Les vaccins...

 

               Les chiffres le prouvent, les courbes le montrent : les vaccins n'ont pas éradiqué les épidémies.

               Bien au contraire, ils ont favorisé l'émergence de maladies d'autant plus redoutables qu'elles

               surviennent sur des sujets adultes au système immunitaire affaibli.

 

 

 

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Fabrication et contaminants des vaccins

Interview du Docteur Vercoutère

Gestes si vous ne pouvez éviter un vaccin

Conséquences désastreuses du vaccin H1N1 !

Moins de maladies... pas à cause des vaccins !

Brandy Vaugham dénonce les vaccins

Vaccins, ce que tout parent doit savoir !

 

Etudes sur les enfants vaccinés et non vaccinés

Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination

Idées fausses et vaccins, un Docteur s'en mêle !

Autisme et vaccins : des preuves concrètes ?

Témoignages vidéos

Vaccins et aluminium : déni de l'état

 

Fabrication et contaminants des vaccins

 

J'ai trouvé un témoignage sur internet publié à plusieurs endroits, et qui me paraît suffisamment intéressant pour vous le proposer. Bien entendu, c'est à chacun d'accepter ou de rejeter ce qui suit, et je ne peux en aucun cas vous affirmer l'authenticité de cet article, même si ce dernier me paraît honnête.

 

Pour mon avis personnel, chacun devrait avoir la liberté de choisir ou non de se faire vacciné. Mais la question qui se pose est la suivante : sommes-nous vraiment libres de choisir, ou influencés pour ensuite croire que l'on a fait un choix ?

 

Pour revenir à ce qui suit, il s'agit d'un chercheur en vaccinologie qui a vu son collègue perdre son enfant, à la suite d'une vaccination. Suite aux recherches approfondies de ce chercheur, le doute s'est peu à peu insinué dans son esprit, jusqu'à devenir pour ce dernier une évidence sur la réalité de ce que sont réellement les vaccins.

 

Interview :

 

Voici l'interview entre Jon Rappoport et le Dr Mark R. (aujourd'hui à la retraite), issu du magazine Nexus, et traduit par Christèle Guinot :

 

Jon Rappoport : Combien de temps avez-vous travaillé sur les vaccins ?

Dr Mark R. : Longtemps. Plus de dix ans.

 

JR :  Vous étiez jadis convaincu que les vaccins étaient le signe d'une bonne médecine.

Dr Mark R. : Oui, c'est vrai. J'ai contribué à l'élaboration de quelques vaccins. Je ne vous dirai pas lesquels.

 

JR : Pourquoi ?

Dr Mark R. : Je veux préserver ma vie privée.

 

JR : Vous pensez donc que vous pourriez avoir des problèmes si vous vous montriez au grand jour ?

Dr Mark R. : Je pense que je pourrais perdre ma retraite.

 

JR : Pour quelles raisons ?

Dr Mark R. : Les raisons importent peu. Ces gens ont les moyens de vous attirer des ennuis, quand vous avez jadis été « membre du Club ». Je connais une ou deux personnes qui ont été placées sous surveillance, qui ont été harcelées.

 

JR : Harcelées par qui ?

Dr Mark R. : Le FBI.

 

JR : Vraiment ?

Dr Mark R. : Bien sûr.. Le FBI utilisait d'autres prétextes. Et le fisc peut débarquer, lui aussi.

 

JR : Vive la liberté d'expression.

Dr Mark R. : Je faisais « partie du petit cercle fermé ». Si maintenant je me mettais à citer des noms et à porter des accusations contre tel ou tel chercheur, je risquerais d'avoir des ennuis.

 

JR : Croyez-vous que les gens devraient avoir le droit de choisir de se faire vacciner ou pas ?

Dr Mark R. : Sur un plan politique, oui. Sur un plan scientifique, les gens ont besoin d'être informés de façon à pouvoir faire le bon choix. C'est une chose de dire qu'il est bon de laisser le choix. Mais si tout n'est que mensonge, comment choisir ? D'autre part, si la FDA était dirigée par des gens honorables, ces vaccins ne seraient jamais autorisés. Ils seraient étudiés jusque dans leurs moindres détails.

 

JR : Il y a des historiens médicaux qui affirment que le déclin global des maladies n'est pas dû aux vaccins.

Dr Mark R. : Je sais. Pendant longtemps je n'ai pas tenu compte de leur travail.

 

JR : Pourquoi ?

Dr Mark R. : Parce que j'avais peur de ce que j'allais découvrir. Ma tâche consistait à mettre au point des vaccins. Mon gagne-pain dépendait de la poursuite de ce travail.

 

JR : Et ensuite ?

Dr Mark R. : J'ai mené ma propre enquête.

 

JR : Quelles conclusions en avez-vous tirées ?

Dr Mark R. : Le déclin de la maladie s'explique par l'amélioration des conditions de vie.

 

JR : Quelles conditions ?

Dr Mark R. : De l'eau plus propre. Des systèmes d'égout élaborés. La nutrition. Des aliments plus frais. Une baisse de la pauvreté. Il y a beau y avoir des germes partout, quand on est en bonne santé on ne contracte pas les maladies aussi facilement.

 

JR : Qu'avez-vous ressenti au terme de votre enquête ?

Dr Mark R. : Du désespoir. J'ai pris conscience que je travaillais dans un secteur basé sur un tissu de mensonges.

 

JR : Y a-t-il des vaccins plus dangereux que d'autres ?

Dr Mark R. : Oui. Le DTC (diphtérie-tétanos-coqueluche), par exemple. Le ROR (rougeole, oreillons, rubéole). Mais certains lots sont plus dangereux que d'autres. En ce qui me concerne, je pense que tous les vaccins sont dangereux.

 

JR : Pourquoi ?

Dr Mark R. : Pour plusieurs raisons. Ils entraînent le système immunitaire humain dans un processus qui a tendance à affaiblir l'immunité. Ils peuvent véritablement provoquer la maladie qu'ils sont censés prévenir.

 

JR : Pourquoi citons-nous des statistiques qui semblent prouver que les vaccins ont brillamment réussi à éradiquer des maladies ?

Dr Mark R. : Pourquoi ? Pour donner l'illusion que ces vaccins sont utiles. Si un vaccin supprime les symptômes visibles d'une maladie telle que la rougeole, tout le monde s'imagine que ce vaccin est une réussite. Mais, sournoisement, le vaccin peut porter atteinte au système immunitaire lui-même. Et s'il provoque d'autres maladies, par exemple, une méningite, ce fait est dissimulé, parce que personne ne croit le vaccin capable d'une telle chose. Le lien passe inaperçu.

 

JR : On dit que le vaccin contre la variole a éradiqué la maladie en Angleterre.

Dr Mark R. : Oui. Mais lorsque vous étudiez les statistiques disponibles, les choses apparaissent sous un jour différent.

 

JR : C'est-à-dire ?

Dr Mark R. : Il y avait des villes d'Angleterre où des gens non vaccinés n'attrapaient pas la variole. Il y avait des endroits où des gens vaccinés connaissaient une épidémie de variole. Et la variole était déjà en voie de disparition avant que le vaccin ne soit introduit.

 

JR : Vous êtes donc en train de dire que l'on nous a raconté des histoires.

Dr Mark R. : Oui. C'est exactement ce que je suis en train de dire. C'est une histoire montée de toutes pièces pour convaincre les gens que les vaccins sont invariablement efficaces et inoffensifs.

JR : Bon, vous avez travaillé dans des laboratoires où la pureté est un aspect dont il faut tenir compte.

Dr Mark R. : Le public pense que ces laboratoires, ces unités de production, sont les endroits les plus propres du monde. C'est faux. La contamination est omniprésente. Vous avez toutes sortes de débris qui s'introduisent dans les vaccins.

 

JR : Par exemple, le virus simiesque SV4O se glisse dans le vaccin antipoliomyélitique.

Dr Mark R. : Eh bien oui, cela est arrivé. Mais ce n'est pas de cela que je veux parler. Le SV4O s'est introduit dans le vaccin antipoliomyélitique parce que ce vaccin a été fabriqué à partir de reins de singes. Mais je veux parler d'autre chose. Des réelles conditions de travail en laboratoire. Des erreurs. Des erreurs dues à un manque d'attention. Le SV40, que l'on a plus tard trouvé dans des tumeurs cancéreuses... était ce que j'appellerais un problème structurel. C'était un élément reconnu du processus de fabrication. Si vous utilisez des reins de singes, vous ouvrez la porte à des germes dont vous ignorez la présence dans ces reins.

 

JR : D'accord, mais laissons provisoirement de côté cette distinction entre les différents types de contaminants. Quels contaminants avez-vous découverts au cours de vos longues années d'activité au sein de l'industrie des vaccins ?

Dr Mark R. : Je vais vous donner quelques exemples de ce que j'ai trouvé, et aussi de ce que certains de mes collègues ont découvert. En voici une liste partielle : dans le vaccin contre la rougeole Rimavex, nous avons trouvé divers virus aviaires. Dans le vaccin antipoliomyélitique, nous avons trouvé l'acanthamoeba, qui est une amibe dite « dévoreuse de cerveau ». Le cytomégalovirus simiesque dans le vaccin antipoliomyélitique. Le virus spumeux simien dans le vaccin antirotavirus. Des virus de cancers aviaires dans le vaccin ROR. Divers micro organismes dans le vaccin contre l'anthrax. J'ai trouvé des inhibiteurs enzymatiques potentiellement dangereux dans plusieurs vaccins. Des virus de canard, de chien et de lapin dans le vaccin contre la rubéole. Le virus de la leucose aviaire dans le vaccin contre la grippe. Un pestivirus dans le vaccin ROR.

 

JR : Entendons-nous bien sur ce point. Il s'agit là de contaminants n'entrant pas dans la composition des vaccins.

Dr Mark R. : Exact. Et si vous essayez de chiffrer les préjudices que ces contaminants peuvent causer, eh bien, c'est difficile de le savoir parce qu'aucun essai n'a été réalisé, ou alors très peu. C'est la roulette russe. Vous prenez le risque. Par ailleurs, la plupart des gens ignorent que certains vaccins antipoliomyélitiques, certains vaccins d'adénovirus et certains vaccins contre la rubéole, l'hépatite A et la rougeole ont été fabriqués à partir de tissu de foetus humain avorté. Il m'est arrivé de découvrir ce que je croyais être des fragments bactériens ainsi que le virus de la polio dans ces vaccins, qui pouvaient très bien provenir de ce tissu foetal. Lorsque vous recherchez des contaminants dans les vaccins, vous pouvez tomber sur des choses qui sont étonnantes. Vous savez qu'elles ne devraient pas se trouver là, mais vous ne savez pas exactement de quoi il s'agit. J'ai trouvé ce que j'ai cru être un tout petit « fragment » de cheveu humain et aussi du mucus humain. J'ai découvert ce qui ne peut être appelé autrement que «protéine étrangère», ce qui pourrait vouloir dire à peu près tout et n'importe quoi. Il pourrait s'agir d'une protéine d'origine virale.

JR : Comment vos découvertes ont-elles été accueillies ?

Dr Mark R. : En gros, on m'a dit « Ne t'en fais pas ; c'est inévitable ». Dans la fabrication des vaccins, on utilise divers tissus animaux, et c'est là que ce genre de contamination intervient. Bien entendu, je ne parle même pas des produits chimiques classiques tels que le formaldéhyde, le mercure et l'aluminium qui sont délibérément introduits dans les vaccins à titre de conservateurs.

 

JR : Ces informations sont pour le moins atterrantes.

Dr Mark R. : Oui. Et je ne parle là que de certains contaminants biologiques. Qui sait combien, encore, peuvent être décelés ? Les autres, nous ne les trouvons pas parce qu'il ne nous vient pas à l'idée de les chercher. Si l'on utilise du tissu, disons d'oiseau, pour fabriquer un vaccin, combien de germes potentiels peut-il y avoir dans ce tissu ? Nous n'en avons aucune idée. Nous n'avons pas la moindre idée de leur nature, ni des effets qu'ils pourraient avoir sur l'homme. Faux postulats sur leur innocuité.

 

JR : Et au-delà de la question de la pureté ?

Dr Mark R. : Là, nous retombons sur cette idée erronée que se font les gens à propos des vaccins : à savoir qu'ils stimulent de façon complexe le système immunitaire afin de créer les conditions d'immunisation contre la maladie. C'est là que nous faisons erreur. Ça ne marche pas comme ça. Un vaccin est supposé « créer » des anticorps qui, indirectement, offrent une protection contre la maladie. Toutefois , le système immunitaire est bien plus vaste et va bien au-delà des anticorps et de leurs cellules « tueuses » respectives.

 

JR : Le système immunitaire,c'est quoi au juste...?

Dr Mark R. : C'est vraiment le corps tout entier. Plus l'esprit. On pourrait dire que tout cela forme le système immunitaire. C'est pour ça, qu'au beau milieu d'une épidémie, on peut trouver des personnes qui restent en bonne santé.

 

JR : L'état de santé général est donc important.

Dr Mark R. : Plus qu'important. Vital.

 

JR : Comment s'arrange-t-on pour nous présenter les statistiques des vaccins de façon trompeuse ?

Dr Mark R. : Il y a de nombreuses façons de procéder. Par exemple,supposez que 25 personnes ayant été vaccinées contre l'hépatite B contractent l'hépatite. Eh bien, l'hépatite B est une maladie du foie. Mais bien des choses peuvent être appelées "maladie du foie". On peut modifier le diagnostic. On a alors dissimulé la cause profonde du problème.

 

JR : Et ça arrive ?

Dr Mark R. : Tout le temps. Il faut que ça arrive, si les médecins partent automatiquement du principe que les personnes vaccinées ne contractent jamais la maladie contre laquelle elles sont désormais censées être protégées. Et c'est exactement de ce principe que partent les médecins. Vous savez, c'est un raisonnement circulaire. C'est un circuit fermé. Il n'admet pas d'erreur. Pas d'erreur possible. Si une personne qui a été vaccinée contre l'hépatite contracte l'hépatite ou quelque autre maladie, on exclut automatiquement tout lien avec le vaccin.

 

JR : Durant vos années de travail dans l'industrie des vaccins,combien de médecins de votre entourage ont admis que les vaccins posaient problème ?

Dr Mark R. : Aucun. Il y avait quelques chercheurs travaillant dans des compagnies pharmaceutiques, qui en privé, remettaient en question ce qu'ils faisaient. Mais ils n'auraient jamais fait de révélations, pas même au sein de leur compagnie. Pas de doutes, pas d'enquête.

 

JR : Quel a été le tournant décisif pour vous ?

Dr Mark R. : J'avais un ami dont l'enfant est mort après une injection du vaccin DTC.

 

JR : Avez-vous mené l'enquête ?

Dr Mark R. : Oui, de façon informelle. J'ai découvert que cet enfant se portait à merveille avant la vaccination. Rien ne pouvait expliquer son décès, si ce n'est le vaccin. C'est là que j'ai commencé à avoir des doutes. Bien entendu, je voulais croire que l'enfant avait reçu un mauvais vaccin provenant d'un mauvais lot. Mais en examinant les choses plus en détail, j'ai découvert que ce n'était pas le cas dans cet exemple précis. J'étais aspiré dans une spirale de doutes qui ne faisaient que grandir au fil du temps. J'ai poursuivi mon enquête. J'ai découvert que, contrairement à ce que je pensais, les vaccins n'étaient pas testés de façon scientifique.

 

JR : Que voulez-vous dire ?

Dr Mark R. : Par exemple, on ne réalise jamais d'étude à long terme sur un vaccin à l'aide d'un groupe témoin. Ce que je veux dire, c'est qu'il n'y a pas de suivi correct et approfondi, prenant en compte le fait que les vaccins peuvent provoquer, avec le temps, divers symptômes et de graves problèmes sortant du cadre de la maladie contre laquelle la personne a été vaccinée. Une fois encore, on part du principe que les vaccins ne peuvent pas entraîner de problèmes. Alors pourquoi se donner la peine de le vérifier ? En outre, ce que l'on appelle "réaction au vaccin" est bien défini, de sorte que toutes les réactions  indésirables sont censées survenir très vite après l'injection du vaccin. Mais cela n'a aucun sens.

 

JR : Pourquoi cela n'a-t-il aucun sens ?

Dr Mark R. : Parce que le vaccin continue de toute évidence à agir dans le corps pendant une longue période après l'injection. Une réaction peut être progressive. La détérioration peut être graduelle. Des problèmes neurologiques peuvent apparaître au fil du temps. C'est d'ailleurs ce qui se passe, selon les dires mêmes d'une analyse traditionnelle. Alors pourquoi cela ne pourrait-il pas être le cas avec les vaccins ? Si un empoisonnement chimique peut survenir de façon progressive, pourquoi ça ne pourrait pas être le cas d'un vaccin qui contient du mercure ?

 

JR : Et c'est ce que vous avez découvert ?

Dr Mark R. : Oui. On trouve des liens la plupart du temps. Ces liens ne sont pas parfaits. Mais si vous avez cinq cents parents dont les enfants présentent des lésions neurologiques dans l'année qui suit une vaccination, cela devrait suffire à déclencher une enquête intensive.

 

JR : Cela a-t-il suffi ?

Dr Mark R. : Non. Jamais. Cela est très révélateur.

 

JR : C'est-à-dire ?

Dr Mark R. : Les personnes qui mènent l'enquête ne cherchent pas vraiment à examiner les faits. Elles partent du principe que les vaccins sont inoffensifs. Par conséquent, lorsqu'elles daignent enquêter, elles mettent invariablement les vaccins hors de cause. Elles déclarent, « Ce vaccin est sans danger ». Mais sur quoi basent-elles leur jugement ? Sur des définitions et des idées qui lavent automatiquement le vaccin de tout soupçon.

 

JR : Il y a de nombreux cas où une campagne de vaccination a échoué, où les gens ont contracté la maladie contre laquelle ils ont été vaccinés.

Dr Mark R. : Oui, il y a beaucoup d'exemples de ce genre. Et là on fait tout simplement abstraction des preuves. On n'en tient pas compte. Les spécialistes disent, et encore quand ils daignent s'exprimer, qu'il s'agit de cas isolés mais que globalement le vaccin s'est avéré sans danger. Mais si vous additionnez toutes les campagnes de vaccination où il y a eu des préjudices et des maladies, vous vous rendez compte qu'il ne s'agit pas de cas isolés.

 

JR : Avez-vous déjà abordé le sujet dont nous parlons avec des collègues lorsque vous étiez encore en activité dans l'industrie des vaccins ? Comment ont-ils réagi ?

