ?

 

En premier lieu, il est important de séparer le soja non-fementé (lait de soja, tofu, etc.) de celui qui est fermenté (miso, tempeh, tamari, etc.). Si le premier peut interroger sur son innocuité, le second est dans tous les cas un atout majeur pour la santé, bien que certains tofu fermentés sont acidifiants... Pas facile de s'y retrouver.

 

Contre le Soja - Extrait du livre de Susan Schenck : "The Live food Factor"

 

Cela peut être un choc pour beaucoup de lecteurs d'apprendre que le soja, ayant été habilement présenté comme un aliment de santé durant de nombreuses années, peut en fait être toxique ! Alors qu'il contient tous les acides aminés essentiels, des acides gras oméga 3 et des vitamines B, ses propriétés toxiques en font un choix indésirable pour la santé sauf lorsqu'il est fermenté et utilisé rarement comme condiment, ce qui est la façon dont les Asiatiques le consomment. Ils prennent généralement seulement 2 cuillères à café de soja par jour.

 

L'institut Gerson a mis le soja sur sa liste d'aliments interdits. Les "analogues" de la vitamine B12 dans le soja ne sont pas absorbés et en fait augmentent le besoin du corps en B12. Les hauts niveaux d'acide phytique dans le soja réduisent l'assimilation du calcium, du magnésium, du cuivre, du fer et du zinc. Les températures élevées utilisées pour transformer le soja rendent ses protéines largement indigestes et inutilisables comme nutriment.

 

Les enfants nourris au soja sont particulièrement en danger en raison des hauts niveaux de phytoestrogènes dans le soja. Les filles largement nourries avec des produits du soja se développent prématurément.  Les garçons expérimentent un développement sexuel retardé ou incomplet, certains devenant même stériles ou développant des seins. Quelques garçons ont des organes sexuels qui ne deviennent pas matures ! Les enfants nourris exclusivement avec des formules basées sur le soja ont entre 13 et 22 000 fois plus de composés d'oestrogène dans leur sang que les bébés nourris avec des formules basées sur le lait. Ceci est l'équivalent d'oestrogène de cinq pilules anticonceptionnelles par jour !

 

La consommation de soja conduit à beaucoup plus de problèmes. On pense que l'excès de phytoestrogène conduit aussi à des tumeurs dépendantes de l'oestrogène. Les aliments de soja sont également mauvais pour la thyroïde et peuvent causer fatigue, gain de poids, dépression et/ou tristesse chez les personnes ayant un problème de thyroïde. Le soja contient de hauts niveaux d'aluminium, toxique pour le système nerveux, les reins et le cerveau. L'acide glutamique (MSG) se forme durant la transformation du soja, et le MSG est ajouté à beaucoup d'aliments à base de soja. Une étude hawaïenne a trouvé un lien entre le fait de manger deux parts ou plus de tofu par semaine et l'accélération de la vieillesse du cerveau et même le développement de la maladie d'Alzheimer. La plus grande majorité du soja aux USA est génétiquement modifiée. Le soja est trouvé dans une proportion d'aliments estimée à 70% aux USA.

 

Pour le Soja - Ce que le Dr Jérôme Bernard-Pellet, médecin nutritionniste et végétalien, dit, extraits :

 

[...] Il y a des campagnes anti-soja très virulentes en France alors que de nombreuses études très documentées montrent son intérêt pour la prévention de la maladie d’Alzheimer, ainsi que des cancers de la prostate et du sein. Je suis très favorable au soja [...]

 

[...] Il n’y aucune étude sérieuse dans toute la littérature scientifique qui démontre une quelconque nocivité par rapport au soja, bien au contraire [...]

 

[...] Le soja est victime d’une propagande vraiment éhontée, venant principalement des multinationales laitières. Ils ont réussi à faire croire qu’il pouvait augmenter le risque de cancer du sein chez la femme, alors que c’est écrit exactement le contraire dans les revues scientifiques à comité de lecture ! Un article prouvera mes dires : celui de Nechuta SJ, Caan BJ, Chen WY et al., publié dans The American Journal of Clinical Nutrition en 2012 [...]

 

Voir également les différentes vidéos qu'il propose que vous retrouverez facilement sur internet.

 

Ma propre expérience et celles de proches :

 

Il y a les dires des uns et des autres, et puis l'expérience sur soi-même. Pour ma part, je consommais beaucoup de soja étant jeune et je n'ai pas rencontré de problèmes particuliers. Le soja doit bien entendu être bio et non OGM. Mais il y a une dizaine d'années, une amie m'a fait part de graves problèmes qu'elle a eue aux ovaires, à cause, selon elle, d'une consommation importante de soja non fermenté. Et puis, plus récemment, l'expérience d'une proche sur de nombreuses années : A chaque fois que cette personne consommait du soja (bloc de tofu nature) des mastoses apparaissaient (affection bénigne du sein).