Dr Mark R. : Plusieurs fois, on m'a dit de me tenir tranquille. On m'a clairement fait comprendre que je ferais mieux de me remettre au travail et d'oublier mes états d'âme. Il  m'est arrivé de susciter des réactions de peur. Certains collègues cherchaient à m'éviter. Ils redoutaient d'être déclarés « coupables par association ». Dans l'ensemble, cependant, je me suis tenu à carreaux. J'ai veillé à ne pas m'attirer de problèmes.

 

JR : Si les vaccins sont nocifs, pourquoi les administre-t- on ?

Dr Mark R. : Tout d'abord, il n'y a pas de « si ». Ils sont nocifs. Ce qui est plus difficile, c'est de savoir s'ils font du mal aux personnes qui ne semblent pas en pâtir. Ensuite, on en arrive au genre de recherches que l'on devrait faire, mais que l'on ne fait pas. Les chercheurs devraient s'efforcer de découvrir une sorte de carte, ou d'organigramme, montrant exactement ce que les vaccins font dans le corps à partir du moment où ils y pénètrent. Ces recherches n'ont pas été menées. Quant à la raison pour laquelle on administre les vaccins, nous pourrions passer deux jours entiers rien qu'à énumérer toutes ces raisons. Comme vous l'avez souvent dit, à différents niveaux du système, chacun a une bonne raison : l'argent, la peur de perdre son travail, le désir de gagner des bons points, le prestige, les récompenses, la promotion, un idéalisme mal inspiré, un certain automatisme, etc.

 

JR : Le battage entourant le vaccin de l'hépatite B semble un bon filon.

Dr Mark R. : Je le pense, en effet. Affirmer que les bébés doivent se faire vacciner et puis, l'instant d'après, admettre qu'une personne contracte l'hépatite B en ayant des relations sexuelles et en partageant des seringues est une juxtaposition ridicule. Les autorités médicales essaient de se couvrir en disant qu'aux États-Unis environ 20.000 enfants contractent chaque année l'hépatite B par des « voies inconnues », c'est pourquoi tous les bébés doivent se faire vacciner. Je conteste ce chiffre de 20.000 et les prétendues études qui l'étayent.

 

JR : Andrew Wakefield, le médecin britannique qui a divulgué le lien entre le vaccin ROR et l'autisme, vient de se faire licencier de l'hôpital londonien où il travaillait.

Dr Mark R. : Oui. Wakefield a fait un sacré bon boulot. Les liens qu'il a établis entre le vaccin et l'autisme sont stupéfiants...

 

JR : Je sais qu'à Hollywood, si une célébrité affirme publiquement qu'elle ne veut pas d'un vaccin, elle fiche sa carrière en l'air.

Dr Mark R. : Hollywood est très étroitement lié au cartel médical. Il y a plusieurs raisons à cela, mais l'une d'entre elles est simplement que, dès qu'un acteur est célèbre, la moindre de ses déclarations peut avoir un énorme retentissement médiatique. En 1992, j'ai assisté à votre manifestation contre la FDA au centre ville de Los Angeles. Un ou deux acteurs se sont élevés contre la FDA. Depuis , rares sont les acteurs qui ont osé critiquer d'une façon ou d'une autre le cartel médical.

 

JR : Au sein des National Institutes of Health, quelle humeur règne-t-il, quel est l'état d'esprit général ?

Dr Mark R. : Les gens se battent pour obtenir des subventions de recherche. Remettre en question le statu quo est bien la dernière chose qui leur viendrait à l'esprit. Ils se livrent déjà à une guérilla interne pour cet argent. Ils n'ont pas besoin de problèmes supplémentaires. C'est un système très isolé. Il repose sur l'idée que, somme toute, la médecine moderne est une formidable réussite sur tous les fronts. Admettre l'existence de problèmes systémiques dans un domaine ou un autre revient à jeter le doute sur l'entreprise toute entière. On pourrait alors penser que le NIH est le dernier endroit où l'on songerait à organiser des manifestations. Mais c'est exactement le contraire. Si cinq mille personnes venaient demander des comptes sur les véritables avantages de ce système de recherche, exigeant de savoir quels réels avantages les milliards de dollars engloutis dans cet organisme ont apporté au public en terme de santé, ce pourrait être le début de quelque chose. Cela risquerait de mettre le feu aux poudres. On pourrait avoir, si les manifestations se multipliaient, toutes sortes de retombées. Des chercheurs, quelques-uns du moins, commenceraient peut-être à laisser filtrer des informations.

 

JR : Que dire du pouvoir destructeur combiné d'un certain nombre de vaccins administrés aujourd'hui aux bébés ?

Dr Mark R. : C'est une mascarade et un crime. Aucune étude approfondie n'a jamais été réalisée là-dessus. Là  encore, on part du principe que les vaccins sont sans danger et, par conséquent, que n'importe quelle association de vaccins est elle aussi sans danger. Mais la vérité, c'est que les vaccins ne sont pas sans danger. Par conséquent, les dommages potentiels augmentent lorsque l'on administre beaucoup de vaccins sur une courte période.

 

JR : Ensuite, nous avons la saison de la grippe, en automne.

Dr Mark R. : Oui. Comme s'il n'y avait qu'en automne que ces germes en provenance d'Asie affluaient vers les États-Unis ! Le public avale ça. Si ça arrive en avril, c'est un mauvais rhume. Si ça arrive en octobre, c'est la grippe.

 

JR : Regrettez-vous d'avoir travaillé toutes ces années dans l'industrie des vaccins ?

Dr Mark R. : Oui. Mais après cette interview, je le regretterai un peu moins. Et je travaille autrement. Je divulgue des informations à certaines personnes lorsque je pense qu'elles en feront bon usage. Aux fabricants de prouver l'innocuité des vaccins

 

JR : Quel message adressez-vous au public ?

Dr Mark R. : Que la responsabilité d'établir l'innocuité et l'efficacité des vaccins incombe à ceux qui les fabriquent et autorisent leur usage. Tout simplement. Ce n'est ni à vous ni à moi d'en apporter la preuve. Et pour avoir des preuves, il faut des études à long terme bien conçues. Il faut un suivi approfondi. On doit interroger les mères et prêter attention à ce qu'elles disent sur leur bébé et sur ce qui leur est arrivé après une vaccination. On a besoin de tout ça - de choses qu'on n'a pas.

 

JR : Existe-t-il un moyen de comparer la fréquence relative de ces différents effets ?

Dr Mark R. : Non. Parce que le suivi est insuffisant. On ne peut que spéculer. Sur une population de cent mille enfants qui se font vacciner contre la rougeole, si vous demandez combien attrapent la rougeole et combien développent d'autres problèmes dus au vaccin, vous n'avez pas de réponse fiable. C'est exactement ce que je suis en train de dire. Les vaccins sont des superstitions. Et avec les superstitions, on ne dispose pas de faits exploitables. On ne recueille que des histoires, dont la plupart ont pour but de conforter les gens dans leurs croyances. Mais, à partir de nombreuses campagnes de vaccination, nous pouvons reconstituer un récit qui révèle des choses très inquiétantes. Des gens ont subi des préjudices. Le préjudice est réel, il peut être profond et il peut conduire à la mort. Le préjudice ne se limite pas à quelques cas comme on a voulu nous le faire croire. Aux États-Unis, il y a des groupes de mères qui témoignent sur l'autisme et les vaccins pour enfants. Elles se font connaître et se lèvent lors des réunions. Elles essaient ni plus ni moins de combler le vide qui a été créé par les chercheurs et les médecins qui s'en lavent les mains.

 

JR : Avec du recul, pouvez-vous vous remémorer une bonne raison de dire que les vaccins sont une réussite ?

Dr Mark R. : Non, aucune. Si j'avais un enfant aujourd'hui, la dernière chose que je permettrais serait bien de le faire vacciner. J'irais vivre dans un autre État s'il le fallait. Je changerais de nom. Je disparaîtrais avec ma famille. Je ne dis pas que je serais obligé d'en arriver là. Il y a des moyens plus distingués de contourner le système, si l'on sait s'y prendre. Vous pouvez être dispensé, dans chaque état, pour des raisons religieuses et/ou philosophiques. Mais si les choses se corsaient, je n'hésiterais pas à partir.

 

JR : Et pourtant il y a partout des enfants qui se font vacciner et semblent en bonne santé.

Dr Mark R. : C'est le mot ! Qui « semblent » ! Qu'en est-il des enfants incapables de se concentrer sur leurs études ? Qu'en est-il des enfants qui piquent régulièrement des colères ? Qu'en est-il des enfants qui ne sont pas vraiment en possession de toutes leurs facultés mentales ? Je sais que ces choses ont diverses origines, mais les vaccins en sont une. Je ne prendrais pas le risque. Je ne vois aucune raison de prendre ce risque. Et franchement, je ne vois aucune raison de laisser le gouvernement avoir le dernier mot. Au vu de mon expérience, l'expression "médecine étatique" est en soi contradictoire. C'est l'un ou l'autre, mais pas les deux.

 

JR : Les règles du jeu sont donc équitables.

Dr Mark R. : Oui. Laissez ceux qui le veulent se faire vacciner. Laissez ceux qui s'y opposent les refuser. Mais, comme je l'ai dit plus tôt, on ne peut parler de règles équitables si les dés sont pipés. Et lorsqu'il s'agit des bébés, ce sont les parents qui prennent toutes les décisions. Ces parents ont besoin d'une bonne dose de vérité. Que dire de l'enfant dont j'ai parlé, qui est mort du vaccin DTC ? Sur quelles informations ses parents se sont-ils basés ? Je peux vous dire qu'ils y ont longuement réfléchi. Ce n'étaient pas des informations authentiques.

 

JR : Les responsables de la communication médicale, de concert avec la presse, effraient les parents à coup de scénarios catastrophes sur ce qui va arriver si leurs enfants ne se font pas vacciner.

Dr Mark R. : Ils laissent entendre que c'est criminel de refuser le vaccin. Cela équivaut à être de mauvais parents. C'est en étant mieux informé que l'on peut combattre cela. Ce n'est jamais facile de lutter contre les autorités. Et il n'y a que vous pour décider de le faire ou pas. À chacun de choisir son camp. Le cartel médical aime ce genre de pari. Il est à peu près certain que la peur l'emportera.

 

 

 

 

Interview du Docteur Vercoutère

 

 

Renseignez-vous également sur internet des nombreux adjuvants utilisés pour la fabrication des vaccins (détergent, formol (classé en 2004 comme cancérigène), mercure, aluminium, squalène, etc.), et de leur impact sur la santé. Demandez-vous également si le portefeuille de certains, ainsi que d'autres intérêts dans les sphères décisionnaires, ne se fait pas aux dépens de la véritable santé des citoyens. Faites-vous une idée par vous-même avec des recherches des deux côtés, afin de construire votre propre raisonnement, en toute indépendance de manipulation éventuelle.

 

 

 

 

 

Geste santé en cas de vaccination

 

Que faire pour neutraliser un vaccin ?  (non expérimenté)

 

> En cas d'impossibilité totale d'échapper à un vaccin, se munir d'un tube d'argile en pâte (vendu en diététique), d'une bande de gaze et de sparadrap.

 

> Gagner les toilettes aussitôt après l'injection et étaler abondamment l'argile à l'emplacement du vaccin avant de fixer le pansement.
grippe h1n1
> Garder au moins deux heures. Le vaccin sera absorbé presque en totalité par l'argile.
grippe h1n1
Toutes les opérations de ce genre qui ont été effectuées sur des bébés, des chiens et des chats se sont avérées efficaces à près de 100 %, sans apparition des manifestations courantes (température, abattement, etc.).

 

Par mesure de sécurité, il est possible, en plus, de stimuler les défenses par les différentes méthodes qui suivent, au choix ou en association :

 

> Extrait de pépin de pamplemousse : 30 gouttes dans de l'eau, 3 fois par jour pendant 2 à 3 jours.

 

> Chlorure de magnésium : 40 ml de solution pour un adulte - 25 ml pour un enfant, trois fois par jour, le jour de la vaccination et le lendemain. Préparation 20g (1 sachet) dans 1 litre d'eau (en pharmacie).

 

 

 

 

Narcolepsies après le vaccin H1N1

 

Le British Medical Journal (BMJ), une des plus prestigieuses revues médicales au monde, a publié une étude prouvant une spectaculaire hausse de la narcolepsie provoquée par le vaccin Pandemrix, très largement utilisé contre la grippe H1N1 en 2009. (1)

 

Le problème avait été signalé par les autorités finlandaises et suédoises dès le mois d'août 2010, qui avaient constaté une multiplication par 13 du risque de narcolepsie chez les enfants et les jeunes vaccinés. (2) Le Pandemrix est un produit de la société pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK).

 

La narcolepsie est un trouble neurologique dévastateur. Les personnes atteintes peuvent s'effondrer endormies après la moindre émotion, comme par exemple un simple éclat de rire. Peut-on imaginer pareille vie où le fait de rire devient dangereux ? Ce n'est malheureusement pas là le seul symptôme de la narcolepsie. Elle peut également provoquer des hallucinations, des paralysies, des difficultés de concentration, de l'agitation, des difficultés à s'endormir normalement, de terribles cauchemars, de la catalepsie : la personne s'écroule alors qu'elle est en train de vaquer à ses occupations quotidiennes. Les personnes atteintes ne peuvent donc plus faire aucune activité potentiellement dangereuse, y compris conduire une voiture.

 

Il n'existe aucun remède connu. On administre généralement aux victimes de puissants médicaments pour contrôler les symptômes. Il s'agit notamment d'amphétamines ou de médicaments apparentés comme l'Adderall. Tous ces médicaments peuvent provoquer de graves effets secondaires comme la tachycardie, de la diarrhée, de la nervosité, de la fatigue, des vomissements, de l'anxiété, des palpitations, des tremblements et des épisodes maniaques.

 

Le déni… puis l'aveu :

 

Devant cette catastrophe sanitaire, il a d'abord été expliqué que la hausse de la narcolepsie observée en Finlande et en Suède était probablement liée à des particularités locales.

 

D'importantes études furent néanmoins entreprises dans d'autres pays. Et de fait, une étude française coordonnée par le Dr Antoine Pariente, faisant partie d'une série d'études européennes rendues publiques le 20 septembre 2012, évoqua à son tour un risque multiplié par quatre chez les personnes vaccinées de développer une narcolepsie, et ce sur des patients français.

 

La nouvelle fit quelques entrefilets dans les journaux en septembre dernier, (2) mais, aujourd'hui, c'est le British Medical Journal lui-même qui tire la sonnette d'alarme. Et l'étude sur laquelle il s'appuie, réalisée sur des patients en Grande-Bretagne, fait état d'une hausse plus forte encore qu'en Finlande et en Suède, le risque étant multiplié par 14,4 !

 

Selon les chercheurs, les cas de narcolepsie provoqués par le Pandemrix devraient se compter par milliers.

 

Une étude rigoureuse :

 

Les chercheurs ont examiné les dossiers des enfants dont le diagnostic de narcolepsie avait été établi au cours de la période où le vaccin fut administré. Ils se sont procuré les listes des 23 centres spécialisés en narcolepsie auprès de la British Sleep Society et de la British Paediatric Neurology Association. Ils ont fixé des normes strictes pour exclure de l'étude tout enfant dont le diagnostic de narcolepsie n'avait pas été clairement établi.

 

Des questionnaires furent envoyés aux différents médecins traitants pour s'assurer que ces enfants avaient bien reçu le vaccin Pandemrix et à quelle date. Ces informations furent comparées aux dates d'apparition des narcolepsies. Ce que ces chercheurs ont trouvé est net :

 

«Cette étude montre une augmentation significative du risque de narcolepsie chez les enfants ayant, en Angleterre, reçu la souche du vaccin pandémique Pandemrix avec l'adjuvant AS03 (squalène). Notre étude a donné un quotient de probabilité de 14.4 (4.3 à 48.5) pour l'analyse primaire. Ces chiffres sont compatibles avec le risque relatif de 13 trouvé en Finlande dans une étude rétrospective (de cohorte.»

 

Leurs résultats indiquent que le Pandemrix a provoqué 14,4 fois plus de cas de narcolepsie que ce à quoi on aurait normalement dû s'attendre !

 

Une des raisons qui pourrait expliquer que l'augmentation de la narcolepsie n'a pas été notée en Angleterre est le fait que la vaccination Pandemrix chez les enfants n'avait pas été généralisée, alors qu'en Finlande où la tragédie a été rapidement signalée, la couverture vaccinale était généralisée. En Angleterre, la couverture vaccinale générale était de 27,3% ; de 43,9% dans les groupes à risques (les personnes infectées par le H1N1 étaient considérées à haut risque) et de 26,2% pour les enfants qui n'étaient pas à risque.

 

Des milliers de cas de narcolepsie :

 

Ce qui est maintenant tout à fait clair, c'est que partout dans le monde, le Pandemrix a provoqué des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants en l'espace de quelques années.

 

Il n'y a aujourd'hui plus moyen de nier la réalité de ces drames provoqués par un vaccin qui a été imposé aux populations dans la précipitation, après une campagne alarmiste pour une maladie qui était en fait bénigne.

 

Les chercheurs ont déclaré encore plus explicitement :

 

« Le risque accru de narcolepsie après une vaccination avec l'adjuvant ASO3 du vaccin pandémique A/H1N1 indique une association causale, conformément aux conclusions de la Finlande. »

 

Il n'y a donc plus moyen d'échapper à la réalité : l'adjuvant ASO3 du Pandemrix provoque la narcolepsie. La question est maintenant de savoir quelles autres maladies auto-immunes risquent d'apparaître au cours des prochaines années à la suite de ce vaccin ?

 

Squalène : l'adjuvant qui détruit des vies :

 

Les chercheurs ont également clarifié le fait que c'était l'adjuvant ASO4 utilisé dans le Pandemrix qui a provoqué la narcolepsie. Nombreuses sont les voix qui ont voulu mettre en garde contre les risques du fait que l'ingrédient actif du ASO4 est le squalène.

 

Même si le squalène était interdit, le problème des adjuvants dangereux resterait entier. Les chercheurs ont démontré que l'aluminium, un autre adjuvant pour les vaccins, est à l'origine d'une vaste palette d'effets indésirables comme le lupus érythémateux, la myofasciite à macrophages, l'arthrose rhumatoïde, le syndrome des antiphospholipides, ainsi que d'autres troubles gravement débilitants.

 

Enfin, il y a la nouvelle génération d'adjuvants transgéniques réalisée avec des bactéries qui fabriquent des particules de type antigène. Ces dernières jouant le rôle d'antigènes et d'adjuvants, comportent des risques similaires à ceux du squalène. Ce sont tous des lipides. Depuis des décennies, on sait que l'injection d'un lipide est susceptible de provoquer des maladies auto-immunes. Au cours des premières années d'expérimentation de ces types d'adjuvants, on avait pu déterminer qu'ils étaient trop dangereux pour être utilisés dans les vaccins. En fait, ces adjuvants sont utilisés dans des expérimentations animales pour provoquer des troubles auto-immuns afin de permettre la mise au point de traitements pour les maladies humaines qu'ils répliquent.