 

Le Dr David Elia, gynécologue, dit : « La mastose est due à un phénomène d’hyperoestrogénie. Les oestrogènes prédominent sur la progestérone durant la seconde partie du cycle. Cet emballement hormonal modifie la consistance des glandes mammaires et se traduit le plus souvent par un gonflement des seins. »

 

Il semble qu'il y a donc bien une interaction entre les phytoestrogènes du soja et le phénomène d’hyperoestrogénie décrit par le docteur Elia. Surtout que cette proche a bien observé ce phénomène sur de nombreuses années. C'était flagrant, et même en dehors de ses règles. A chaque fois qu'elle consommait du tofu nature (en bloc), cela lui provoquait systématiquement l'apparition de mastoses un peu douloureuses (en plus de règles douloureuses pendant son cycle). En arrêtant le tofu, ces mastoses ont disparu très rapidement. Elle a observé le même phénomène avec les yaourts et le lait de soja. Par contre, curieusement, le tofu préparé sous d'autres formes ne lui posent aucun souci, comme les filets de tofu à la japonaise, pourtant non fermentés, si elle en consomme raisonnablement. Elle consomme également du Miso du Tamari tous les jours, du Tempeh occasionnellement, sans le moindre problème (aliments fermentés).

 

J'ai également un ami qui avait totalement arrêté la consommation de soja, et qui m'a informé qu'il avait sa concentration de globules blancs deux fois inférieure à la norme. Il a donc consommé à nouveau du Tempeh et du tofu a raison de 500 g par semaine, et son taux de globules a remonté partiellement.

 

Il semble qu'il y ait une sensibilité différente entre hommes et femmes sur la consommation de soja, de par les propres retours que j'ai eus. Pour ma part, il est vrai que les blocs de tofu, yaourt, etc. ne me réussissent pas. Par contre, les filets de tofu préparés ne me posent aucun souci, comme ceux marinés au Tamari de la même marque (pourtant non fermentés). Il faut reconnaître que les apports de nutriments essentiels apportés par le soja sont très nombreux, alors à chacun(e) de s'observer et de décider. Dans tous les cas, je conseille sans la moindre hésitation le Miso (longue fermentation et non pasteurisé) et le Tamari journellement, ce sont des aliments santé remarquables. Sans vouloir faire de publicité, je conseille la marque Celnat pour la qualité de ses produits (Miso et Tamari).

 

Pour ceux et celles qui ne mangent pas de soja non fermenté, Il est possible de le remplacer par une autre légumineuse : le Panisse (à base de farine de pois chiche) (voir ci-contre).

 

 

 

 

Les boissons sucrées

 

Du bonbon liquide ! (orthodontisteenligne.com)

 

Les boissons sucrées sont de plus en plus populaires. Leur consommation ne cesse d'augmenter, particulièrement chez les jeunes. Que ce soit sous forme de boissons gazeuses, fruitées, énergétiques ou simplement des “eaux vitaminées”, elles sont toutes l'équivalent de “bonbons liquides”. De plus, les boissons énergisantes dissolvent vos dents. Les principaux ingrédients de ces boissons sont de l'eau, du sirop de maïs riche en fructose et du sel. Ce sont des calories vides, ce qui ne peut être considéré comme très nutritif !

 

Quelques faits à propos des boissons gazeuses et sucrées

 

Une bouteille de boisson sucrée (490 ml) peut contenir jusqu'à 12 cuillerées à thé de sucre fournissant de 200 à 240 calories. Le sirop de maïs est la première source de calories aux États-Unis, et c'est le principal édulcorant utilisé dans industrie alimentaire et les breuvages, et ce dernier a été clairement lié à l'augmentation de l'obésité et du syndrome métabolique.

 

Les boissons énergisantes (Gatorade, Powerade, etc.) contiennent 2/3 du sucre des boissons gazeuses et 3 fois la quantité de sodium. Plusieurs boissons gazeuses contiennent des niveaux excessifs de benzène, un produit chimique cancérigène. Aux États-Unis, les adolescents boivent, en moyenne, 3 boissons gazeuses par jour. Les jeunes enfants de 2 ans  aux États-Unis consomment plus de sucre provenant des boissons gazeuses que provenant des biscuits, bonbons et la crème glacée combinés !

 

En 1976, la vente de boissons gazeuses a dépassé celle du lait. L'américain moyen buvait 96 litres de boissons gazeuses par année. En 2003, cette consommation était rendue à 174 litres.

 

Des effets secondaires

 

Des statistiques ont démontré que les consommateurs de boissons gazeuses ont plus de chances de développer un cancer de la gorge. Les adultes consommant au moins une boisson sucrée par jour augmentent de 27% leur risque d'embonpoint, de 40% les risques de maladie coronarienne et de 50% les risques de développer un diabète de type 2.

 

Une étude a démontré que des personnes consommant 3 boissons gazeuses/jour pendant 8 ans ont 40% plus de chances de devenir obèse que celles qui n'en consomment pas, indépendamment d'autres facteurs comme l'exercice, le statut socio-économique et le tabagisme.

 

Les boissons sucrées ne rassasient pas vraiment; une étude a conclu que, plus les enfants boivent ces boissons, plus leur apport calorique total de la journée augmente. Contrairement à l'ingestion d'aliments solides, la consommation de boissons sucrées n'est pas compensée par une diminution significative de l'ingestion de nourriture lors des repas. La caféine, présente dans plusieurs boissons gazeuses et boissons énergisantes, peut causer un effet de dépendance, même chez les enfants.

 

Les boissons énergisantes dissolvent vos dents !

 

L'acidité élevée des boissons énergisantes est nécessaire à leur préservation mais elle peut dissoudre l'émail et la dentine de vos dents. L'effet de l'acide peut agir sur l'émail de dents aussi rapidement qu'en 20 minutes. Ces boissons, qui sont supposées vous réhydrater, sont 30 fois plus érosives pour vos dents que de l'eau.

 

Les athlètes utilisant ces boissons sont plus à risque car l'activité physique diminue la production de salive, ce qui assèche la bouche. La salive est aussi nécessaire pour combattre l'acidité des boissons énergisantes. De plus, les athlètes transpirent beaucoup et par conséquent boivent encore plus. Les quantités importantes de sucres dans ces boissons peuvent avoir un effet direct sur le développement de la carie dentaire.

 

Mai 2011 : Étienne Boulay, joueur de football des Alouettes de Montréal, prête son nom à une campagne de sensibilisation pour mettre les jeunes en garde contre les boissons énergisantes. Il explique comment la consommation soutenue de ces boissons peut réserver de mauvaises surprises : « Ça déshydrate, ça donne des problèmes cardiaques et des tendinites. C'est mauvais pour les tendons. J'en ai pris et le coeur voulait me sortir de la poitrine ! »

 

Quel est le meilleur moyen de vous réhydrater ? Boire de l'eau !

 

Du sucre ? Non merci !… une exception : le XYLITOL, un sucre bénéfique

 

L'être humain n'est pas vraiment fait pour consommer des sucres raffinés. Peu importe leur forme, blanc ou roux, fructose, glucose, lactose, saccharose, dextrose, maltose, malt d'orge, miel, sirop de maïs, sirop de riz, sirop d'érable, etc., ces sucres agissent comme une drogue en créant une dépendance. Ils peuvent de plus entraîner une prise de poids pouvant mener à l'obésité et au diabète. La littérature médicale et scientifique liste plus de 75 problèmes de santé pouvant découler de la consommation de sucre. Il existe cependant un sucre n'ayant pas les désavantages des sucres raffinés et procurant même des bénéfices pour la santé : le XYLITOL. Voici quelques faits à propos du xylitol :

 

C' est un sucre fabriqué à partir de l'écorce de bouleau. Il a l'apparence et le goût du sucre blanc. Il apparaît naturellement dans le métabolisme du glucose; nous en produisons naturellement 15 g par jour. Ce produit n'est pas nouveau; il a été découvert en 1891 en Allemagne. Il est utilisé en Finlande et les pays nordiques depuis des décennies. Sa composition empêche la prolifération des bactéries car elles ne peuvent le métaboliser, contrairement aux autres sucres qui peuvent alimenter certaines bactéries et champignons dangereux. Il renforce l'immunité et peut protéger contre des maladies dégénératives chroniques. Il peut bloquer la capacité de fixation de bactéries infectieuses dans le nez. Plusieurs srpay nasaux en contiennent.

 

Des études finlandaises ont démontré que le xylitol permet de ralentir la dégradation osseuse et aide à maintenir la densité osseuse. il est le sucre idéal pour les diabétiques car il ne requiert pas d'insuline pour être métabolisé. Il est alcalisant contrairement aux autres sucres qui sont acidifiants. Il contient 40% moins de calories et 75% moins des glucides que le sucre blanc.

 

Effets dentaires bénéfiques

 

Effet anti-carie : les bactéries de la bouche ne peuvent l'utiliser pour causer la carie dentaire et les problèmes de gencives (maladies parodontales). Il peut stopper la progression de petites caries localisées et aider la reminéralisation de caries plus importantes. C'est pourquoi il est un ingrédient important de certains dentifrices et gommes à mâcher. Il stimule la production de salive et maintient l'efficacité des minéraux salivaires, ce qui contribue à la protection contre la carie. Il a été prouvé que le xylitol diminue la capacité des bactéries à adhérer à la surface des dents et empêche la prolifération des bactéries nuisibles, ce qui aide à combattre la plaque dentaire.

 

Le sucre est-il toxique, un poison et une drogue ?

 

Dans un récent article  très complet et supporté par une recherche exhaustive (avril 2011), des chercheurs comparent le sucre à rien de moins qu'à un produit toxique. D'autres le considèrent comme un poison ou une drogue, pouvant mener à des problèmes d'addiction au même titre que le tabac ou l'alcool. De plus, l'augmentation sans cesse croissante de la consommation de sucres serait responsable, entre autre, de l'épidémie d'obésité affectant maintenant les américains.  