 

Comment est-il possible de prétendre que pareils adjuvants sont sans danger ?

 

Le fait est que la tragédie évoquée ici était tout à fait évitable. Les dangers de l'injection de squalène sont connus depuis des dizaines d'années. Aucune excuse n'existe pour leur utilisation dans les vaccins.

 

Le prix payé :

 

Ces enfants atteints de narcolepsie sont condamnés à une vie de handicap, en conséquence de la narcolepsie mais aussi des médicaments qui leur seront prescrits contre la narcolepsie. Quand, en outre, on réalise que la maladie contre laquelle ils étaient censés être protégés s'est avérée bénigne, on réalise que la tragédie est totalement inexcusable.

 

Il devient également très clair que ces enfants auront à souffrir pour le restant de leur vie, sans avoir jamais la chance de jouir pleinement de la vie et cela pour une seule et unique raison : la cupidité. Car les personnes souffrant de narcolepsie suite à l'utilisation du Pandemrix payent en fait le prix fort pour la cupidité de GSK, celle des agences gouvernementales et des médecins.

 

Jean-Marc Dupuis, d'après un texte de Heidi Stevenson.

 

 

 

 

La disparition des maladies infectieuses

n'est pas due aux vaccins !

 

Les chiffres le prouvent, les courbes le montrent: les vaccins n'ont pas éradiqué les épidémies. Bien au contraire, ils ont favorisé l'émergence de maladies d'autant plus redoutables qu'elles surviennent sur des sujets adultes au système immunitaire affaibli.

 

Il existe actuellement un rejet très net du principe vaccinal à cause des nombreux effets secondaires graves qu'il génère. Cependant, même les victimes de l'obligation vaccinale persistent à affirmer que, malgré les risques, les vaccins ont « éradiqué » les maladies infectieuses de la planète.

 

Or, dès que l'on se penche sur la question, on s'aperçoit qu'il n'en est rien et que certaines épidémies qui ont ravagé nos pays ont disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins semblent ignorer. Ainsi, en 1348, la peste noire fit périr la majorité de la population française, puis elle a sévi pendant des siècles à travers le monde pour s'éteindre totalement sans aucune vaccination. Le choléra a, lui aussi, semé la terreur dans notre pays pour disparaître totalement sans aucun vaccin. Si la vaccination contre ces maladies avait existé et avait été obligatoire durant ces périodes critiques, il est probable que l'on aurait attribué cette disparition aux bienfaits des vaccins. Or, il faut imputer ces régressions à d'autres facteurs. Quant à la lèpre, qui existe encore dans certains pays à l'état endémique, elle ne cause plus de ravages comme elle le fit par le passé, et les grandes épidémies ne sévissent plus, bien qu'il n'existe aucun vaccin contre cette maladie.

 

D'une manière générale, il suffit d'observer les courbes de déclin des maladies pour s'apercevoir que ce déclin a toujours commencé bien avant l'introduction des vaccins.

 

Tuberculose et BCG :

 

L'un des exemples les plus spectaculaires est celui du BCG. En 1812, à New York, le taux de mortalité par la tuberculose était de 700 pour 100000. En 1882, l'année où Koch découvrit son fameux bacille, il était tombé à 370. En 1904, le taux de mortalité avait encore chuté à 180 et, après la Seconde Guerre mondiale, il n'était plus que de 48 pour 100000, sans aucune vaccination, il est important de le signaler.

 

Et si l'on observe la courbe de mortalité en Allemagne entre 1750 et 1950, on remarque que les cas ont diminué bien avant la vaccination. Quant à la courbe de mortalité en Grande-Bretagne entre 1865 et 1964, elle permet de constater une diminution régulière et spectaculaire des cas, avec des paliers durant les deux guerres, bien avant l'introduction du vaccin en 1955.

 

En outre, selon le document sur la tuberculose publié par l'OMS en 2003, on note qu'en 1980, il y avait 29991 cas en Allemagne et 17199 cas en France. Or, la RFA a supprimé en 1973 l'utilisation du BCG, et la RDA en 2001; il n'y a plus que 6959 cas de tuberculose, soit 84 cas par million d'habitants en Allemagne, mais en France, malgré (ou à cause de) l'obligation vaccinale qui n'a été supprimée qu'en 2007, on trouve encore 96 cas par million d'habitants, soit un total de 5814 cas. D'ailleurs, contrairement aux «craintes» des services de santé, lorsque ce vaccin n'a plus été obligatoire et que l'incidence du vaccin a très fortement chuté, on a pu déceler le moindre signe d'augmentation des cas liée à cette diminution. Au contraire, il s'est produit une nette diminution des méningites tuberculeuses et moins de cas de tuberculose chez les enfants, même dans les régions les plus exposées. L'un des arguments avancés pour le maintien du BCG est qu'il protégerait efficacement de la méningite tuberculeuse. Or, dès 1973, le Dr F. Freerksen, directeur de l'Institut de biologie expérimentale allemand, précisait: « Le dogme de l'absence de méningite tuberculeuse chez les vaccinés doit être abandonné (entre 1964 et 1968, à Vienne, sur quatre méningites tuberculeuses, deux se sont produites chez des sujets vaccinés). » L'année même, la République fédérale allemande supprimait ce vaccin. Pour sa part, le Pr Jean Costil, de l'hôpital Trousseau à Paris, a pu observer huit cas de méningite tuberculeuse, survenus entre 1978 et 1988, chez des enfants vaccinés avec le BCG.

 

On cite souvent le décès de 6 enfants âgés de moins de 5 ans par la tuberculose en 1995, mais on «oublie» toujours de dire que, sur les 6 enfants, 3 étaient correctement vaccinés par ledit BCG.

 

Le cas de la diphtérie :

 

La diphtérie est aussi un exemple frappant de la disparition de la maladie avant la vaccination systématique. En Australie, dès 1923, K. R. Morre avait remarqué que la diphtérie avait autant régressé dans les localités non vaccinées que dans celles où les vaccinations avaient été recommandées. Son étude a paru dans le Bulletin de l'office intérieur d'hygiène publique en 1926. Depuis cette époque, de nombreuses observations basées sur les chiffres fournis par l'OMS ont montré une décroissance identique de la diphtérie en Allemagne, en Hongrie, en Suisse, en Pologne et aux États-Unis. Quant au japon non vacciné et au Canada vacciné, l'incidence n'est pas la même, mais la diminution des cas est tout aussi spectaculaire. Entre 1944 et 1952, le Japon, qui avait entrepris une campagne vaccinale, l'arrêta à la suite d'une quarantaine d'accidents vaccinaux mortels. Pourtant, le déclin de la maladie fut remarquable, de onze à quinze fois moins de morbidité et de mortalité, alors que le pays souffrait encore des conséquences de sa défaite: sous-alimentation et misère extrême. Comme le signale Fernand Delarue dans son ouvrage L'Intoxication vaccinale, « si la vaccination a semblé faire merveille au Canada, la non-vaccination a elle aussi réalisé des prodiges au Japon ».

 

En France, de 1945 à 1950, le nombre de décès est tombé de 1839 à 121 chez les enfants de 1 à 14 ans (vaccinés) et de 517 à 34 chez les moins de 1 an (non vaccinés), soit une baisse de 93 % dans les deux cas.

 

Le déclin naturel de la diphtérie est inscrit au crédit de l'action vaccinale, alors qu'il s'agit d'un phénomène spontané de régression épidémique dans tous les pays d'Europe, qu'il y ait eu vaccination ou pas. L'étude la plus complète sur l'incidence de la vaccination antidiphtérique a été faite en 1954 par le Pr Robert Rendu et est parue le 20 février de la même année dans le Journal de médecine de Lyon. « Comme cette régression "spectaculaire" a plus ou moins coïncidé avec l'extension de la vaccination dans tous les pays civilisés du monde, on a en a conclu que c'était l'anatoxine qui avait fait reculer la diphtérie. »

 

Par ailleurs il ne faut pas oublier que la vaccination contre la diphtérie a été suivie par des épidémies de poliomyélite directement liées à la vaccination anti­diphtérique.

 

Poliomyélite et tétanos :

 

Vers la fin des années 40, on dénombra en Angleterre et au pays de Galles de nombreux cas de poliomyélite après l'injection du vaccin antidiphtérique, ce qui mena à interdire le vaccin dans ces pays en avril 1950. Et sur 1308 cas de paralysie survenus à cette époque chez des enfants âgés de 6 mois à 2 ans, 170 cas étaient liés à une injection antidiphtérique.

 

Pour le tétanos, la situation est différente. La maladie n'étant pas contagieuse, elle ne se transmet donc pas par contact d'individu à individu, et elle n'est pas immunisante. « Puisqu'un malade guéri du tétanos n'est jamais immunisé contre une seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il mieux protéger de la maladie ? » demandait en 1949 le Dr Robert Rendu, de la faculté de médecine de Lyon, dans La Presse médicale. Entre 1943 et 1947, cinq millions au moins d'enfants ont été vaccinés, soit plus de la moitié de la population âgée de 1 à 14 ans. « Cette vaccination massive aurait dû entraîner une diminution considérable du nombre de décès, or les statistiques officielles montrent que le nombre de décès infantiles par tétanos n'a guère varié de 1943 à 1947 (un décès en moyenne par département et par an). »

 

La courbe de la mortalité moyenne annuelle due au tétanos en Grande-Bretagne et au pays de Galles montre que celle-ci avait amorcé sa descente des décennies avant le début de la vaccination.

 

En résumé, ce sont les pays où la vaccination est le moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record de cas de tétanos après le Portugal, alors que dans ces deux pays, cette vaccination est obligatoire.

 

Chlorure de magnésium :

 

L'enseignement médical nous prévient que la maladie succède à une plaie profonde, souillée de terre ou à une brûlure profonde. Mais il existe des tétanos en l'absence de plaie. Quant au tétanos néonatal qui atteint le nouveau-né essentiellement dans les pays pauvres, il est dû au manque d'hygiène ombilicale à la naissance. Il semblerait que le tétanos, comme la diphtérie, soit une conséquence d'un manque de magnésium.

 

Il faut savoir que les traitements non officiels reposent sur le chlorure de magnésium dont on connaît l'efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu et du Pr Delbet. Nicolas Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu'il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie. Pierre Delbet voulut présenter ce rapport à l'Académie de médecine, mais il se heurta à une opposition farouche de la part du corps médical. C'est dans une lettre adressée au Dr Neveu en date du 16 novembre 1944 qu'il révèle: « La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l'académie a trouvé, après 6 mois de réflexion, l'argument suivant: en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie on empêcherait les vaccinations et l'intérêt général est de généraliser ces vaccinations. »

 

Il ressort de ce rapport que l'Académie de médecine a décidé délibérément d'étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vies, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins.

 

Les cahiers de biothérapie (n° 39, septembre 1973) ont publié les résultats des docteurs Fumeron et Neveu, confirmés par le Dr Chevreuil, de Nantes, concernant des personnes atteintes de tétanos et considérées comme perdues: ils ont obtenu des résultats spectaculaires en injectant 5 grammes de chlorure de magnésium dans 20 cm de sérum physiologique par voie intraveineuse.

 

Selon l'OMS, le taux d'anticorps (ou antitoxine) de 0,01 UI/ml est considéré comme protecteur. Mais la présence d'anticorps n'est pas une garantie de sécurité, aussi impose-t-on des rappels tous les cinq ans aux enfants et tous les dix ans aux adultes pour « assurer » la restauration de l'immunité. Or, dans le journal médical Neurology (t, 42, 1992), Crone et Rider citent le cas d'un patient âgé de 29 ans atteint d'un tétanos sévère alors qu'il avait été hyper-immunisé en vue de produire une immunoglobuline antitétanique. Son taux d'anticorps était de 3 300 fois le taux considéré comme protecteur. De même, en 1991 à l'hôpital de Dar es-Salaam, en Tanzanie, sur 10 cas de tétanos chez les nouveau-nés, 9 mères avaient des taux d'anticorps suffisants pour protéger le bébé (jusqu'à 400 fois le taux protecteur).

 

En août 1987, eut lieu à Leningrad la VIlle conférence internationale sur le tétanos. Ce fut l'occasion de faire le point sur le vaccin que les représentants de l'OMS voulaient inclure dans un vaste programme de vaccination. Le Dr Masar démontra alors que sur 28 cas de tétanos en Slovaquie, 20 malades avaient été correctement vaccinés. D'ailleurs, l'Unicef a acheté 4,3 milliards de doses en quinze ans sans faire baisser le moins du monde l'incidence de la maladie.

 

Armées vaccinées :

 

Dans l'armée française, la plus vaccinée des armées alliées (plus de quatre millions de vaccinations d'octobre 1936 àjuin 1940), le taux de morbidité tétanique par mille blessés est resté le même pendant la campagne de 1940 qu'avant ces vaccinations massives. Dans l'armée grecque, non vaccinée, la fréquence du tétanos au cours de la dernière guerre a été sept fois moindre que dans l'armée française.

 

Dans l'armée américaine, pendant la Deuxième guerre, il y eut 10 millions de mobilisés, un demi-million de blessés et 12 cas de tétanos, 6 chez les non-vaccinés et 6 chez les vaccinés. En Belgique, le Dr Kris Gaublomme a rassemblé toute une série d'articles, publiés dans The International Vaccination Newsletter de septembre 1996, qui corroborent les observations précédentes.

 

On proclame volontiers que ce vaccin est le mieux toléré et le plus anodin, mais son innocuité est loin d'être démontrée. Les effets indésirables ne sont pas rares et peuvent être graves sur le court ou le long terme.

 

Vaccin anti-hépatite B :

 

Il en est de même pour le vaccin anti-hépatite B. Lors de la folie vaccinale de 1994 qui a permis de vacciner la moitié de la population française, la courbe de la Courly, qui réunissait les échantillons sanguins provenant de la surveillance épidémiologique de 70 laboratoires d'analyses biologiques dans la région lyonnaise, montrait que l'on avait douze fois plus de cas d'hépatite Ben 1978 qu'en 1992. Cette courbe confirmait une nette diminution des cas observés depuis cette époque, donc avant la campagne publicitaire de 1994 en faveur du vaccin. Entre 1963 et 1979, la fréquence de l'hépatite B était déjà réduite de 90 %, mais cette amélioration est évidemment attribuée aux seules vaccinations, alors que la baisse des cas correspond aux mesures prises pour éviter les transmissions par seringues chez les drogués et des contaminations par le sang chez les transfusés. Un constat devrait nous surprendre: depuis l'obligation vaccinale pour le personnel de santé, la décroissance des cas aurait dû être deux fois plus rapide chez eux que dans la population générale, or elle est identique.

 

Flambée de rougeole :

 

Aux États-Unis, en 1958, on répertoriait environ 800000 cas de rougeole, mais en 1962, une année avant l'introduction du vaccin, ce chiffre était brusquement tombé à 3000. Pendant les quatre années suivantes, ce chiffre a continué à baisser alors que les vaccins administrés pendant cette période furent jugés par la suite parfaitement inutiles au point d'être abandonnés. Cependant, les vaccinations ont repris de plus belle dès 1978 et, d'après le Dr Mendelsohn, « la mortalité par rougeole a été multipliée par 25 depuis ces campagnes vaccinales ». En résumé, aux États-Unis, la rougeole est en constante augmentation depuis les vaccinations. Et un constat alarmant a été publié en 1995 par les laboratoires SmithKline Beecham, pourtant fabricants de vaccins: « Les rougeoles ont été 18 fois plus nombreuses aux USA en 1990 (27672 cas) qu'en 1983, malgré une vaccination systématique contre la maladie depuis 1978. » Et en 2006, les CDC (Centers for Desease Control and Prevention) signalaient que 89 % des enfants d'âge scolaire qui avaient contracté la rougeole étaient vaccinés.

 

En 1986, au Canada, le nombre de cas de rougeole était sept fois plus élevé qu'en 1985. La Suède a abandonné ce vaccin dès 1970 et l'Allemagne dès 1975.

 

La France incrimine paradoxalement le faible taux de couverture vaccinale, alors qu'elle atteint pourtant en moyenne plus de 95 %, et des chiffres alarmistes sont avancés pour pousser les gens, y compris les adultes, à se faire vacciner.

 

Oreillons, coqueluche et variole :

 

Il en est de même pour les oreillons, car on a constaté que les fortes couvertures vaccinales (environ 97,6%) n'empêchent pas l'apparition de la maladie. En avril 2006, une sérieuse épidémie d'oreillons s'est déclarée dans huit États du centre des États-Unis. Ce fâcheux « incident » n'a pas empêché les CDC de persister à affirmer que « le vaccin est efficace à 90 ou 95 % et que l'immunité dure alors plus de 25 ans, sans doute la vie entière ».

 

Au Royaume-Uni, la mortalité par les oreillons a chuté à partir de 1915, alors que la vaccination n'est intervenue qu'à la fin des années 60.

 

Pour ce qui est de la coqueluche, des épidémies se sont déclarées dans des populations à couverture vaccinale très élevée (entre 81 % et 91 %), notamment en Afrique du Sud en 1988-1989 ou aux États-Unis, où le nombre de cas a doublé. Ainsi, en 1993, dans le Massachusetts, 218 étudiants furent atteints par la coqueluche, alors que 96 % d'entre eux étaient vaccinés.

 

Le British Medical Journal of Medicine (n° 19 de 1995) mentionne des flambées épidémiques dans les pays où s'est généralisée la vaccination, et en 1998, le même journal signalait des épidémies de coqueluche en Hollande, Norvège et Danemark, malgré une couverture vaccinale de 96 %.

 

De son côté, Le Quotidien du médecin du 5 janvier 1994 signalait que des élèves avaient été contaminés par des camarades vaccinés, et non le contraire comme on le prétend souvent.

 

Le vaccin a fait disparaître les symptômes de la coqueluche, qui n'existe presque plus sous sa forme habituelle, mais il a fait apparaître des formes différentes de la maladie qui atteignent à présent les adultes et les adolescents avec plus de gravité la plupart du temps. La coqueluche est devenue une maladie de l'adulte.

 

En 1980, l'OMS claironnait l'éradication de la variole après avoir lancé en 1962 une dernière campagne «d'éradication» à l'échelle mondiale. Consciente que cette vaccination ne parvenait pas à enrayer le mal, l'OMS préconisa alors d'abandonner la vaccination de masse au profit d'une stratégie dite de «surveillance-endiguement». Ces déclarations officielles du 28 novembre 1972 émanaient du chef du service d'éradication de la variole à l'OMS, le Dr Donald A. Henderson. Elles furent ensuite reprises par Le Monde du 21 décembre 1977 et par les Affiches parisiennes et départementales. Ainsi, l'OMS reconnaît que la disparition de la variole n'est pas due à la vaccination systématique, mais bien à des mesures «d'hygiène» au sens large, seul rempart efficace à la propagation des germes. Mais combien de personnes savent aujourd'hui que la disparition de cette maladie n'est pas due à la vaccination de masse ?