 

Le sucre est-il plus addictif que la cocaïne ?

 

Des scientifiques de l'université de Bordeaux en France qui se spécialisent dans la recherche sur l'addiction on fait une étude des plus intéressante et ont obtenu des résultats surprenants. Ils ont permis à des rats de choisir entre de l'eau sucrée à l'aide de saccharine et de la cocaïne.

 

Lors de l'expérience, des rats en cage avaient accès à deux leviers. L'un injectait une dose intra-veineuse de cocaïne tandis que l'autre libérait une gorgée d‘eau sucrée. Après la période d'expérimentation de 15 jours, 94% des rats préféraient largement la saccharine à la cocaïne. Lorsque de l'eau sucrée fut substituée à la solution de saccharine, les résultats furent identiques. Le fait d'offrir de plus grandes doses de cocaïne ne changeait rien au choix des rats, même après plusieurs semaines d'expérimentation. Le goût sucré était préféré aux sensations artificielles de la cocaïne ! (Pauvres rats !)

 

Dans une autre étude, une majorité des 24 rats testés ayant déjà une addiction à la cocaïne se sont fait offrir une solution sucrée et ont préféré cette dernière après 10 jours de tests.

 

La conclusion de ces études est que, chez le rat, le sucre à haute dose (naturel ou synthétique) a un potentiel addictif plus élevé que la cocaïne. On croit que la pandémie d'obésité et de surpoids observée aujourd'hui est causée par la consommation excessive de nourriture et boissons riches en sucres. La motivation initiale de cette consommation est le plaisir du goût sucré mais certains croient que cela peut progresser à l'addiction ou la toxicomanie, similaire aux drogues, à l'alcool et au tabac.    

 

Règlementer l'âge minimum pour les sucreries ? (lapresse.ca, Février 2012)

 

Certains croient que, comme l'alcool, les sucreries devraient être réglementées car elles sont tout aussi néfastes pour la santé. Une récente étude montre :

 

Le sucre entraînerait des frais médicaux de 150 milliards de dollars par année aux États-Unis et des pertes de productivité de 65 milliards, ce qui n'est pas négligeable.

 

Manger trop de sucre dérègle l'appétit et crée une dépendance et affecte le métabolisme.

 

L'American Heart Association recommande une réduction de 50% à 75% de la consommation de sucre.

 

Références : Mercola.com, Los Angeles Times March 8, 2005,Washington Post September 26, 2007, chetday.com, Ohio Dental assoc., Lancet 2001;357:505-08.,xylitolinfo.com, The New York TImes, April 17, 2011, on page MM47 of the Sunday Magazine with the headline: IS SUGAR TOXIC Lenoir M, Serre F, Cantin L, Ahmed SH (2007)  » Intense Sweetness Surpasses Cocaine Reward « . PLoS ONE 2(8): e698. doi:10.1371/journal.pone.0000698.

 

 

Des boissons sucrées visibles, accessibles et attrayantes :

 

Les boissons sucrées sont partout : supermarchés, dépanneurs, machines distributrices, stations-services, restaurants, cinémas, arénas, centres sportifs, écoles, universités, hôpitaux, pharmacies, gares, parcs, etc. Elles profitent aussi d'une mise sur le marché agressive, et d'autant plus pour les enfants et les adolescents ! Mes amis, si vous en avez assez que l'on vous manipule en mettant en danger votre précieuse santé, reprenez cette dernière en main, en boycottant tout ce qui est toxique pour votre corps et votre esprit !

 

 

 

 

 

Céréales du petit déjeuner

 

Les céréales du petit déjeuner vantés positivement par bon nombre de publicités sont mensongères, comme d'ailleurs la majeure partie des publicités d'ordre alimentaire que les personnes regardent à la télévision. Toutes provoquent le désir compulsif de consommer, et sont bien entendu composées de produits addictifs comme le sucre, de façon à lier les enfants comme les adultes à cette forme d'alimentation toxique. voici un article intéressant sur ce sujet :

 

Les céréales, pires que la «junk-food» ?  (par sante.lefigaro.fr)

 

Les petits déjeuners pour enfants contiennent beaucoup trop de sucre. La palme revient aux Smacks. On devrait toujours se méfier de la bonne conscience. Pensant bien faire, nombreux sont les parents qui achètent des céréales pour le petit déjeuner de leurs enfants, ne se doutant pas que ceux-ci contiennent en réalité plus de sucre que de céréales.

 

Une organisation indépendante américaine de santé publique à but non lucratif, Environmental Working Group (EWG), a passé au crible plus de 80 paquets de céréales transformées. Le résultat fera réfléchir les parents. Beaucoup d'entre eux refusent que leurs enfants prennent un gâteau (cookies, donuts) en guise de petit déjeuner, or nombreuses sont les céréales qui contiennent plus de sucre qu'un dessert.