 

Des facilitateurs de maladies :

 

En résumé, pour attester de l'action bénéfique des vaccins, on se base sur le taux d'anticorps obtenu après une injection. Certes, tout antigène introduit dans l'organisme produit une réaction. La plupart du temps, le système immunitaire exprime cette réaction par la production d'anti­corps, mais leur présence ne prouve pas qu'ils vont immuniser l'individu. Leur augmentation signe souvent un affolement des défenses immunitaires. Dans certains cas, ils fortifient la maladie et sont « facilitants ». Leurs mécanismes de régulation se trouvent souvent débordés, ce qui fait que des combinaisons anticorps­antigène, appelées «complexes immuns», restent en circulation dans l'organisme, occasionnant des maladies graves. Quant à leur durée de vie produite par un antigène vaccinal, elle est toujours plus courte que celle des anticorps naturels, ce qui indique que la vaccination met en jeu des mécanismes très différents de ceux que provoque la maladie naturelle.

 

Les vaccins facilitent l'émergence d'autres maladies d'autant que le terrain est affaibli et se laisse assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents. C'est à ce phénomène que Mirko D. Grmek, professeur d'histoire de la médecine à l'Ecole des hautes études, donne le nom de « pathocénose », qui peut expliquer les apparitions et les disparitions des épidémies. Ainsi, la vaccination anti­variolique a rendu plus virulent le bacille de Koch, ce qui explique le fléau de la tuberculose au XIXe siècle. La vaccination contre la diphtérie couplée avec la vaccination anti-coquelucheuse a rendu virulent le virus de la polio, aussi a-t-on eu des pics épidémiques quelques années après la vaccination systématique contre la diphtérie. Le vaccin contre la polio accompagné du cocktail prévu par le calendrier vaccinal a contribué à l'effondrement du système immunitaire et à l'installation d'un syndrome d'immuno­déficience acquise.

 

Le vaccin contre l'hépatite B complète les ravages causés par les autres vaccins et, s'attaquant au système nerveux de l'individu, il facilite l'installation de maladies auto-immunes qui favorisent un vieillissement prématuré. Les vaccins de même que les antibiotiques ne font que diminuer la vitalité du terrain, sa résistance naturelle, et l'altération du terrain devient une source de cancérisation. Et lorsque l'on considère qu'un enfant vacciné ne développe pas telle ou telle maladie et qu'il est immunisé, la réalité est bien différente: il n'a plus la force de réagir. Les maladies chroniques s'installent chez ceux qui ont un niveau de vitalité, d'énergie, très bas. Ils ne font pas de réactions violentes car l'organisme est sapé de l'intérieur.

 

Atteintes cérébrales :

 

D'après Harris Coulter, éminent spécialiste américain de l'histoire des vaccinations, dans son livre Vaccination, social violence and criminality, toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave. Ce phénomène s'accompagne d'une détérioration des gaines de myéline dans le cerveau. Ces modifications pathologiques conduisent à des handicaps divers et des problèmes de comportement. On considère qu'aux États-Unis, un enfant sur cinq a subi des atteintes cérébrales. Toute manifestation démyélinisante subite semble être directement imputable aux vaccinations, d'autant que des chercheurs ont découvert une similitude entre certains virus et la structure protéidique de la myéline. Cette découverte capitale explique pourquoi nombre de maladies auto-immunes apparaissent après la vaccination: le corps ne reconnaît plus l'antigène à combattre et s'attaque à ses propres cellules, entraînant des maladies très invalidantes sur le long terme. Actuellement, les immunologistes s'interrogent sur les poussées épidémiques qui surviennent dans les populations vaccinées et ce constat est évidemment embarrassant pour eux car, à l'évidence, il s'agit d'une faillite de la vaccination, qui non seulement a de terribles effets pervers mais n'a jamais « éradiqué » une maladie.

 

Par Sylvie Simon, paru dans le magazine Nexus (mars-avril 2013, n°85)

 

 

 

 

Brandy Vaugham dénonce les vaccins

 

Une ancienne employée de Merck l'avoue: "l'obligation vaccinale, c'est pour le profit et pas pour la santé publique"

 

Article du site onsaitcequelonveutquonsache.com :

 

Elle explique en détails comment les fabricants de vaccins se servent précisément des vaccins pour réaliser d'énormes profits et non pour la Santé publique. Brandy a effectué des recherches sur la sécurité des vaccins. Elle a trouvé que, non seulement les vaccins contenaient des produits toxiques connus qui pouvaient provoquer des dégâts neurologiques, mais aussi que les fabricants de vaccins ne réalisaient pas les mêmes études de sécurité pour les vaccins comme ils le font pour les autres médicaments.

              Brandy Vaugham est une ancienne représentante de ventes

                pour le fabricant de vaccins Merck & Co.

 

Ce manque de recherches sur la sécurité des vaccins ajouté aux effets secondaires de la vaccination a contribué à faire prendre à Brandy la décision de ne jamais faire vacciner son enfant. Brandy déclare qu'administrer des vaccins à nos enfants, c'est comme jouer à la roulette russe avec eux. Elle ajoute que la vaccination obligatoire est simplement un moyen pour les fabricants de vaccins de faire de plus amples bénéfices encore sur le dos de nos enfants. S'il vous plaît, ne soyez pas dupes : nous n'avons aucun besoin de vaccination obligatoire !

 

Brandy Vaugham :

 

Mon premier engagement dans l'industrie pharmaceutique comme représentante pour la firme Merck date de l'époque où le Vioxx était sur le marché. J'étais, en fait, représentante pour le Vioxx de Merck. Quand il est apparu que Merck avait falsifié ses données de sécurité, et que le Vioxx provoquait deux fois plus de crises cardiaques et accidents vasculaires cérébraux chez les personnes qui prenaient le médicament, j'ai commencé à réaliser qu'il y avait beaucoup de corruption dans les coulisses et que ce n'était pas parce qu'un médicament était sur le marché qu'il pouvait être considéré comme sûr.

 

Après avoir travaillé pour Merck, je fus assez désabusée par l'ensemble du scandale. J'ai vécu à New-York pendant huit ans, et c'est là que j'ai eu mon fils. A six mois, je l'ai ramené avec moi à San Francisco sans qu'il soit vacciné. Quand je me suis rendue à la visite médicale, ils ont essayé de nous fourguer les vaccins. A cette époque, je n'avais pas encore fait beaucoup de recherches, mais j'en savais déjà assez pour ne pas faire aveuglément confiance aux médicaments. Au cours de la visite médicale, j'ai demandé à voir la notice du vaccin. Le médecin a éclaté en colère, prétendant que je ne lui faisais pas confiance. Il sortit en claquant la porte et une infirmière me fit savoir que je ne serais désormais plus jamais la bienvenue dans cette clinique. Sachant tout ce que j'avais déjà appris en tant que représentante, ce fut pour moi un fameux et énorme signal. Je poursuivis donc mes recherches sur les vaccins, les ingrédients et les données inexactes de sécurité.

 

Je découvris beaucoup de choses. L'une d'elles était que l'aluminium était le principal adjuvant des vaccins pour enfants. J'avais déjà fait certaines recherches sur l'aluminium et avais donc déjà une certaine expérience. Ma grand-mère avait eu un cancer du sein. La biopsie avait montré des taux élevés d'aluminium dans ses tissus. Le médecin nous expliqua que ma grand-mère devait abandonner les déodorants traditionnels parce que l'aluminium qui s'y trouvait était susceptible de provoquer le cancer. C'était un produit cancérogène. Ce fut encore un fameux signal d'avertissement pour moi quand je réalisai que ces produits se trouvaient dans les vaccins pour les enfants. Je parvenais à peine à y croire !

 

J'ai continué à faire de plus en plus de recherches et je finis par réaliser qu'aux États-Unis on administrait deux fois plus de vaccins que dans la plupart des autres pays développés, et que la véritable crise de santé était le fait que nos enfants étaient plus malades que dans n'importe quel autre pays développé, en dépit du fait que plus d'argent était, par habitant, dépensé pour les soins de santé. Aux Etats-Unis, nous avons les taux les plus élevés de mort subite du nourrisson, d'asthme, d'allergies alimentaires, de TDAH, de leucémie infantile, et du type 1 de diabète. Pour moi, c'était cela la véritable crise de santé.

 

Et plus j'approfondissais le sujet, et plus je réalisais que les vaccins ne concernaient guère la santé publique. Il s'agit surtout des profits de l'industrie pharmaceutique. Ce qui est intéressant avec les vaccins, c'est que les mêmes études rigoureuses de sécurité qui sont réalisées pour la plupart des médicaments ne se font généralement pas pour les vaccins parce que tout simplement les vaccins sont considérés être une mesure de santé publique contrairement aux différents médicaments. Les études des vaccins durent en général peu de temps. Ce se sont pas des études en double aveugle avec véritable placebo comme c'est pourtant la norme d'or pour les médicaments. Pour les vaccins,  on n'exige pas les mêmes études rigoureuses que pour les médicaments. Il est aussi très facile de manipuler les données et de les présenter comme étant sans danger. Si on analyse les études en étant particulièrement attentifs à la toxicité des adjuvants et des additifs, on s'aperçoit que les études dites de sécurité ne prouvent pas du tout la sécurité des vaccins. En fait,  il existe beaucoup d'études qui montrent que quantités d'additifs des vaccins sont très toxiques, tout spécialement pour les enfants dont le système immunitaire est encore particulièrement immature.

 

Et plus j'approfondissais les études de sécurité et plus je me rendais compte à quel point elles étaient défectueuses, et plus j'étais en quelque sorte mise en garde. Mon fils a maintenant 4 ans ½, et n'est toujours pas vacciné. Je me suis sentie d'autant plus motivée dans cette lutte que j'ai appris que des projets de loi rendant les vaccinations obligatoires commençaient à émerger un peu partout dans le pays, dans plus de 138 états. Il est clair pour moi maintenant qu'il s'agit d'une question de profit avant d'être une question de santé publique. Je sais que de nombreuses compagnies pharmaceutiques ont perdu leurs médicaments vedettes. Au cours de ces dernières années, elles ont perdu leurs brevets. C'est la raison pour laquelle ces compagnies cherchent à augmenter leurs profits.

 

Pour les vaccins, les études de sécurité sont moins rigoureuses et donc moins coûteuses, il y a moins d'obstacles pour en obtenir la mise sur le marché. En outre, les sociétés pharmaceutiques sont dégagées de toute responsabilité, de toute poursuite possible. En fait, les vaccins sont le seul produit aux États-Unis pour lequel vous ne pouvez engager de poursuites judiciaires normales s'il y a dommage ou décès. Si vous réunissez tous ces éléments vous avez alors un produit avec la marge bénéficiaire la plus élevée possible. En rendant les vaccins obligatoires et en n'arrêtant pas d'élargir le calendrier vaccinal, ce sont nos enfants qui sont utilisés dans des buts de profit. C'est là exactement ce qui se cache derrière les projets de loi visant à rendre la vaccination obligatoire.

 

Une des choses que l'on me demande souvent c'est pourquoi on n'entend pas plus souvent parler de la chose si elle était vraie. Au cours de ma recherche, j'ai découvert que les États-Unis étaient l'un des deux seuls pays au monde qui autorisaient les entreprises pharmaceutiques à faire directement de la publicité aux consommateurs. Nous avons tous vu des publicités pour médicaments dans les médias. Cela permet aux compagnies pharmaceutiques de dicter essentiellement ce qui est présenté dans les médias. Si vous leur accordez 30 à 40% de leur publicité, vous contrôlez pratiquement tout ce qu'ils annoncent. Combien de journalistes et d'articles n'ont-ils pas été censurés, y compris le lanceur d'alertes du CDC, fin 2014 qui a révélé que le CDC avait camouflé des données qui montraient que le vaccin ROR provoquait des dommages neurologiques (autisme). Récemment, il y a eu beaucoup d'histoires de différents pays qui poursuivaient les fabricants de vaccins pour des dommages et des décès. Certains vaccins n'ont plus été conseillés comme le Gardasil au Japon, le Prevenar en Chine, le Rotavirus en France. L'Espagne aurait fait un procès à Merck pour le Gardasil.

 

Au travers des médias traditionnels, les compagnies pharmaceutiques dépensent chaque année 18 milliards de dollars en frais de marketing. Pour les médecins, les compagnies dépensent six fois ces sommes en plans d'assurance santé, conférences éducatives, études publiées dans des revues médicales, etc., etc. Tout cela revient à dire que nous avons des vaccins exemptés de toute responsabilité pour le fabricant, très peu de données montrant que ces vaccins sont sûrs et efficaces, avec d'énormes dépenses de marketing. Aux États-Unis notre système vaccinal est délabré. Il n'est pas possible de rendre un produit obligatoire quand tant de questions restent sans réponse et quand tant de choses se passent dans les coulisses dont le public n'est pas conscient, comme par exemple les ingrédients des vaccins. Rappelez-vous qu'un pédiatre n'a pas voulu me montrer la notice du vaccin ! Il y avait évidemment de bonnes raisons pour cela : la présence d'aluminium, de formaldéhyde, de cellules de fœtus avortés, de cellules animales. Ces vaccins comprennent quantités d'autres éléments que d'autres pays refusent pour la consommation et pour l'incorporation dans les vaccins. Il y a aussi des éléments dont on ne connait pas les conséquences, et pour lesquels on ne possède pas suffisamment de données. N'est-ce pas jouer à la roulette russe avec la santé de nos enfants ?

 

Les compagnies pharmaceutiques disent que tout cela concerne l'aide apportée au public, concerne la sécurité publique. Je me demande alors pourquoi nous ne disposons pas de plus de données sur les effets que vont avoir tous ces éléments, pourquoi nous n'avons pas d'études sur le long-terme, des études sur les effets qu'ont ces produits dans le corps même de nos enfants. Aujourd'hui, nous avons les enfants les plus malades du monde. Il y a quelque chose qui ne tourne plus rond. Il ne s'agit peut-être pas uniquement des vaccins. C'est aussi le cocktail de pesticides et de polluants dans l'eau, dans l'air. Mais les vaccins représentent souvent un déclencheur parce que génétiquement le corps a besoin d'un  déclencheur pour exprimer ce genre de maladies et de problèmes que nous connaissons aujourd'hui. Les vaccins sont souvent en cause parce que ces produits chimiques sont injectés dans le flux sanguin, de sorte qu'ils peuvent ne pas nécessairement passer par une grande partie des processus de détoxification. Il arrive que ces produits pénètrent directement dans le cerveau au travers de la barrière hémato-encéphalique. Ce sont ces questions difficiles qu'il nous faut poser. Avant cela, avant que nous ne disposions de plus d'information, il n'est absolument pas possible de rendre les vaccins obligatoires. Il doit y avoir le choix. Là où il y a risque le choix s'impose !

 

 

 

 

Vaccins, ce que tout parent doit savoir

 

Lettre d'information reçue de Santé Nature Innovation :

 

En 2013, l'Union européenne a autorisé la mise sur le marché d'un nouveau vaccin « 6-en-1 » pour les nourrissons. Ce vaccin, appelé Hexyon et produit par le laboratoire Sanofi, regroupe les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l'hépatite B, la poliomyélite et contre certaines infections comme la méningite.

 

Cette « innovation » est généralement présentée par les médias comme « une vraie avancée en matière de vaccination, à l'heure où les autorités sanitaires tentent par différents moyens (…) de redonner confiance aux Français en cette méthode préventive » (lu sur le site Informations Hospitalières).

 

En ce qui me concerne, je ne suis pas rassuré. Je m'explique. Le fait de mélanger ensemble un grand nombre de vaccins est une méthode connue des laboratoires pharmaceutiques pour compliquer la preuve d'effets indésirables. Car plus il y a de vaccins dans l'injection, plus il devient difficile de prouver qu'un effet indésirable précis est lié à l'un des vaccins. Il faut un nombre de cas déclarés d'effets secondaires négatifs beaucoup plus important pour obtenir un niveau de preuve statistiquement fiable.

 

Or, cette tactique se développe justement au moment où le grand public réalise que les effets indésirables des vaccins sont tout sauf négligeables.

 

Des effets secondaires inquiétants :

 

Un nombre alarmant d'études scientifiques met actuellement en lumière les dangers des vaccins.

 

Il ne s'agit plus de mises en garde émanant de mouvements associatifs marginaux. Non, c'est maintenant la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes, voire ses inquiétudes.

 

Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin. Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie).

 

Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus et le cancer cervical, est aujourd'hui au centre d'un scandale qui n'en finit pas. Selon le décompte effectué par l'association Sanevax, ce vaccin est relié à 29 003 effets adverses graves et au moins à 130 décès.

 

Le vaccin contre l'hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu'il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. D'autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d'Etat français a reconnu que l'aluminium dans le vaccin hépatite B avait été la cause d'une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffre depuis 1996 un employé de la Ville de Paris, permettant à cette personne d'être indemnisée. Des milliers de personnes, qui n'ont pas eu l'idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas.

 

Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques, même à faibles doses, comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l'aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires.

 

Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l'efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s'emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.

 

L'aluminium pourrait aussi être une cause majeure de maladie d'Alzheimer et de cancer du sein, ce qui expliquerait les proportions épidémiques que sont en train de prendre ces maladies dans les générations d'après-guerre.

 

Un rapport risque/avantage douteux :

 

Ces effets indésirables sont toutefois présentés par les autorités médicales et la grande presse comme bénins par rapport aux «immenses avantages» qu'auraient les vaccins.

 

L'opinion publique leur prête en effet le mérite de nous protéger de nombreuses maladies infectieuses et d'avoir éradiqué toutes les épidémies qui décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie, coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos et, bien entendu, les maladies infantiles, rougeole, oreillons, rubéole, etc.

 

Et pourtant, en dehors du cas particulier de la poliomyélite (qui mériterait un article à elle seule), la vérité scientifique et historique m'oblige à écrire, sans hésiter, qu'il s'agit là d'une pure mythologie.

 

Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l'on introduise les vaccins. C'est l'amélioration des conditions de vie, de l'hygiène, de l'eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l'effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du XXe siècle.

 

Le cas emblématique de la diphtérie :

 

Je ne peux traiter ici toutes les maladies et me contenterai d'exemples symboliques. Mais des chiffres similaires à ceux cités ici existent pour les autres maladies pour lesquelles les gouvernements vaccinent à l'échelle industrielle. Les lecteurs qui voudront en savoir plus se reporteront pour cela à l'excellent dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivants.

 

En Espagne, il y avait chaque année 5 000 morts de diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964, l'année où la vaccination systématique fut introduite.

 

En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L'année suivante, il y eut 15000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la guerre !

 

En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an pendant la Première Guerre mondiale. Les nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, et 250 000 en 1945. Après la guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa régulièrement, jusqu'à 800 annuellement en 1972 (une baisse de 99,2 %).

 

En Norvège, 555 personnes moururent de diphtérie en 1908, mais seulement 2 en 1939. Le pays fut alors envahi par l'Allemagne, qui imposa le vaccin : le nombre de personnes touchées par la diphtérie monta à 22 787 cas en 1942 et près de 700 morts.

 

Ces chiffres indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (guerre), et que les campagnes de vaccination sont malheureusement impuissantes à enrayer le phénomène.

 

En revanche, le retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s'accompagne d'un recul de la maladie, jusqu'à une disparition quasi totale.

 

Ils indiquent également que les gouvernements sont capables d'introduire la vaccination systématique de la population pour une maladie quasi inexistante (cas de l'Espagne en 1964, de l'Allemagne en 1939).

 

Un phénomène général :

 

Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses.

 

La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5 à 7 000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole (à partir de 1937) fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu'il y ait eu de campagne importante de vaccination.

 

Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d'enfants de moins de 15 ans, contre 1 500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.

 

En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos).

 

La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu'il n'y ait jamais eu de vaccin.

 

En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéole) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3 756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en… 1982.

 

La tuberculose et le BCG :

 

Mais le cas le plus emblématique reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas qui ne vaccinaient pas leur population, qu'en France où tous les écoliers se faisaient vacciner.

 

Aujourd'hui, alors que le BCG n'est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu'il n'est imposé en Italie qu'à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires…), la France continue à vacciner religieusement des millions d'écoliers chaque année.

 

Les études de l'INSERM sont pourtant sans appel : le nombre de décès par tuberculose avait déjà chuté de 80 % quand fut introduit le BCG obligatoire le 5 janvier 1950, malgré les très difficiles conditions de vie des années d'après-guerre. Les campagnes de vaccination n'ont ensuite eu aucun effet notable sur les courbes de la maladie. Celle-ci a continué à régresser au même rythme qu'auparavant, avec l'amélioration de l'hygiène et la généralisation de l'eau courante. Ce qui n'est pas étonnant quand on sait que le fait d'être vacciné contre le BCG ne protège ni de l'infection, ni de la transmission de la maladie. Les personnes qui meurent aujourd'hui de la tuberculose en France ne sont nullement des personnes qui n'ont pas été vaccinées, mais des personnes marginalisées socialement et souffrant de dénutrition.

 

Le problème est que le BCG comporte des risques importants d'effets secondaires, raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80 (sauf en France, où l'obligation a été supprimée en 2007). C'est en effet un vaccin vivant, qui pose des risques, y compris de décès, aux enfants et aux personnes dont le système immunitaire est affaibli. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué une baisse significative des cas de méningite chez les jeunes enfants après l'abandon des campagnes de vaccination au BCG.

 

Ce n'est donc nullement la vaccination qui a permis à nos sociétés de sortir des grandes épidémies mais la prospérité économique. Celle-ci a permis une amélioration de l'hygiène, de l'alimentation et de l'habitat. Si ces conditions devaient se dégrader de façon significative, il est évident que, malgré tous nos vaccins, on assisterait à un retour en force de ces maladies, exactement comme cela fut le cas pendant la Seconde Guerre mondiale.

 

La vérité soigneusement dissimulée :

 

Actuellement, malheureusement, une industrie gigantesque s'est développée pour assurer la vaccination de masse des populations du monde entier. Cette industrie est d'autant plus lucrative qu'elle est totalement financée par les gouvernements, et que les entreprises qui se partagent le marché sont protégées à la fois par des brevets (dont le respect est assuré par les pouvoirs publics) et par une réglementation touffue que seuls quelques grands groupes armés de bataillons de juristes peuvent comprendre et respecter.

 

Des milliards de vaccins sont administrés chaque année, et des dizaines de milliards d'euros sont encaissés par les multinationales pharmaceutiques.

 

Pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement français avait payé 1,5 milliard d'euros pour 94 millions de doses, ce qui fait quasiment deux doses par citoyen.

 

A l'achat des vaccins, il a fallu ajouter le coût de :

 

> la campagne de vaccination pour un montant de 35,8 millions d'euros ;

 

> l'acquisition de respirateurs pour 5,8 millions d'euros ;

 

> l'achat d'antiviraux pour 20 millions d'euros ;

 

> 150,6 millions d'euros de masques ;

 

> 41,6 millions d'euros de dépenses logistiques ;

 

> 290 millions afin d'indemniser les personnels de santé réquisitionnés ;

 

> 59,6 millions destinés aux frais d'information et à la campagne de communication ;

 

> 100 millions de « frais liés à l'organisation territoriale de la campagne de vaccination » ;

 

> et encore 375 à 752 millions d'euros de dépenses liées aux consultations de médecins, à la prescription de médicaments.

 

Finalement, le nombre de vaccins utilisés n'a été que de 4,5 millions, ce qui est une bonne chose, mais cela veut dire que sur les 94 millions de doses, 89,5 millions sont parties à la poubelle, une fois atteinte la date de péremption.

 

Ce gaspillage révoltant a été dénoncé par le Professeur Bernard Debré et le député et médecin Jean-Marie Le Guen. Mais la presse a traité l'affaire comme un scandale isolé, sans lien avec la surconsommation systématique des autres vaccins, en France et à travers le monde.

 

Pas de suivi des accidents liés aux vaccins :

 

De même, personne ne se soucie actuellement des risques réels que vous faites courir à vos enfants en les vaccinant. Et s'ils tombent malades juste après la vaccination, vous pouvez être certain qu'on vous expliquera qu'il s'agit d'une pure coïncidence, y compris s'il y a décès.

 

Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, il déclenche de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l'eczéma, l'hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.

 

Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l'accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments) puisqu'ils considèrent qu'il n'y a pas de lien.

 

C'est ce qui est arrivé à la petite Christina Richelle, décédée suite au vaccin Gardasil contre le HPV (papillomavirus), et à tant d'autres personnes que l'on retrouve sur les innombrables sites d'information sur la vaccination.

 

Un témoignage parmi d'autres, recueilli par l'EFVV :

(European Forum For Vaccine Vigilance)

 

« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l'identité de mon bébé parce que j'ai peur que cela me retombe dessus, mais j'ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis si heureuse que quelqu'un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal, personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c'est. Elle était parfaite. Lorsqu'on lui fit l'injection, elle se mit à crier pendant au moins une heure, d'une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée, s'est endormie profondément, et ne s'est plus jamais réveillée. J'ai commencé à m'inquiéter parce qu'elle semblait dormir plus longtemps que d'habitude et lorsque j'ai voulu vérifier, j'ai remarqué qu'elle avait un peu vomi et qu'elle ne respirait plus. Ils ont dû faire une autopsie mais ils n'ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c'est le vaccin qui l'a tuée. Elle n'avait pas été malade une seule fois jusque là. Mais plus je l'ai dit au corps médical, plus ils sont devenus hostiles. Aujourd'hui, j'ai peur qu'ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu'ils m'accusent d'avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir à vivre comme ça, c'est horrible. Je suis presque trop terrorisée pour pouvoir faire mon deuil correctement. Elle était si belle. »

 

Mais c'est très souvent le même scénario : officiellement, il ne peut y avoir aucun lien entre le vaccin et les accidents qui s'ensuivent. La plupart des médecins nieront farouchement l'évidence. Rien ne serait plus facile, pourtant, que de donner à chaque personne vaccinée un petit questionnaire, à renvoyer à l'Agence Nationale du Médicament, sur lequel elle noterait tous les effets anormaux qu'elle constaterait durant, par exemple, les huit jours suivant la vaccination.

 

Cela permettrait très rapidement d'établir enfin des statistiques globales sur les effets indésirables réels des vaccins. Dans un cas comme cité ci-dessus, il est vraiment trop facile de déclarer que l'enfant est décédé « de cause inexpliquée » ou encore que c'est la « mort subite du nourrisson ». Parce qu'injecter un vaccin, cela consiste à introduire dans l'organisme non seulement des virus potentiellement dangereux (même artificiellement affaiblis) et des adjuvants que les systèmes immunitaires immatures ne supportent pas forcément.

 

Mais pour des raisons qui n'ont rien à voir avec votre santé ni le bien commun, et tout à voir avec les comptes en banques des industriels et des politiques, ce type de mesures n'est absolument pas envisagé aujourd'hui par les autorités sanitaires.

 

Une réforme indispensable et urgente :

 

Il est donc indispensable et urgent que les pouvoirs publics prennent des mesures visant à améliorer la connaissance des vaccins et l'information des médecins comme du grand public à ce sujet.

 

Une information transparente doit être donnée sur les dangers de chaque vaccin. S'il y a eu des morts, des personnes gravement handicapées, ou malades à vie, les personnes qui sont sur le point de se faire vacciner doivent en être informées.

 

Mais même si c'est aux médecins de s'assurer qu'ils ne font pas courir de risque inutile à leurs patients (serment d'Hippocrate), rappelons-nous que nous ne vivons pas dans l'utopie et que ce sera toujours à nous, ultimement, d'être responsable de notre santé.

 

Par Jean-Marc Dupuis, de la lettre d'information Santé Nature Innovation (Vous pouvez vous abonner gratuitement ici.)

 

Sources :

 

Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur www.efvv.org

Risk of narcolpesy in children and young people receiving AS03 - BMJ 2013;346:f794

 

Guillain-Barré Syndrome After Influenza Vaccination in Adults, David N. Juurlink, Therese A. Stukel, Jeffrey Kwong, Alexander Kopp, Allison McGeer, Ross E. Upshur, Douglas G. Manuel, Rahim Moineddin, Kumanan Wilson, Arch Intern Med. 2006;166:2217-2221.

 

Décompte effectué par Sanevax : http://sanevax.org/breaking-news-gardasil-fingerprints-found-in-post-mortem-samples/

 

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22249285

 

http://www.quechoisir.org/sante-bien-etre/maladie-medecine/maladie/actualite-aluminium-dans-les-vaccins-lien-de-cause-a-effet-etabli

 

Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur www.efvv.org

 

http://www.lemonde.fr/epidemie-grippe-a/article/2010/01/04/une-grippe-a-deux-milliards-d-euros_1287422_1225408.html

 

http://www.gardasilandunexplaineddeaths.com/

 

 

 

 

Etudes sur les enfants vaccinés et non vaccinés

 

Article du site reseauinternational.net :

 

Bien qu'aucune étude officielle n'ait été financée par le gouvernement US pour comparer la santé des enfants vaccinés à celle des enfants non vaccinés, plusieurs études ont été financées de manière indépendante aux USA et à l'étranger. La majorité de ces études ont été faites à l'étranger, mais beaucoup concernent des enfants américains.

 

Que montrent ces études ? La recherche montre indéniablement que les enfants non vaccinés jouissent d'une santé bien meilleure que les enfants vaccinés.

 

Les enfants non vaccinés ne connaissent pratiquement pas de cas d'autisme, de troubles auto-immuns, d'asthme, d'allergies, de diabète et d'autres maladies infantiles ordinaires qui ont atteint des proportions épidémiques ces dernières années.

 

Les études de recherche :

 

L'une des recherches les plus complètes est un sondage comparatif en cours, fait par le médecin homéopathe allemand Andreas Bachmair. Bachmair dirige une étude indépendante portant sur 17461 enfants, qui compare la santé des vaccinés à celle des non vaccinés.

 

Cette recherche a constaté une augmentation significative des maladies suivantes chez les vaccinées : asthme, allergies, bronchite, otite moyenne (infections de l'oreille), fièvre des foins, herpès, neurodermatose, hyperactivité, scoliose, épilepsie, troubles auto-immuns, maladie de la thyroïde, autisme et diabète. Par ailleurs, Bachmair a découvert trois autres études qui corroborent ses conclusions. Pour voir le tableau de la comparaison des maladies, suivez ce lien fourni par Vermont Coalition for Vaccine Choice.

 

Pour lire la publication complète des conclusions de cette étude, suivez ce lien.

 

La majorité des participants étaient des Américains, avec 25 pour cent d'Allemands. Quatre-vingt-dix-neuf pour cent de ceux qui ont choisi de ne pas vacciner leurs enfants ont dit être enchantés de leur décision. Comme cette étude est en cours, le nombre de cas étudiés variera en fonction des rapports examinés. [1]

 

Les rapports de Bachmair ont en outre montré queles enfants non vaccinés souffrent très rarement des troubles de santé suivants : dyslexie, retard de la parole, énurésie, maladie cœliaque, sensibilité au gluten, reflux gastro-œsophagien. [2]

 

Selon une étude de Salzberger, sur 1004 enfants non vaccinés, aucun ne souffrait d'asthme, contre 8 à 12% des vaccinés ; 1,2 pour cent des non vaccinés souffraient de dermatite, contre 10 à 20% des vaccinés ; 3% des non vaccinés avaient des allergies, contre 25% des vaccinés ; et moins de 1% des non vaccinés ont été diagnostiqués avec un trouble de déficit del'attention (TDAH), contre 5 à 10% des vaccinées.

 

Une étude portant sur les enfants de 15000 mères, réalisée entre 1990 et 1996 en Guinée-Bissau, en Afrique de l'Ouest, montrait que le taux de mortalité était deux fois plus grand chez les enfants vaccinés contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche.

 

Une étude néo-zélandaise a impliqué 254 enfants, dont 133 vaccinés et 121 non vaccinés. Cette étude comparative a révélé que les enfants non vaccinés jouissaient d'une santé bien supérieure en ce qui concerne ces troubles : amygdalites, asthme, éruptions cutanées allergiques, syndrome de la mort subite du nourrisson, infections de l'oreille et hyperactivité.

 

Les enfants vaccinés avaient des taux de maladie 2à 10 fois plus grands que les non vaccinés. [3]

 

Recherche sur l'autisme et les troubles neurologiques :

 

En Pennsylvanie, dans la communauté amish du comté de Lancaster, un enfant sur 4875 a été diagnostiqué autiste. Sur le total de quatre enfants Amish diagnostiqués, un avait été exposé aux taux de mercure élevés d'une centrale électrique et les trois autres, dont un adopté en dehors de la communauté, avaient été vaccinés. Ce taux est extrêmement bas ou nul par rapport à celui des enfants vaccinés. De même, chez les Amish de l'Ohio, un enfant sur 10 000 est diagnostiqué autiste. Dans la population des USA en général, un enfant sur 45 est actuellement diagnostiqué autiste. [4, 5]

 

Selon un sondage de Homefirst Health Services portant sur 35000 enfants, dont 90% jamais vaccinés, aucun n'a été diagnostiqué autiste. Par ailleurs, ces enfants avaient des taux d'asthme extrêmement faibles.

 

Selon un sondage portant sur 9000 garçons de Californie et d'Oregon, les enfants vaccinés avaient 155% de plus de trouble neurologique du genre autisme ou TDAH. [6]

 

Autres faits scientifiques concernant les vaccins :

 

Dans le livre de Sally Fallon, Nourishing Tradition's Book of Baby and Childcare [Tradition nourricière du bébé et garde d'enfants], cinq études ont été publiées, dont l'étude sur l'Afrique et l'Allemagne précédemment citée. Toutes les études concluent que les enfants non vaccinés bénéficient d'une meilleure santé que les vaccinés.

 

Une étude britannique réalisée en 2004 sur 8000 enfants non vaccinés, chacun accompagné de son dossier médical, a révélé que les enfants vaccinés subissaient deux à cinq fois plus de maladies et de troubles que les non vaccinés. [7]

 

Dans une étude effectuée en Nouvelle-Zélande en 1997, 1265 enfants ont été interrogés. Parmi les enfants qui ont été vaccinés, 23% souffrait d'asthme et 30% d'allergies, contre 0% dans le groupe non vaccinés. [8]

 

D'après l'étude réalisée en Nouvelle-Zélande en1992 sur 495 enfants, les enfants vaccinés souffraient de beaucoup plus de troubles que les non vaccinés. Les maladies examinées comprenaient l'amygdalite, les infections de l'oreille, l'apnée du sommeil, l'hyperactivité et l'épilepsie. Les enfants vaccinés souffraient jusqu'à dix fois plus de ces maladies. [9]

 

Conclusion :

 

Bien que les organismes gouvernementaux soutiennent qu'aucune étude comparant la santé des vaccinés à celle des non vaccinés n'a été réalisée, la réalité est que plusieurs études comparatives ont été faites par des chercheurs indépendants aux USA et dans d'autres pays.

 

Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies refusent de faire ce genre d'études parce qu'il serait contraire à l'éthique de les faire. En réalité, ces études pourraient être facilement réalisées, puisque de nombreux parents instruits choisissent de ne pas vacciner leurs enfants.

 

Les preuves [condamnant les vaccinations] sont écrasantes. Les études faites en Nouvelle-Zélande, en Allemagne, en Afrique, en Grande-Bretagne et aux USA en viennent aux mêmes conclusions. Les enfants non vaccinés jouissent d'une santé de loin supérieure, du moins en ce qui concerneles maladies considérées dans les études.

 

Sources :

 

http://reseauinternational.net/etudes-sur-la-sante-des-enfants-vaccines-et-non-vaccines/#WyLdsJs5o74JAzTp.99

1. http://www.thehealthyhomeeconomist.com/survey-results-are-unvaccinated-children-healthier/

2. http://vactruth.com/2014/02/26/unvaccinated-children-health

3. http://www.vaxchoicevt.com/science/studies-comparing-vaccinated-to-unvaccinated-populations/

4. http://www.vaccinationcouncil.org/quick-compare-2/

5. http://www.thevaccinereaction.org/2015/12/cdc-1-in-45-children-diagnosed-with-autism/

6. http://www.vaccinationcouncil.org/quick-compare-2/

7. McKeever aet TM. American Journal of Public Health.Juin 2004. V 94.

8. Kemp, T. et ses collègues. Epidemiology. Novembre1997. 678-80.

9. Docteur en médecine Fallon, Sally, Cowan, Thomas,The Nourishing Traditions Book of Baby and Childcare. New Trends Publishing, 2013. 112, 317.

Vactruth, Michelle Goldstein

Original : http://vactruth.com/2016/06/03/vaccinated-vs-unvaccinated/

Traduction : Petrus Lombard

 

 

 

 

Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination

 

Un immense merci à Sylvie Simon pour l'article qui suit plus bas, qui nous a quittée le 8 novembre 2013, et qui s'est consacré pendant de nombreuses années à la lutte contre la désinformation, avec un travail extrêmement sérieux et minutieux, qui s'est traduit par l'écriture de nombreux ouvrages. Voir sa biographie ici.