 

EWG a même établi un classement des plus mauvais élèves. Sur la première marche du podium, un best-seller chez les enfants, les Smacks de Kelloggs, des grains de blé soufflés caramélisés. Viennent ensuite les Coco Pops, des céréales au riz soufflé avec du chocolat, puis d'autres vendus aux États-Unis (et pas en France) contenant notamment des marshmallows. Selon les études réalisées par EWG, une tasse de Smacks de Kellogs contiendrait à peine plus de sucre qu'un donuts (20 grammes contre 18). Autrement dit, un bol de Smacks représente entre 8 à 10 morceaux de sucre. Les normes de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ne sont pas respectées, puisque certaines céréales contiennent parfois plus de 50 % de sucre alors qu'il devrait y en avoir 10 %.

 

«Je ne suis pas étonné par les résultats obtenus, analyse Serge Ahmed, directeur de recherche au CNRS et auteur, il y a quelques années, d'une étude qui avait beaucoup marqué sur le potentiel addictif du sucre et du goût sucré. Le plus surprenant est que les industriels appellent ces produits des céréales alors qu'il s'agit en réalité de sucreries.» En termes juridiques, ce type de manquement dans l'appellation s'appelle une tromperie sur les qualités substantielles.

 

Selon Serge Ahmed, les enfants constituent une «proie facile» pour les industriels de l'agroalimentaire car ils sont dotés d'un système de récompense très facile: pour eux, plus l'aliment qu'ils consomment contient de sucre, mieux c'est. «Ils sont très sensibles aux gratifications immédiates, comme un apport en sucre, mais ils n'ont pas conscience à long terme de l'effet de ces aliments, explique Serge Ahmed. À leur âge, le cortex préfrontal n'étant pas encore fini, ils ne peuvent pas limiter leur appétit. C'est donc aux adultes de le faire.»

 

Potentiellement diabétogènes

 

Cette consommation de produits riches en sucre est totalement anormale physiologiquement. Il y a une cinquantaine d'années, aucun être humain n'était confronté à de telles concentrations en glucose. Aujourd'hui, on estime que notre consommation de sucre serait trois fois trop importante. Un problème d'autant plus difficile à résoudre que l'on en trouve dans une multitude d'aliments industriels, y compris les plus inattendus, comme le jambon vendu sous vide.

 

L'organisation EWG estime que pour faire des petits déjeuners sains, il est préférable de privilégier les céréales entières non transformées, au packaging généralement moins glamour. Le matin, il convient également de manger des fruits entiers plutôt que du jus de fruits ou des œufs, comme les font les Anglo-Saxons.

 

Consommer ce type de céréales très sucrées est-il mauvais pour la santé ? Ces céréales sont potentiellement diabétogènes. «Chez les personnes prédisposées génétiquement, on voit apparaître un diabète de type 2 (non insulinodépendant) à partir de 15 ans, observe le professeur Patrick Vexiau, chef de service de diabétologie à l'hôpital Saint-Louis (Paris). Or il y a une trentaine d'années, on n'observait pas ce type de phénomènes, le diabète de type 2 n'existait pas avant 45 ans !»

 

Outre l'apparition éventuelle d'un diabète, il est désormais connu que le sucre peut provoquer une addiction chez certaines personnes. Un quart d'heure après en avoir été ingéré, le glucose stimule des récepteurs dans le cerveau qui activent le système dopaminergique de récompense, rappelle Serge Ahmed. Consommer trop de sucre agit donc comme une drogue, insiste également l'étude de EWG qui observe que les enfants qui en abusent connaissent souvent des difficultés à l'école.

 

Enfin, des études, menées jusqu'à présent exclusivement sur l'animal, ont montré que l'exposition précoce à des produits riches en sucre amoindrit les capacités de contrôle (motivation, émotion). Les enfants gros mangeurs de sucre seraient donc plus enclins à adopter des comportements à risque.

 

 

 

 

La "junk food"

 

Les industriels de la "malbouffe" ont étudiés nos comportements très finement, et ont fait de la plupart des personnes des esclaves d'une nourriture addictive et dangereuse, mais juteuse financièrement, car jouant sur les plaisirs des sens, et peu importe les dégâts causés physiologiquement comme psychologiquement. La plupart des personnes n'ont aucune idée de ce qui se trame derrière les activités alimentaires industrielles, qui ont pris le pouvoir sur les populations, les amenant à consommer leurs produits dangereux, et à détruire leurs précieuses santé. Et une fois les personnes malades, ces dernières deviennent le lit tout aussi lucratif des industries pharmaceutiques des médicaments. La boucle est bouclée. La grande majorité des populations mondiales sont exploitées sur l'autel de l'argent.

 

La «junk food» aussi addictive que les drogues !  (20minutes.fr)

 

Une étude sur les rats menée par des chercheurs américains le prouve...

 

Drogué par la «junk food». Les mêmes mécanismes du cerveau sont à l'oeuvre dans la consommation compulsive de nourriture hautement calorique et dans la dépendance aux drogues, ont montré des chercheurs lors d'expériences sur des rats.