 

Merci à tous ces éveilleurs de conscience, puissent leurs recherches et leurs écrits se propager et éclairer chacun et chacune d'entre-nous. Car nous vivons une heure de dictature médicale de plus en plus prononcée, au profit des labos pharmaceutiques. Il suffit de voir ce qui se passe en Italie, avec l'obligation vaccinale de 12 vaccins pour les enfants de moins de six ans, décrétée par la ministre de la Santé Beatrice Lorenzin. Ce dispositif entrera en vigueur en septembre 2017. Et les parents qui refuseraient d'empoisonner leurs enfants ne pourront pas les placer en crèche, ni les mettre à l'école maternelle. Ils pourront néanmoins inscrire leur progéniture dans le primaire, mais devront payer une amende comprise entre 500 et 7500 euros, s'ils ont oubliés de les faire vacciner ! Espérons cependant que cela échouera, vu le tollé et les manifestations importantes que cette macabre décision a déclenchée !

 

En France, notre chère et nouvelle ministre de la Santé Agnès Buzyn, souhaite certainement s'inspirer de la ministre de la santé italienne, et réfléchit à rendre 11 vaccins obligatoires !

             Sylvie Simon, écrivain français, 26-10-1927 / 08-11-2013

 

Voici ce que rapporte le site libreactu.fr le 16 juin 2017 :

 

Agnès Buzyn a été rémunérée par les labos pendant au moins 14 ans !

 

Nous nous sommes procurés les déclarations publiques d'intérêts de notre nouvelle ministre de la Santé Agnès Buzyn lorsqu'elle était présidente du conseil d'administration de l'IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire) et de l'INCa (Institut national du cancer). Ces déclarations datent de 2012 (1) et 2014 (2) et seuls les conflits d'intérêts qui couraient encore lors des 5 années précédentes devaient être mentionnés.

 

Pourtant ces documents sont accablants pour celle qui considère que "les conflits d'intérêts entre experts et laboratoires pharmaceutiques sont un gage de compétence". En effet, elle déclare avoir été directement rémunérée pour diverses activités par le laboratoire Genzyme, désormais filiale de Sanofi, de 1998 à 2011 ! Et ce n'est pas tout, entre 2005 et 2011 elle était aussi rémunérée par les laboratoires Bristol Meyers-Squibb et Novartis. Ces deux laboratoires ainsi que Pierre Fabre et Schering-Plough (filiale de Merck) ont aussi financé entre 2005 et 2011 l'association Robert Debré que dirigeait Agnès Buzyn.

 

Plusieurs questions se posent alors :

Peut-on accepter qu'une ministre de la Santé présente de tels conflits d'intérêts avec le “Big Pharma” ?

Comment peut-on imaginer que la médecine puisse être libre et indépendante vis-à-vis des intérêts financiers colossaux des laboratoires pharmaceutiques ?

 

....................................

 

Il devient totalement inacceptable que notre corps, notre propriété physique inaliénable, ne nous appartienne plus ! Et à force de presser le peuple de toutes les façons imaginables, et pas seulement dans le domaine médical, ce dernier va finir par botter en touche ceux et celles qui les oppressent, en favorisant toujours plus les intérêts des grandes multinationales qui nous gouvernent. Ne nous faisons en effet aucune illusion, et tout le monde le sait aujourd'hui, les grandes entreprises internationales, dans tous les domaines, gouvernent réellement le monde, les politiques ne devenant que les extensions de ces dernières, des pantins d'un système mortifère qui détruit tout ce qui est bon dans l'être humain.

 

Article de Sylvie Simon, du 12 novembre 2010 :

 

Il y a deux histoires : l'histoire officielle, menteuse… puis l'histoire secrète où sont les véritables causes des évènements, l'histoire honteuse. Erreur, approximations, mensonges délibérés, vérités partielles ou partiales, prédominance d'une seule pensée : peu de domaines aujourd'hui échappent à ces phénomènes.

 

Paradoxalement, la sur-information y contribue. Alors qu'on aurait pu espérer que la démultiplication de l'information s'accompagnerait d'une pluralité de points de vue, nous voyons au contraire proliférer cette pensée unique qu'il est de bon ton de dénoncer… sans pour autant qu'on lui propose de remède. (Olivier Clerc)

 

Mensonges sur les vaccins :

 

"Il existe trois sortes de mensonges : les mensonges, les sacrés mensonges, et les statistiques" (Mark Twain)

 

Les vaccins ne sont pas des médicaments et sont destinés à des êtres en bonne santé dans le but de prévenir une maladie hypothétique. Aussi, il serait normal que tout candidat aux vaccins reçoive une information honnête, précise et complète, sur les risques de la maladie dont il veut se protéger, mais aussi sur les risques qu'il court en se faisant vacciner. Or non seulement l'information, quand elle existe est tronquée et falsifiée, mais souvent elle est parfaitement mensongère.

 

Mais comme l'avait recommandé Joseph Goebbels, ministre de la propagande nazie, qui connaissait bien la question : "Répétez un mensonge mille fois, il restera un mensonge ; répétez dix mille fois, il deviendra une vérité". C'est exactement ce qui se passe dans ce domaine, où des mensonges dix milles fois répétés sont devenus des dogmes qui déclenchent des crises d'hystérie dès lors qu'on ose les remettre en cause.

 

L'histoire de la vaccination est jalonnée de falsifications, de dissimulations et de mensonges : Sylvie Simon a opté pour les dix plus gros flagrants, chacun ayant engendré des dizaines de plus petits mensonges. "Le mensonge est rarement issu par génération spontanée d'une volonté déterminée à l'avance par quelque Machiavel. C'est bien plus souvent un glissement lent et fatal vers une erreur perçue, mais inavouée, l'orgueil se mêlant ici à la cupidité" (Thierry Fenoy, avocat au barreau de Châlons-sur-Saône).

 

MENSONGE N°1 : Pasteur est un bienfaiteur de l'humanité :

 

"Tous nos problèmes actuels sont l'inévitable résultat de nos brillantes solutions d'hier" (Henry Bergman)

 

Bien que l'aventure de la vaccination ait commencé à la fin du XVIIIème siècle lorsque le médecin anglais Edward Jenner entreprit d'inoculer la vaccine, maladie spécifique des bovins, afin de protéger les hommes de la variole ou petite vérole, c'est Pasteur (1822-1895) qui reste le père de la vaccination et c'est avec lui qu'a débuté le long cortège de mensonges.

 

Cet homme brillant, intelligent et gros travailleur, était un expert en communication et se tenait au courant des travaux effectués par ses pairs. Sa tactique a toujours été la même : il savait reconnaître les bonnes idées mais commençait par les critiquer ouvertement, puis il se les appropriait sans vergogne en prétendant les avoir découvertes. C'est ainsi qu'il est devenu un bienfaiteur de l'humanité et, surtout, un mythe intouchable.

 

Le dogme pasteurien est tellement ancré dans les esprits que rien n'a pu encore l'ébranler et les Français idolâtrent encore un imposteur. D'une part, Pasteur a maquillé les résultats d'expérience qui ne lui étaient pas favorables, ensuite, il s'est approprié certains travaux d'autres chercheurs, dont Antoine Béchamp (1816-1908), l'un des plus grands savants du XIXème siècle, médecin biologiste, naturaliste, professeur de chimie médicale et pharmaceutique à la faculté de Montpellier et professeur de chimie biologique et de physique à l'Université de Paris, puis doyen de la Faculté libre de Lille.

 

Béchamp a démontré la véracité des vues de Claude Bernard sur la valeur du terrain propre à chaque individu et fut le premier à comprendre la cause microbienne des pathologies infectieuses. Cependant, son œuvre est à peu près inconnue de nos jours, parce qu'elle a été systématiquement discréditée et falsifiée aux profits des intérêts personnels de Pasteur.

 

Dès l'école, nous apprenons que Pasteur « a sauvé le petit joseph Meister, mordu à la main par un chien enragé ». À vrai dire, il n'existait aucune certitude que le chien fut enragé car on ne signala aucune autre morsure ; de plus, quand bien même il l'aurait été, le risque pour le jeune Meister était infime, car un animal réellement enragé – ce qui est extrêmement rare – ne transmet la maladie que dans 5 à 15 % des cas. L'affaire de la rage est l'exemple même des mensonges de Pasteur qui ont été répétés et introduits par ses admirateurs dans la mémoire collective, au point d'être devenus des vérités pour le commun des mortels.

 

Le vaccin de Pasteur, à base de moelle desséchée, était très dangereux et fut bien vite abandonné, et le jeune Meister a eu beaucoup de chance d'en réchapper. L'histoire n'a retenu que le succès de ce vaccin, mais a oublié de dire qu'il avait multiplié les décès par la rage.

 

Entre 1869 et 1872, Pasteur a énoncé trois postulats de base erronés qui servent encore aujourd'hui de fondement à la vaccination. Le premier estimait que l'asepsie règne dans nos cellules : la cellule est propre, tous les microbes sont exogènes (c'est-à-dire qu'ils viennent de l'extérieur) et l'attaquent, et ces germes ont une existence indépendante des organismes vivants. Le second est que chaque maladie correspond à un agent spécifique, microbe ou virus, contre lequel on peut se prémunir grâce à un vaccin. Enfin, l'immunité s'obtient par la production d'anticorps en réaction à l'introduction d'antigènes contenus dans le vaccin et ces anticorps confèrent une protection.

 

Nous savons depuis longtemps que ces postulats sont faux, les découvertes en immunologie les contredisent totalement, mais les vaccinalistes font mine d'ignorer ces travaux.

 

MENSONGE N°2 : Il faut éradiquer les microbes et les virus :

 

"Il est étrange que la science qui jadis semblait inoffensive, se soit transformée en un cauchemar qui fait trembler tout le monde" (Albert Einstein)

 

Nous vivons en symbiose avec les microbes et si nous les considérons comme nos ennemis, nous entrons dans une logique de guerre qui met en péril notre système immunitaire. Les bactéries maintiennent notre équilibre biologique et ne deviennent pathogènes que lors que notre système immunitaire est perturbé et ne remplit pas ses fonctions. Quant aux virus, ils se reproduisent uniquement à partir de leur matériel génétique et ne sont que des parasites des cellules. Notre corps peut abriter de nombreux virus sans que nous ne soyons malades. Il est donc essentiel de comprendre que les microbes et les virus ne sont pas des ennemis qu'il faut éradiquer à tout prix et que seul importe le terrain que nous devons préserver de ses véritables agresseurs.

 

A la naissance, le système immunitaire n'est pas encore complètement élaboré et, pendant les premiers mois, le nourrisson est protégé par les anticorps transmis par sa mère. Cette immunité héritée est remplacée par une immunité personnelle au fur et à mesure que l'enfant rencontre des germes, microbes ou virus, particulièrement grâce aux maladies infantiles. C'est pour cette raison que les vaccinations apparaissent comme des éléments perturbateurs incontrôlables.

 

Le Pr J. Tissot, professeur de physiologie générale au Muséum d'histoire naturelle, nous mettait déjà en garde bien avant l'overdose vaccinale actuelle : « L'immunité par vaccination ne s'acquiert qu'en conférant à l'individu la phase chronique de la maladie qu'on veut précisément éviter, phase chronique qui comporte, dans un avenir proche ou très éloigné, de redoutables complications ». Pr J. Tissot (Constitution des organismes animaux et végétaux, causes des maladies qui les éloignent).

 

De toute manière, les vaccinations ne procurent pas la même immunité que les maladies et les taux d'anticorps évalués après les vaccinations sont généralement inférieurs à ceux qui sont évalués après les maladies. De plus, l'immunité conférée par la maladie est définitive, ce qui n'est pas le cas pour la vaccination, dont la protection, si protection il y a, est limitée dans le temps, ce qui entraîne un retard dans la survenue des maladies, lesquelles sont beaucoup plus graves chez la population plus âgée, avec une mortalité multipliée par dix.

 

MENSONGE N°3 : Les épidémies ont disparu grâce aux vaccins :

 

"L'opinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition" (Dr Albert Schweitzer)

 

Nombreux sont ceux qui estiment que la plupart des épidémies ont disparu grâce aux vaccinations et qui refusent de mettre en doute leur efficacité. Pourtant, certaines épidémies qui ont ravagé nos pays ont bel et bien disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins font mine d'ignorer.

 

Mais lorsqu'on montre les courbes de décroissance des maladies, elles débutent au moment des campagnes de vaccination et non des années ou des siècles plus tôt, ce qui nous permettrait de constater que la diminution de ces maladies a commencé bien avant l'introduction du vaccin. D'ailleurs, la plupart des médecins l'ignorent, et les partisans de la vaccination s'appuient sur ces statistiques, pour la plupart tronquées et donc inexactes, pour « prouver » l'efficacité des vaccins, quand ils ne se bornent pas à la seule affirmation péremptoire que n'étaye aucune sorte de démonstration.

 

Ils ne se demandent jamais pourquoi ces épidémies ne continuent pas de sévir dans les pays qui n'ont pas pratiqué les vaccinations ou qui les ont abandonnées, tout comme ils semblent ignorer que l'épidémiologie et la presse scientifique internationale attestent que des épidémies se déclarent encore dans les pays où la couverture vaccinale est presque totale.

 

Les immunologistes s'interrogent sur les poussées épidémiques qui surviennent dans les populations vaccinées contre la rougeole, la polio, la tuberculose, la diphtérie et la coqueluche. Ce constat est évidemment embarrassant pour eux car, à l'évidence, il s'agit d'une faillite de la vaccination.

 

Dans Médecine praticienne (N°467), le Pr Lépine constatait à son tour : "Dans plusieurs pays en voie de développement, on s'était imaginé qu'avec une seule campagne de vaccinations, on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu'à quintupler depuis la vaccination".

 

MENSONGE N°4 : Vacciner un enfant c'est le protéger :

 

"S'il n'y avait que les vrais malades à soigner, la médecine serait en situation économiquement difficile. Il faut donc convaincre l'ensemble de la population qu'elle est potentiellement malade et vendre des médicaments à ceux qui n'en ont pas besoin". (Pr Didier SICARD chef du service interne à l'hôpital Cochin, président du Comité national consultatif d'éthique)

 

Un enfant de parents en bonne santé naît avec un potentiel remarquable et développe progressivement son immunité. Il est parfaitement capable d'affronter l'épreuve des maladies infantiles qu'il ne faut pas redouter autant qu'on le prétend. Les parents anxieux pensent que les vaccinations sont une panacée et qu'elles éviteront les maladies de leurs enfants.

 

Les vaccinations affaiblissent considérablement le terrain. Les maladies aiguës, incapables de s'exprimer, peuvent se développer de façon larvée, insidieuse, faisant le lit de maladies chroniques souvent graves et inguérissables. Il ne faut donc pas redouter les maladies infantiles, rester serein, et aider l'enfant à surmonter cette légère épreuve. Comme le disait déjà Hippocrate : "Le corps fait une maladie pour se guérir".

 

Il est évident qu'il faut surveiller l'évolution des maladies infantiles afin de ne pas commettre d'imprudences qui pourraient entraîner des complications chez les enfants fragiles ou prédisposés à certaines pathologies. Paradoxalement, ce sont ces enfants qui manifestent les effets secondaires les plus graves après la vaccination.

 

Les vaccins empêchent parfois l'éclosion des maladies pour lesquelles ils sont prévus, mais ils facilitent l'émergence d'autres maladies, car le terrain est affaibli et se laisse assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents. Les vaccins de routine effectués dans l'enfance grèvent le patrimoine héréditaire et l'empêchent d'apporter une protection efficace à l'individu pendant toute sa vie.

 

MENSONGE N°5 : Les accidents vaccinaux sont exceptionnels :

 

"Le seul vaccin sûr est un vaccin qui n'est jamais utilisé" (Dr James A. Shannon, membre du National Institute of health)

 

Ce mensonge est monumental. Aucun vaccin n'est jamais sûr à 100%, personne n'oserait prétendre le contraire. Cependant, en France, chaque fois que le Ministère de la santé est attaqué dans le cadre des accidents vaccinaux, il oppose l'absence de lien direct entre la vaccination et l'accident, parlant de simples "coïncidences".

 

Comme il est très difficile de démontrer un lien de cause à effet, surtout quand la mauvaise foi s'en mêle, cette complexité aboutit à faire porter aux victimes tout le fardeau de la preuve. Ainsi, les autorités se refusent-elles à enregistrer comme "réactions vaccinales" les accidents malheureux qu'on présume être le fruit du hasard. Faute de preuves juridiquement défendables, nombre de complications vaccinales ne sont pas rapportées officiellement. Il serait plus logique et plus moral que ce soit les laboratoires qui apportent la preuve que leurs substances ne sont pas dangereuses. Mais cela semble impossible étant donné les falsifications, de plus en plus reconnues de leurs essais sur leurs produits.

 

Nos voisins de la CEE sont beaucoup plus honnêtes dans leur déclaration d'accidents. Aux Etats-unis, depuis 1990, la loi oblige tous les médecins à déclarer les complications vaccinales. Aussi, de 1991 à 1996, on a officiellement enregistré 48743 complications vaccinales... Alors qu'en France, nos pouvoirs publics clament sur tous les toits que les vaccins ne génèrent pas d'accidents secondaires, surtout chez les enfants.

 

MENSONGE N°6 : Le vaccin contre le tétanos est indispensable :

 

"Quand on a décidé d'être aveugle, l'évidence cesse d'avoir cours" (A.Peyrefitte, l'Empire immobile)

 

Le tétanos n'est pas contagieux, il ne se transmet pas par contact d'individu à individu et - mention particulière - la maladie n'est pas immunisante. Dans son ouvrage La catastrophe des vaccinations obligatoires, le PR J. Tissot, qui n'était pas un gourou de secte, mais un authentique savant comme il y en avait autrefois, posait la bonne question : "puisqu'un malade guéri du tétanos n'est jamais immunisé contre une seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il mieux protéger de la maladie"?

 

Le tétanos reste aujourd'hui une maladie grave, mais rare. Environ 50% des malades guérissent spontanément. On estime que toute plaie, si minime soit-elle, expose au risque du tétanos, ce qui est faux. Il existe, en revanche, des tétanos en l'absence de plaie. Quant au tétanos néonatal, qui atteint le nouveau-né essentiellement dans les pays pauvres, il est dû au manque d'hygiène ombilicale à la naissance.

 

Il faut donc relativiser les choses et ne pas céder à la panique soigneusement entretenue par ceux qui encouragent la consommation vaccinale. Pourquoi vacciner systématiquement tous les enfants contre une maladie qu'ils ne rencontreront sans doute jamais ? Sous nos latitudes, les enfants n'ont pas de tétanos, alors pourquoi tous les vacciner ?