 

Les travaux de Paul Johnson et Paul Kenny (Scripps Research Institute, Jupiter, Floride) démontrent, chez le rat, que le développement de l'obésité coïncide avec une détérioration progressive de l'équilibre chimique du cerveau dans le circuit de récompense (aussi appelé centre du plaisir), impliqué dans les addictions.

 

Des rats obèses

 

Les chercheurs ont offert régulièrement à des rats de la nourriture hautement calorique (bacon, saucisse, gâteau, chocolat) en plus de leur nourriture habituelle, plus saine mais moins appétissante. Les animaux ont rapidement développé l'habitude de se suralimenter de façon compulsive, consommant davantage de nourriture grasse et calorique (junk food) jusqu'à devenir obèses.

 

Parallèlement, leur circuit de récompense répondait de moins en moins, une modification très semblable à ce qui se passe dans le cerveau de rats consommateurs de cocaïne ou d'héroïne.

 

Pour les chercheurs, ces résultats confirment les propriétés addictives de la junk food.

 

L'étude «présente la preuve la plus précise et rigoureuse que l'addiction aux drogues et l'obésité sont fondées sur les mêmes mécanismes neurobiologiques sous-jacents», a déclaré Paul Kenny.

 

Une perte totale du contrôle de leur comportement alimentaire

 

Les chercheurs ont également conditionné les rats à craindre un choc électrique à la vue d'une lumière rouge. Alors que les rats nourris normalement arrêtaient de manger lorsque la lumière rouge s'allumait, ceux devenus obèses, habitués à une nourriture riche, continuaient de manger.

 

«Dans cette étude, les animaux ont complètement perdu le contrôle de leur comportement alimentaire, premier signe de l'addiction. Ils continuaient à se suralimenter même lorsqu'ils anticipaient un choc électrique, ce qui montre bien combien ils étaient motivés pour consommer de la nourriture appétissante», a expliqué Paul Kenny.

 

Les chercheurs ont par ailleurs montré chez les rats obèses une réduction du taux de récepteurs à dopamine, une substance chimique libérée dans le cerveau par des expériences agréables comme la nourriture ou le sexe, ou les drogues.

 

Le même phénomène est observé chez l'homme en cas de dépendance à une drogue !

 

Dans la vidéo ci-contre (censurée sur YouTube, Vimeo, etc. - j'ai été obligé de l'héberger sur mon propre serveur), durant un mois, le réalisateur américain Morgan Spurlock a mangé McDo, matin, midi et soir. Il a grossi de 13 Kilos et s'est rendu malade très rapidement. Son documentaire décrit les effets de cette consommation toxique. L'idée lui est venue lorsque deux clientes ayant portées plainte contre McDonald aient été déboutées. Il est allé jusqu'au bout de la logique américaine qui combine sédentarité et alimentation trop riche. Il était suivi par plusieurs médecins.

 

Acheter des produits frais et les cuisiner soi-même est la meilleure façon de contrôler son alimentation, car déchiffrer les données nutritives des plats cuisinés nécessitent une attention que la plupart des gens ne prennent pas le temps d'avoir. La logique des nutritionnistes n'est bien entendu pas la même que celle des industriels, car s'ils font des produits moins gras et moins sucrés, ils auront moins de goût et donc ils vendront moins. Les Fast-Foods sont devenus la plaie du monde moderne en terme de santé publique, et si vous aimez vraiment vos enfants, ce que je ne doute pas bien évidemment, ne leur donnez pas à manger cette nourriture addictive et réellement empoisonnante, et tout cela pour le profit d'une poignée d'industriels malveillants. Les Fast-foods, c'est uniquement du business et rien d'autre ! Votre santé ne les préoccupe pas. Cette vidéo, censurée sur Youtube, vous dit tout, sans complaisance mais avec un certain humour, et c'est bien entendu affligeant pour certains secteurs agro-alimentaires et pour ces chaînes de restauration qui y sont associées, d'où la censure...

 

 

 

 

Baguette ou pain blanc

 

Tout ce qui est raffiné est extrêmement toxique pour la santé, et finalement équivaut au sucre blanc en termes de poison. Ces produits ont un IG élevé, qui de surcroît "pompent" sur les réserves du corps les minéraux pour être assimilés, donc sont déminéralisants. D'autre part, la baguette blanche (ou le pain blanc) que la plupart des personnes consomment chaque jour contient une grande quantité de produits chimiques sans que le public n'en soit informé, car la législation actuelle ne donne pas d'obligation d'étiquetage des constituants du pain. Le blé reçoit dans les champs en moyenne 7 traitements chimiques (fongicides et engrais azotés de synthèse). Ainsi, le pain français peut contenir jusqu'à 14 additifs.

 

La consommation de pain bio est bien évidemment à privilégier, et je conseillerais l'épeautre complet ou le petit épeautre complet, qui ne sont pas des variétés de blés croisés pour obtenir un meilleur rendement, ce qui rend leur gluten bien plus assimilables par l'organisme.

 

Les calories de la baguette ou du pain blanc sont vides !   (dur-a-avaler.com)

 

Le pain blanc traditionnel est réalisé avec des farines blanches raffinées appelées « T55 ». T55 veut dire que pour 100g de farine, il y aura 0,55 grammes de minéraux. Ce sont ces minéraux qui sont intéressants, ils représentent des micronutriments essentiels à la bonne santé de votre organisme.

 

En comparaison avec la farine blanche T55, les pains complets peuvent atteindre 1,5 grammes de minéraux pour 100 g de farine, des farines T150 donc.

 

Vous l'aurez compris, les pains blancs sont réalisés avec les farines les plus pauvres du marché, on parle alors de calories « vides ». C'est-à-dire que vous allez manger, ingurgiter un aliment, faire travailler l'ensemble de votre système digestif... pour 3 fois rien (ou presque).

 

Du gluten, beaucoup de gluten !

 

Le pain blanc, c'est du blé, directement sélectionné par nos très chers semenciers pour des teneurs en gluten de plus en plus fortes. Or, le gluten est impliqué dans plus de 55 maladies différentes ! Les plus connues sont l'intolérance au gluten et la maladie coeliaque.

 

Autrement dit, manger du pain blanc, c'est ouvrir de grandes portes (lésions) dans votre maison (tube digestif) là où elles ne devraient pas être.

 

Du sucre, beaucoup de sucre !

 

Si le pain blanc n'est pas rempli de nutriments, mais de quoi peut-il bien être fait ? D'amidon ! Pour faire simple, l'amidon, c'est juste des sucres simples (du glucose) assemblés en très longues chaînes, ce qui forme de l'amidon. Même si le pain blanc n'a pas un goût sucré d'entrée de jeu, il est pourtant fait à 85 % de glucides. Si vous voulez limiter vos apports en sucre, ne cherchez plus, arrêtez le pain blanc.

 

Il est addictif

 

Ce point découle du précédent. Le pain blanc est fait principalement de sucre (amidon, 85%), et comme tout produit « sucré », il crée une des addictions les plus fortes qui existe.

 

Il est bien difficile de résister face à un morceau de pain, le circuit de la récompense est bien rodé, mangez du pain et c'est le bonheur assuré ! Mais pas pour vos organes !

 

Comment s'en rendre compte ? Très simple, oubliez volontairement le pain à table, et il ne faudra pas attendre 5 minutes pour entendre les premiers râleurs qui exigeront leur, ô combien vénéré, morceau de pain blanc !

 

Il possède un index glycémique élevé

 

C'est quoi encore cette histoire d'index glycémique ? L'index glycémique c'est la capacité d'un aliment à faire grimper votre taux de sucre sanguin (glycémie). Autrement dit, plus un aliment aura un fort IG (Index Glycémique) plus il fera grimper votre glycémie. Une glycémie élevée entraîne une forte production d'insuline pour faire descendre rapidement cette glycémie.

 

Ce fonctionnement est classique, et même normal. Sauf que le pain blanc augmente dramatiquement la glycémie (IG = 95, 78 sur 100 selon certains articles), et donc la sécrétion d'insuline. Cette augmentation monstrueuse aura pour conséquence une insensibilisation des cellules de notre corps à l'insuline (à cause des pics répétés) et donc d'un potentiel diabète de type 2.

 

D'autre part, l'insuline sera incapable, à terme, de stocker la totalité du sucre sous forme de glycogène (réserve de sucre), et le stockera sous forme de gras.

 

Note : un aliment possède un IG moyen, et donc recommandable, lorsqu'il est en dessous ou égal à 50.

 

Le pain blanc fait grossir

 

Oui, un aliment avec un IG aussi élevé consommé aussi régulièrement entraînera une prise de gras, et à terme, une prise de poids.

 

Même si les boulangers assurent que le pain ne fait pas grossir, mais aussi certains médecins (partenaires des fabricants de pains), le pain blanc n'est absolument pas votre allié minceur.

 

Le pain blanc est bourratif et « chassant »

 

En voilà un argument bien léger ! Pas si sûr, le pain blanc rassasie très bien. Nous l'avons dit, il est le parfait compagnon du randonneur, car après un sandwich, nulle faim ne persiste !

 

Une des conséquences logiques est qu'il est « chassant ». Cela veut dire que manger du pain blanc, c'est moins manger d'autres aliments bénéfiques pour sa santé.

 

Du sel raffiné blanc !  (fostac.ch)

 

Le sel raffiné est un poison. Le sel de cuisine vendu habituellement dans le commerce n'a plus rien d'un sel naturel, auquel 82 des 84 éléments initiaux ont été extraits pour produire ce sel industriel raffiné, ces éléments étant commercialisés séparément, entre autres comme compléments alimentaires ou préparations d'éléments-traces et de substances minérales.