 

En matière de prévention, après une blessure, on avait coutume d'administrer de façon préventive du sérum antitétanique, afin de conférer une immunité passive. Cette pratique est tombée en désuétude en raison de son inefficacité et de ses graves inconvénients, dont on ne parlait guère avant son abandon.

 

Aujourd'hui, quoi qu'il en soit, on impose systématiquement le vaccin en cas d'hospitalisation pour blessure. Le tétanos n'est pas une maladie contagieuse susceptible de provoquer des épidémies, il est très difficile d'établir des courbes significatives d'évolution. Ce sont les pays où la vaccination est le moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record de cas de tétanos après le Portugal, les deux seuls pays d'Europe où cette vaccination est obligatoire.

 

Pour qu'il y ait tétanos, il faut absolument que ses spores se retrouvent dans un tissu en anaérobiose. La multiplication bactérienne du tétanos ne peut se faire dans des tissus sains normalement oxygénés, car la présence d'oxygène dans les tissus vascularisés entraîne instantanément la mort des bactéries. Il est donc impossible de trouver le bacille du tétanos dans les tissus normaux, bien irrigués.

 

C'est pour cette raison que la plupart des piqûres ou blessures septiques n'entraînent pas la maladie. C'est pour cela aussi que le tétanos menace davantage les gens âgés, car leurs tissus sont parfois mal vascularisés, nécrosés, atteints de phlébite et de mauvaise circulation. La vaccination antitétanique est dirigée contre la toxine secrétée par le bacille, mais pas contre le microbe.

 

Le Dr Méric précise : "Le système immunitaire se trouve entièrement dans la circulation sanguine, dans le sang. Aussi bien, les cellules qui forment les anticorps que les anticorps eux-mêmes appartiennent à ce monde aérobie. Tout le langage du système immunitaire appartient à ce monde aérobie. Le transport des anticorps se fait entièrement et uniquement dans la circulation sanguine et lymphatique, c'est-à-dire en aérobiose. Les plaies tétanigènes sont nécessairement et obligatoirement anaérobies donc les microbes et la toxine du tétanos et les anticorps antitoxines ne peuvent se rencontrer".

 

D'après lui, il est absolument impossible que les anticorps rencontrent le bacille ou sa toxine, ce qui semble imparable. De la sorte, le vaccin contre le tétanos n'est pas du tout efficace, mais il peut toutefois être responsable de sérieux et nombreux désordres post-vaccinaux.

 

Les traitements non officiels reposent sur le chlorure de magnésium dont on connaît l'efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu, élève du PR Delbet. Le Dr Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu'il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie et le Pr Delbet voulut présenter ce rapport à l'Académie de Médecine, mais il se heurta à une opposition farouche de la part du corps médical.

 

Dans une lettre au Dr Neveu, en date du 16 novembre 1944, il révélait : "La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l'Académie a trouvé après 6 mois de réflexion, l'argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et l'intérêt général est de généraliser ces vaccinations".

 

Voilà un exemple flagrant de mensonge par omission : les chercheurs indépendants qui trouvent des solutions efficaces et peu coûteuses, mais qui s'écartent de la voie autorisée, sont condamnés au silence. Il ressort de ce rapport que l'Académie de Médecine a décidé délibérément d'étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vie, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins. Voilà qui donne une idée des puissants intérêts qui dictent sa conduite à l'Académie.

 

MENSONGE N°7 : Evitez la grippe en vous faisant vacciner :

 

"L'opinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition" (Dr Albert Schweitzer).

 

Chaque année à l'automne, les médias payés par l'industrie pharmaceutique lancent des campagnes publicitaires pour inciter les personnes âgées à se faire vacciner contre la grippe. Et pour mieux attirer le consommateur, ils prétendent que c'est gratuit. Voilà déjà un premier mensonge, car tout le monde sait que rien ou presque n'est gratuit ici-bas, et que les laboratoires ne sont pas des mécènes. Les vaccins « gratuits » sont évidemment payés par les usagers sous forme de prélèvements de la Sécurité Sociale.

 

Mais tout cela ne serait pas trop grave si ce vaccin était efficace. En 1993, la Caisse d'Assurance Maladie de Loire-Atlantique a voulu étendre le bénéfice de la vaccination gratuite à 43000 assurés sexagénaires, et dû arrêter l'expérience en constatant qu'à cet âge les vaccinés consultaient plus et dépensaient plus que les non-vaccinés. Et le journal Libération du 11 octobre 1994 titrait : "Les vaccinés contre la grippe coûtent plus cher à la Sécu".

 

L'article précisait : "Les vaccinés consomment plus de médicaments que les non-vaccinés. En novembre et décembre 1993, ils ont dépensé 23% de plus que les non-vaccinés (en consultation, visites, pharmacie). Quant à l'efficacité du vaccin, elle reste difficile à évaluer."

 

D'ailleurs, très peu de médecins sont vaccinés contre la grippe. Ils sont bien placés pour savoir que ce vaccin est inutile. Le Dr Anthony Morris, virologiste et ancien chef du contrôle des vaccins qui travaille avec la FDA, est catégorique : "Il n'existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu'il ne sert à rien, mais continuent néanmoins à le vendre."

 

Non seulement ce vaccin protège peu ou pas du tout, mais les mises en garde provenant de médecins ou de revues médicales réputées sont très nombreuses. D'ailleurs, on recommande de faire au préalable un test cutané en milieu hospitalier sous surveillance, à proximité d'une unité de soins intensifs, avec de l'adrénaline à portée de main et un personnel médical et paramédical entraîné, ce qui n'est jamais fait, mais prouve la dangerosité du vaccin.

 

Parmi ses nombreux effets secondaires, il faut citer des péricardites aiguës, des problèmes cardiaques (infarctus), et des pathologies neurologiques : encéphalites, myélopathie, occlusion de la veine centrale de la rétine, paraplégie, radiculite, et la liste est loin d'être exhaustive.

 

Les recherches du Dr Hugh Fudenberg, fameux immunologiste américain, l'ont amené à établir un lien entre les vaccinations régulières contre la grippe et un risque croissant de la maladie d'Alzheimer.

 

MENSONGE N°8 : L'hépatite B est très dangereuse et s'attrape par la salive :

 

"L'ignorance est la mère de tous les maux" (Rabelais)

 

C'est par un mensonge, qu'a été lancée la campagne éhontée en faveur de la vaccination contre l'hépatite B, dont la publicité a dépassé de très loin les arguments utilisés pour vendre du Coca-Cola. Ce fut le premier mensonge, mais pas le dernier, loin de là ! Dès lors, les mensonges se sont succédés à une cadence rarement égalée auparavant dans le domaine de la santé.

 

Ainsi, Philippe Douste-Blazy, alors ministre de la Santé du gouvernement Balladur, n'a pas hésité à avancer les chiffres les plus farfelus, sans aucune base scientifique, mais qui avaient évidemment été soufflés par les marchands de vaccins : « L'hépatite B ce sont 40000 contaminations par an, touchant principalement les jeunes », osa t-il affirmer à Libération le 4 septembre 1994. Pouvait-il ignorer que les estimations officielles (Réseau National de la santé) se situaient autour de 8000 ?

 

Le Dr Christian Spitz, pédiatre et psychologue chargé de "l'information", n'a pas hésité à affirmer que 4 milliards d'individus étaient touchés par le virus. L'esprit critique aurait à ce point déserté la France ? Ce chiffre qui représente 70% de la population mondiale, devait effectivement affoler tout le monde, jeunes et vieux ! Cependant, personne n'a semblé relever l'énormité du mensonge, pas une seule voix ne s'est élevée pour protester officiellement. "Plus c'est gros plus ça passe", selon le dicton !

 

On peut aussi juger de la qualité des informations données aux adolescents en prenant connaissance d'une note interne, lumineuse, du laboratoire Pasteur-Mérieux : "Sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur… Il faut dramatiser… faire peur avec la maladie". A lui seul, cet aveu aurait dû provoquer une remise en question du vaccin, puisque la « nécessité de vacciner » a été basée sur ces informations qui relèvent de la publicité mensongère.

 

Et c'est le laboratoire Pasteur-Mérieux MSD qui s'est chargé d'informer les médecins généralistes, avec toute l'objectivité qu'on peut attendre de quelqu'un qui est juge et partie. Dans cet élan, le laboratoire n'a pas hésité à éditer une plaquette affirmant : "la salive est un important vecteur de la contamination".

 

Avec la bénédiction du ministre de la Santé, les laboratoires Smithkline Beecham se sont alors introduits au sein des établissements scolaires pour y imposer, par la peur, un vaccin non obligatoire, mais que chacun croyait tel... Car aucun des tracts n'a jamais mentionné que la vaccination était seulement conseillée et non obligatoire. En fait, cette OPA a été une parfaite réussite puisqu'au cours de l'année 1995, on a vacciné autant de personnes que pendant les quatorze années précédentes.

 

Avant toute campagne de vaccination, la fréquence de l'hépatite B était déjà réduite de 90%, principalement grâce au retrait des lots de sang contaminé. Et de cela, on s'est bien gardé de parler durant la campagne. Dans un de ses dépliants, le laboratoire SBK n'hésitait pas à écrire : "l'hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an" ! Ce mensonge a été imprimé et distribué à des centaines de milliers d'exemplaires dans les collèges et les lycées.

 

Le Dr Bruno Donatini a mené une étude sur l'hépatite B . Ses estimations sont bien différentes de celles diffusées par les laboratoires et répétées par les organismes publics. Le Dr Donatini estime que le risque d'hépatite grave chez un sujet français "normal" est de l'ordre de 1 pour 50 millions alors que le risque d'accident grave est très élevé. Mais cela, personne ne l'a jamais dit officiellement. Et personne, non plus, n'a jamais avoué que le nombre de victime de la maladie est bien loin d'atteindre celui des méfaits de l'alcool, mais il n'existe pas de vaccins contre l'alcoolisme, aussi en parle-t-on moins.

 

Soyons sérieux. Etant donné que l'incidence de la maladie avait diminué de façon spectaculaire bien avant la vaccination (douze fois moins de cas en 1992 qu'en 1978), on ne peut que s'inquiéter d'apprendre que les chiffres pour l'hépatite B ont doublé en dix ans. Dans ce cas, il faut surtout éviter de continuer à vacciner qui que ce soit .

 

MENSONGE N°9 : Il n'existe aucun lien entre le vaccin contre l'hépatite B et la sclérose en plaques :

 

"Les médecins apprennent à nos risques et périls. Ils expérimentent et tuent avec une impunité souveraine et le médecin est le seul qui puisse donner la mort" (Pline l'ancien, Histoire naturelle)

 

Ce leitmotiv qu'il n'existe aucun lien entre ce vaccin et la sclérose en plaques est le principal argument des fanatiques du vaccin, mais, outre cette redoutable maladie, les accidents couvrent un éventail d'une soixantaine d'autres pathologies. Bien avant cette campagne mensongère, la liste des complications signalées était déjà impressionnante : poussées de sclérose en plaques, syndromes de Guillain-Barré, névrites optiques, paralysies faciales, myélites aiguës, lupus érythémateux, polyarthrites, péricardites, uvéites postérieures, urticaire, érythème polymorphe, lichen plan et bien d'autres.

 

En 1994, le Lancet (Vol.344) avait dénoncé : « La vaccination contre l'hépatite B a été associée à une exacerbation ou même un déclenchement de maladies auto-immunes telles que des scléroses multiples ou des syndromes de Guillain-Barré ». Ainsi, contrairement à ce qu'on prétend, les problèmes liés à la toxicité de la vaccination contre l'hépatite B ne sont pas réservés à la France ?

 

Le Dr Laurent Hervieux résumait clairement la situation dans le N° spécial de l'Impatient de mai 1997 consacré aux hépatites : "Le vaccin contre l'hépatite est composé d'un antigène HBS dont la structure est partiellement commune avec la myéline qui entoure les nerfs. Les anticorps fabriqués par l'organisme arrivent à confondre les deux et à attaquer la myéline, d'où les complications neurologiques enregistrées avec cette vaccination."

 

L'expert, le Dr Marc Girard, a découvert un rapport de la direction générale de la Santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit « la plus grande série d'effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 », alors que tous nos responsables de la santé persistent à affirmer qu'il n'y en a pratiquement pas. Dans la littérature internationale, on note également une multiplication récente des articles sur la sclérose en plaques chez l'enfant, maladie exceptionnelle auparavant. Ce risque vaccinal chez l'enfant a également été confirmé par un article publié en 2001 dans les Annales épidémiologiques.

 

A la suite de ces parutions, les laboratoires ont réagi car, en 2003, les journaux français ont annoncé que des études indépendantes avaient totalement innocenté le vaccin. En vérité, ces deux études, réputées « indépendantes » furent initiées et en partie financées par les fabricants de vaccins, la première par Aventis-Pasteur, et la seconde par Merck qui est, par hasard, associé de Pasteur-Mérieux.

 

Les marchands de vaccins avec nos instances de santé, n'hésitent pas à proclamer que les accidents survenus après la vaccination relèvent de la pure coïncidence et que les liens que les malades cherchent à établir n'ont aucun fondement scientifique. En outre, ils continuent à claironner qu'il n'existe « aucun accident » chez les enfants de moins de six ans, alors qu'il n'y a aucune raison pour que le pourcentage de mortalité après ce vaccin, pour cette tranche d'âge, soit en France inférieur à celui des Etats-unis. D'ailleurs le Revahb possède plusieurs dossiers concernant des accidents survenus chez des nourrissons, d'autres associations en détiennent également.

 

MENSONGE N°10 : L'autisme n'a aucun rapport avec les vaccinations :

 

"Lorsque nous laissons au gouvernement le pouvoir de prendre des décisions médicales à notre place, nous acceptons tacitement que l'Etat soit le propriétaire de notre corps" (Dr Ron Paul, Sénateur américain)

 

L'autisme se manifeste en général au cours des trois premières années, période pendant laquelle les enfants subissent de nombreuses vaccinations. Serait-ce un des curieux "hasards" qui jalonnent le parcours des vaccins ? Les cas d'autisme se sont multipliés depuis une trentaine d'années. Alors qu'aux Etats-Unis on avait détecté seulement une poignée de cas les années quarante, vingt ans plus tard, après la généralisation du vaccin diphtérie-Tétanos-coqueluche et l'arrivée du vaccin contre la rougeole, les consultations pour des cas d'autisme devinrent de plus en plus fréquente, et elles ont décuplé avec l'introduction du ROR et du vaccin anti-hépatite B. A présent les scientifiques sont très inquiets.

 

S'agit-il d'une simple coïncidence, qu'avant l'introduction de ces vaccins, il y a eu si peu de cas et qu'ils se soient multiplié plus de dix fois depuis la vaccination ? Comment se fait-il qu'on ne cherche pas à approfondir les études sur ces coïncidences temporelles ? Comment se fait-il que les pouvoirs discréditent toute étude sérieuse mettant en cause la toxicité des vaccins alors qu'ils tiennent compte et plébiscitent certaines études simplistes et non rigoureuses pour les promouvoir ? Pourquoi les accidents relèvent-ils toujours de coïncidence ?

 

Pouvoirs publics, médecins, et médias persistent à répéter la même rengaine : « Le vaccin reste la meilleure protection contre la maladie et cette maladie est fréquente et parfois mortelle », alors que les rougeoles sont rarissimes et parfaitement bénignes en Europe, dans les familles qui nourrissent correctement leur enfant.

 

Les mensonges que nous dénonçons concernent tous les pays de la planète. Ainsi, lorsque débutèrent les premières vaccinations ROR au Japon, le Ministère de la santé signala les effets indésirables dans un cas sur 200 000. Quelques années plus tard, ayant « révisé » les chiffres, le même ministère annonçait un accident pour 3000 vaccinés. Les statistiques ayant été à nouveau "révisées", il fut reconnu un accident pour 1 300 vaccinés, chiffre étrangement différent de ceux précédemment publiés.

 

Mais en France, nous n'avons aucun problème avec le ROR et l'on continue à administrer ce vaccin et à l'exiger pour l'admission en crèche. Dans le domaine du mensonge, nos « experts » restent imbattables ! leurs discours insultent l'intelligence et s'apparente à un faux témoignage. Quand demandera-t-on des comptes à ces spécialistes en rappelant leurs responsabilités ? demande le Professeur Jacques Testart, biologiste réputé.

 

POUR CONCLURE :

 

"Ce n'est pas le rôle du gouvernement d'empêcher le citoyen de tomber dans l'erreur ; c'est le rôle du citoyen d'empêcher le gouvernement de tomber dans l'erreur" (Robert Houghwout Jackson, Président du Tribunal de Nuremberg, 1945)

 

Le dogmatisme médical pourrait être comparé aux pratiques de l'Inquisition qui brûlait tout ce qui dépassait son entendement ou risquait de mettre en péril l'hégémonie de l'Eglise Catholique.

 

Dans notre pays où Voltaire et Diderot ont théoriquement détrôné la superstition et le fanatisme, la sagesse n'est guère de mise et les lavages de cerveau qui vont bon train causent des dégâts irréparables. Il serait grand temps de nous réveiller et de secouer le joug des idées reçues. Il serait grand temps de penser par nous-mêmes, au lieu de laisser aux « experts » le soin de le faire à notre place.

 

Devant la puissance financière des laboratoires, leur mainmise sur la politique de santé, sommes-nous condamnés à développer une certaine désobéissance civique ? Refusant aux Pouvoirs Publics le droit de nous imposer ces vaccins inutiles et dangereux au nom de la solidarité publique. Pourquoi ne pas utiliser cette arme que n'apprécient ni les fabricants de vaccins, ni les gouvernements, en attendant qu'une évolution législative respectueuse des droits de l'homme et de la liberté des citoyens s'instaure ?

 

Pour mieux désobéir et résister, il est prudent d'adhérer à des associations de consommateurs de santé, puisqu'il est bien connu que l'union fait la force.