 

Au sel de cuisine (donc blanc et raffiné), on ajoute volontiers, habituellement, du fluor comme combinaison. Le fluor est l'élément le plus réactif ; gaz verdâtre-jaune répandant une odeur piquante, il fait partie du groupe des halogènes. L'iode est ajouté artificiellement, parce qu'il a la réputation d'aider la glande thyroïde, et le fluor, parce qu'il est considéré comme bon pour les dents. Néanmoins, ces deux combinaisons d'éléments augmentent davantage la toxicité du chlorure de sodium.

 

Pour les organismes des hommes et des animaux, ce chlorure de sodium (NaCl) est un poison agressif et chacun peut en acquérir la conviction par un essai par l'odeur : ça sent la chimie ! Si, dans un aquarium, on utilise du sel raffiné au lieu du sel de mer, le sel empoisonne les poisons au bout de cinq minutes ; les chevaux refusent les pierres à lécher à base de ce sel.

 

Il en résulte : dessèchement des tissus, dépôts de crasses suite à la liaison de NaCl toxique aux aminoacides, d'où la formation de calculs rénaux et l'accumulation d'acide urique dans les articulations et les muscles, phénomènes accompagnés de tableaux cliniques. La perturbation de l'équilibre électrolytique fait naître des œdèmes susceptibles, à leur tour, de provoquer l'obésité et des troubles de la circulation sanguine. Le sel de cuisine est équivalent à un poison cellulaire agressif, qui surmène de surcroît les organes excréteurs.

 

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Vous l'aurez compris, tout ce qui est raffiné est à bannir de nos assiettes, sous peine de problèmes de santé inéluctables !

 

 

 

 

Pâtisseries & viennoiseries

 

Les pâtisseries et viennoiseries (encore plus industrielles) sont éminemment nocives pour l'organisme, car elles réunissent dans leurs compositions de nombreux produits toxiques et rapidement dramatiques pour la santé : sucre, lait, graisses saturées, beurre, margarine, acide gras trans, farine blanche, colorants chimiques, additifs, etc. Elles possèdent bien évidemment un IG très élevé (prise de poids) et toutes les maladies associées (obésité, diabète, cancer à plus ou moins long terme, etc.). Ce sont donc de véritables "saletés", qui sous des atours séduisantes, sont addictives et profondément destructrices.

 

Les Phosphates d'aluminium acide sodique (E541) sont par exemple utilisés dans les pâtisseries, et sont présentés comme neurotoxiques. Les risques pour la santé sont : problèmes de reins, alzheimer, problèmes de coeur, etc.

 

Si vous souhaitez conserver une bonne santé, fuyez les pâtisseries en tous genres !

 

 

 

 

Les glaces industrielles

 

Voici l'un des poisons qui s'ajoute tristement à la liste des aliments fortement toxiques pour la santé. La glace industrielle contient beaucoup de sucre, de lait, mais également beaucoup d'additifs plus empoisonnants les uns que les autres !

 

Ingrédients des crèmes glacées industrielles (reocities.com)

 

Dans notre culture actuelle, il est facile de constater que nous ne vivons plus raisonnablement. Notre façon de manger le démontre clairement: nos repas, pour la plupart, se composent d'aliments instantanés. Ceux-ci semblent peut-être répondre à nos besoins nutritifs, mais la réalité est tout autre. La plupart de ces aliments contiennent des ingrédients très néfastes. La crème glacée offre un très bon exemple pour illustrer cette situation.

 

Anciennement, la crème glacée était servie lors d'occasions spéciales, uniquement. Dans l'ère synthétique actuelle, la loi n'oblige pas les manufacturiers à énumérer les additifs qu'ils utilisent. Ils ont transformé cette "friandise" en un véritable poison. En conséquence, la plupart des crèmes glacées commerciales contiennent des ingrédients assez surprenants :

 

Éthylène glycol : Ce produit chimique de qualité inférieure est utilisé comme agent émulsif à la place des oeufs. C'est aussi un ingrédient présent dans les solvants à peinture et dans l'antigel.

 

Pipéronal : Ce produit chimique, remplaçant l'essence de vanille, est aussi utilisé pour tuer les poux.

 

Aldéhyde C 17 : Utilisé pour imiter la saveur de cerise, c'est aussi un liquide inflammable que l'on retrouve dans les teintures à base d'aniline, les plastiques et les caoutchoucs.

 

Acétate éthylique : Utilisé comme essence d'ananas, c'est aussi un nettoyeur pour le cuir. Il a été prouvé que ses vapeurs causent des dommages chroniques aux organes.

 

Aldéhyde Butylique : Utilisé dans la crème glacée à saveur d'érable, c'est aussi un ingrédient de la colle à caoutchouc.

 

Acétate acrylique : Utilisé comme saveur de banane, c'est aussi un solvant à peinture.

 

...............................

 

Composition de base globalement toxique

 

Eau, sucre, lait écrémé réhydraté, matière grasse végétale (hydrogénée ?), sirop de glucose-fructose, lactose et protéines de lait, et encore du sirop de glucose. BEURK !

 

 

 

 

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