 

BIBLIOGRAPHIE :

 

Livres sur la vaccination qui ont pour auteur Sylvie SIMON

Vaccinations l'overdose Editeur Déjà 1999

Déjà vacciné, comment s'en sortir ? (avec le Dr André BANOS) Déjà 2000

Faut-il avoir peur des vaccinations (ouvrage collectif) Déjà 2000

Vaccin hépatite B, les coulisses d'un scandale (avec le Dr Marc VERCOUTERE) MARCO PIETEUR 2001

Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins DANGLES 2005 (3ème livre d'une collection « les 10 plus gros mensonges »)

 

Livres sur la santé :

Le réveil de la conscience avec Jacqueline BOUSQUET – Editeur TREDANIEL 2003

Information et désinformation – TREDANIEL 2004

La dictature médico-scientifique – FILIPACCHI – 1997

Exercices illégal de la guérison – MARCO PIETTEUR – 2202

 

Autres livres sur les vaccinations - Vaccinations, les vérités indésirables – Michel Georget DANGLES – 2000

Vaccinations, erreurs médicales du siècle – Dr Louis de Brouwer Louise Courteau – 1997

Le dossier noir du vaccin contre l'hépatite B – Lucienne Foucras Editions du Rocher – 2004

Vaccination, la grande illusion Bickel (s'adresser à René Bickel, 116 rue de Mittelwihr 68150 OSTHEIM – Tél/Fax : 03 89 47 83 06

Pour en finir avec Pasteur – Dr Eric ANCELET – Marco Pietteur – 1998

Constitution des organismes animaux et végétaux, causes des maladies qui les atteignent – 3 vol. Pr. J. TISSOT – Laboratoire de physiologie générale – PARIS

Dr CHAUFFAT François, vaccinations : le Droit de choisir – Jouvence 2001

Dr COUZIGOU Yves, la longue traque de la variole – Perrin 1986

 

 

 

 

Idées fausses et vaccins, un Docteur s'en mêle !

 

Merci à Santé Nature Innovation d'avoir mis à disposition de leurs abonné(e)s ce dossier de 39 pages (voir plus bas) écrit par le Dr Lorgeril.

 

Le Dr Michel de Lorgeril, épidémiologiste, expert international en cardiologie et nutrition et chercheur au CNRS est un des plus grands médecins français vivants. Il est auteur d'une douzaine de livres. Depuis 25 ans, il mène des combats d'envergure qui ont radicalement changé la compréhension de la santé en France.

 

Il a notamment :

 

• Prouvé les effets protecteurs de l'acide gras oméga-3.

 

• Dénoncé la désinformation autour des réels effets du cholestérol (qu'il ne considère pas comme nocif en soi), montrant que les la boratoires pharmaceutiques interprétaient volontairement de façon erronée les statistiques… pour justifier l'emploi des statines qui sont de colossales sources de revenus.

Dr Michel de Lorgeril                                  

 

• Prêté sa voix aux victimes des scandales du Vioxx, du Mediator ou de la Dépakine, montrant comment l'industrie pharmaceutique pouvait cacher des données techniques au grand public.

 

• Pris très activement part au débat vaccinal depuis 2015, se prononçant fermement pour la fin de l'obligation vaccinale en France.

 

Les articles de ce dossier sont également parus sur le blog du Dr de Lorgeril : michel.delorgeril.info

 

Lire le dossier ici !

 

Voir aussi :

Vaccins et maladies autoimmunes : associations confirmées !

La "question vaccinale", vu par les médias "sérieux" en juillet 2017

Comment le journal Le Monde se déshonore en faisant mentir les chiffres !

 

Ne pas pouvoir débattre librement dans les médias, et je pense à la télévision, de la question vaccinale, est un aveu de faiblesse. Car si les technocrates pro-vaccins sont si sûr de leurs propos, de quoi ont-ils peurs ? Après tout, il y a de multiples débats politiques, certes hélas souvent stériles, mais au moins chacun peut s'exprimer. Mais il est clair que nous vivons dans une dictature médicale, puisque le débat est impossible. Il apparaît que l'on ne peut toucher, sans se brûler, à certains sujets, qui mettraient en évidence les colossaux profits des labos pharmaceutiques, au détriment de la santé publique. Et comme ces industries gouvernent à la place de nos politiques (et les grandes banques qui les soutiennent qui sont en haut de la pyramide), vous en aurez compris toute la difficulté. Alors, bravo à ce courageux et compétent Docteur, et à tous ceux et celles qui prennent des risques pour afficher leurs opinions réfléchies. A ce propos, je vous invite à écouter la déclaration d'Isabelle Adjani sur les vaccins ici. Certes, ce n'est pas une scientifique, mais une personne publique qui prend position, et qui mérite donc à mon avis d'être écouté.

 

 

 

 

Autisme et vaccins : des preuves concrètes ?

 

Notre chère Ministre de la santé, Mme Buzyn, a clamé haut et fort à l'Assemblée nationale que les aduvants, tels les sels d'aluminium, ne posaient aucun problème depuis 90 ans ! S'agit-il d'une conviction basée sur des études données par des experts indépendants de tout lobbying ? J'espère que cette dame est sincère et profondément convaincue de sa démarche, car lorsque de multiples pathologies neurologiques se déclencheront au bout de quelques années (et je ne parle pas des conséquences à court terme) suite à cette vaccination forcée de 11 vaccins, il faudra qu'elle ait les épaules solides, face aux nombreuses familles qui crieront leur désespoir face à leurs enfants rendus gravement malades, et qui mettront face à ses responsabilités cette dame. Certes, elle ne sera plus au gouvernement (pour les pathologies neurologiques qui se déclenchent bien souvent après de nombreuses années), mais dans tout les cas face à elle-même. Et le désespoir changera de camp.

 

Il ne s'agit pas d'être bêtement pour ou contre les vaccins, mais de faire preuve de courage, surtout pour nos responsables politiques, en commandant des études sérieuses, totalement indépendantes de toute pression des industries pharmaceutiques. Ces études sont hélas aujourd'hui très souvent officieuses, car qui oserait défier ces grands labos avec des études réellement indépendantes, et les résultats affligeants qui s'en suivraient ?

 

La majorité des gouvernants aujourd'hui sont devenus les vassaux bien peu courageux des grandes industries qui façonnent le monde à leurs images, pour des considérations uniquement mercantiles. Après tout, notre économie dépend de ces industries, et s'opposer à elles est mettre en danger la stabilité économique d'un pays ou du monde. C'est pour cela que gouverner un pays est devenu extrêmement difficile. Un politique haut placé qui serait courageux et commanderait des études indépendantes (sur tous les sujets) qu'il rendrait ensuite publique serait rapidement "dégommé" et décrédibilisé par la finance internationale. Et pourtant, sans ce courage, nos sociétés se dégradent de plus en plus, jusqu'à un point de rupture que l'histoire des civilisations a à chaque fois démontrée.

 

Mais pour revenir à notre ministre de la santé, qui affirme que les sels d'aluminium ne présentent aucun danger, voici une lettre ouverte de l'assocation E3M : (Source : www.vaccinssansaluminium.org)

 

De l'aluminium retrouvé en grande quantité dans le cerveau de personnes atteintes d'autisme :

 

Lettre ouverte de l'association E3M au Président de la République Française et au Président de la Commission Européenne.

 

Messieurs les Présidents,

 

Le 27 novembre 2017, l'association E3M (Entraide aux malades de myofasciite à macrophages) organisait un colloque au Palais du Luxembourg à Paris, en présence de chercheurs de différents pays : L'aluminium dans notre vie quotidienne, état des connaissances scientifiques internationales.

 

Lors de ce colloque, le Pr Christopher Exley, spécialiste internationalement reconnu de la toxicité de l'aluminium, a fait part de ses derniers travaux sur l'aluminium et l'autisme.

 

Stéphane Foucart le rappelait dans un article paru dans Le Monde le 10 décembre 2014 :

 

« De toutes les maladies non transmissibles, l'autisme est l'une de celles dont la fréquence augmente le plus rapidement. (…) Selon les chiffres des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) américains, à l'âge de 8 ans, un enfant sur 68 est désormais touché par cet ensemble de maladies du développement, regroupant l'autisme profond, les syndromes de Rett et d'Asperger, etc. (…) Le plus impressionnant n'est pas tant le chiffre lui-même, que la rapidité de son évolution : il est supérieur de 30 % à celui publié seulement deux ans auparavant (un enfant sur 88). »

 

Stéphane Foucart rappelle en outre que « les critères diagnostiques utilisés par les CDC sont demeurés identiques entre 2000 et 2013. »

 

Le Pr Exley et son équipe ont mené des analyses très poussées sur le cerveau de cinq personnes décédées ayant eu un diagnostic d'autisme (dont un garçon de 15 ans). L'aluminium était présent en quantité très importante et semble avoir été apporté par les cellules de l'immunité (macrophages) venant de la circulation sanguine et lymphatique.

 

Nous rappelons que les travaux expérimentaux des équipes des Prs Gherardi et Authier ont montré, chez la souris, que l'aluminium vaccinal est capturé et transporté dans l'organisme via les cellules de l'immunité (macrophages) et pénètre dans le cerveau, avec comme conséquence un dérèglement de leur fonctionnement neurologique.

 

Les travaux du Dr Lluis Lujan médecin vétérinaire universitaire (Saragosse), aussi présentés ce 27 novembre, ont montré que l'injection de doses d'aluminium vaccinal chez le mouton (correspondant aux doses des vaccins administrés notamment contre la fièvre catarrhale) était associée à une diffusion de l'aluminium dans le système nerveux et à des troubles neurologiques majeurs.

 

La possibilité que les particules d'aluminium intracellulaires retrouvées dans le cerveau de personnes autistes soit d'origine vaccinale est donc scientifiquement très pertinente.

 

Aucune étude épidémiologique n'ayant été menée sur cette question majeure, bien que la faisabilité technique en ait été démontrée par les CDC (Glanz 2015), et face à ces alertes scientifiques internationales, nous demandons que le principe de précaution, inscrit dans la constitution française (article 5 de la Charte de l'environnement), soit appliqué.

 

Cela nécessite que les mesures suivantes soient immédiatement adoptées :

 

1. Révision du calendrier vaccinal pour que les vaccins non indispensables contenant de l'aluminium n'y soient plus inclus, sauf pour les groupes ou les personnes à risque et sur la base du bénéfice risque individuel. La vaccination contre le papillomavirus doit faire partie de cette liste.

 

2. Engagement immédiat, au niveau national et européen, d'un programme de recherche ambitieux. Ces études doivent permettre de connaître, dans les plus brefs délais, le rôle de l'aluminium dans la survenue de nombreuses pathologies, comme facteur déclenchant ou co-facteur.

 

3. Suspension de l'obligation vaccinale, dans l'attente des résultats de ces recherches. Dans un tel climat d'incertitude, il n'est pas acceptable, humainement et déontologiquement, d'obliger les parents à faire vacciner leurs enfants avec des vaccins contenant de l'aluminium.

 

Cette mesure pourrait améliorer la confiance des Français vis-à-vis de la vaccination (note de C.M. : pour ma part, je ne peux être favorable à la vaccination suite à mes recherches sur le sujet), comme l'a rappelé le Collège national des généralistes enseignants le 26 novembre 2017. Nous avons exprimé cette demande auprès des parlementaires dans une lettre ouverte, nous appuyant notamment sur les demandes exprimées par les jurys réunis par le Pr Fischer lors de la concertation nationale sur la vaccination en 2016.

 

Monsieur le Président de la Commission européenne, c'est à l'échelon de l'Europe que la recherche sur l'aluminium doit être menée, sans délai et de manière extrêmement volontariste.

 

Monsieur le Président de la République Française, vous êtes le garant de la Constitution. Nous faisons appel à vous. Le principe de précaution doit s'appliquer, sous peine de le vider définitivement de sa substance. Le calendrier vaccinal doit être revu, l'obligation vaccinale doit être levée.

 

Et si la Commission européenne ne prend pas les mesures nécessaires pour protéger la population européenne, alors la France devra s'engager en chef de file pour la recherche en faveur de vaccins sécurisés.

 

Nous nous tenons à votre disposition pour étudier et mettre en œuvre au plus vite les décisions que la santé publique impose.

 

 

 

 

Témoignages vidéos

 

Nous nageons en pleine dictature médicale, avec des politiques totalement irresponsables sur la question vaccinale. Et de plus, avec un déni total de la médecine traditionnelle lorsqu'une famille est victime des conséquences désastreuses d'un vaccin sur leur enfant. Le pire, ou le comble, c'est que vous êtes accusé de mauvais traitement sur enfant et non assistance à personne en danger en cas de refus de vaccination. Alors que, bien au contraire, c'est votre amour pour votre enfant, et votre besoin tellement évident de le protéger qui provoque ce refus légitime. Les témoignages qui suivent ne sont qu'une toute petite goutte dans l'océan des nombreuses familles confrontés à ces difficultés.

 

Le site qui vous renseigne : www.infovaccinsfrance.org

 

Les vaccins l'ont rendue aveugle et handicapée à deux mois :

 

Le 18 novembre 2015, Lolita, 3 ans, est décédée. Tout avait si bien commencé...

 

Lolita est née le 08/07/2012. C'est une petite fille en parfaite santé, tout ce qu'il y a de plus normal et de plus beau dans une vie. A deux mois, Lolita reçoit ses premiers vaccins: Infanrix Hexa et Prevenar. 15 jours après, Lolita a fait une réaction grave qui l'aurait certainement emportée plus tôt si sa mère n'était pas intervenue. Cependant, ses yeux ne voient plus et une mauvaise conjonctivite invite les parents à rencontrer des spécialistes. 

 

Entre temps, rendez-vous avec le médecin traitant pour le rappel. On raconte alors au médecin ce qui s'est passé:  "Pas de quoi s'inquiéter.." Même s'il remarque lui aussi que la poursuite oculaire n'est plus bonne, il suggère que "peut-être Lolita a fait une absence épileptique"  et - dans le doute ? - vaccinera de nouveau l'enfant, malgré l'inquiétude des parents (et malgré les mises en garde des notices).

 

L'état de Lolita va en empirant. Elle était normale avant. Désormais, elle passe beaucoup de temps à dormir, éprouve des difficultés à boire son biberon, éprouve tant de difficultés à faire ses selles qu'elle ne peut plus les réaliser sans assistance, elle est hypertonique des membres supérieurs et hypotonique du tronc (ce qui suggère des lésions cérébrales et nerveuses) et pour couronner le tout, elle est désormais aveugle avec 0,03/10 aux yeux... Elle est suffisamment handicapée pour que son père cesse de travailler afin de s'occuper d'elle. Mais pas assez handicapée aux yeux de l'état pour obtenir des aides.

 

Bien sûr, on leur a conseillé de poursuivre la vaccination.

 

Les vaccins ont détruit le pancréas et le métabolisme de son fils :

 

Après la vaccination de son fils, convulsions, arrêt respiratoire, coma, proche de la mort, 6 mois d'hôpital... Plus de vie pour les parents et celle de leur enfant. La médecine en déni total, etc.

 

Effets secondaires des vaccins : handicapé à vie. Témoignage touchant du papa de Nello :

 

Juste après le vaccin, alors que son enfant était en parfaite santé, sa santé s'est très vite dégradée, jusqu'à ce que l'hôpital lui annonce que son enfant sera handicapé à vie. La médecine et leur propre pédiatre les fuient, quel courage ! Tout s'est également écroulé pour eux financièrement...

 

Témoignage d'une maman dont la fille est handicapée suite à la vaccination :

 

Sa fille, handicapée suite à ses vaccins, plus d'autonomie. Déni de la médecine et aucunes solutions proposées.

 

Mickaël Lecomte, au tribunal pour un vaccin :

 

Lundi 9 novembre 2015, Mickaël Lecomte est convoqué devant le tribunal de Strasbourg. Motif : il n'a pas fait vacciner son fils avec le vaccin DT-Polio, le seul (qui était) obligatoire en France. Il ne peut pas rejoindre sa femme militaire au Gabon. Entretien avec un père très bien informé.

 

 

 

 

Vaccins et aluminium : déni de l'état

 

Vaccins et aluminium : ce danger que l'État refuse de voir :

 

Merci pour ces 3 articles du site reporterre.net - Premier volet :

 

L'extension de l'obligation vaccinale de 3 à 11 vaccins au 1er janvier 2018 suscite un vif débat. En cause notamment, l'utilisation de l'aluminium comme adjuvant des vaccins, pratique à l'origine d'une maladie, la «myofasciite à macrophages», comme l'affirme depuis la fin des années 1990 le professeur Romain Gherardi. Dans un récit en trois volets, Reporterre vous raconte cette découverte, et la réaction des institutions de santé publique.

 

Cette histoire commence un matin de décembre 1993. Depuis 1965, le Club des neuropathologistes français se réunit deux fois chaque année pour examiner ce que les uns et les autres ont pu trouver dans le cadre de leurs recherches. Ce club réunit la crème des spécialistes. On vient de Marseille ou de Lyon, de Bordeaux ou de Toulouse discuter de cas notables. Et cette fois, la réunion a lieu à Paris, à l'hôpital La Pitié-Salpêtrière.

 

Quoi de nouveau dans le vaste domaine des affections neurologiques et musculaires ? À la vérité, pas grand-chose. On écoute les intervenants, car on est courtois, et les minutes passent, sans provoquer le moindre émoi. Mais voilà qu'arrive sur l'estrade Michelle Coquet, du CHU (Centre hospitalier universitaire) de Bordeaux. Elle est fort réputée pour la qualité inégalée de ses clichés de microscopie électronique.

 

De quoi parle-t-elle ce matin-là ? S'excusant presque de ce qu'elle ne comprend pas encore, elle passe à ses collègues les images d'une biopsie musculaire. L'une de ses patientes se plaint de pesantes douleurs dans les muscles, devenues handicapantes. Elle souffre en outre d'une immense fatigue. Sur l'écran apparaissent de grosses cellules immunitaires, dites macrophages. Elles sont connues, bien sûr, mais pas dans cet ordre, pas dans ce dispositif, pas à cette place. La discussion commence entre scientifiques, et elle n'est pas terminée un quart de siècle plus tard.

 

L'évolution de la vie, si imaginative pourtant, a constamment dédaigné l'aluminium :

 

Parmi les médecins présents, un certain Romain Gherardi, du CHU Henri-Mondor de Créteil. Revenu en son laboratoire, il retrouve les mêmes concentrations de macrophages dans la lésion d'un deltoïde, ce muscle situé en haut du bras. Le cas présenté par Michelle Coquet n'était pas unique. Il y en a deux, puis trois, puis dix. Avec les mêmes symptômes.

 

                                     Le professeur Romain Gherardi

Le 1er août 1998, Gherardi publie avec des collègues un article sensationnel dans l'une des références mondiales de la presse scientifique, The Lancet. Il y décrit une nouvelle pathologie appelée «myofasciite à macrophages», qu'il croit infectieuse. La première équipe qui trouvera le mystérieux germe sera célébrée dans le monde entier et pourra prétendre à quelque prix prestigieux. Le problème, c'est qu'il n'y a pas de germe. Tandis que Gherardi est invité par les radios, y compris la BBC, tandis qu'il croit avoir trouvé, Michelle Coquet a pris une décision qui va tout changer. Elle a confié de son côté des échantillons de biopsies contenant des macrophages à un laboratoire ultraspécialisé. Le 23 octobre 1998, elle reçoit la réponse : dans le muscle lésé, on trouve un métal. Et ce métal, c'est de l'aluminium.

 

Stupéfaction. De l'aluminium dans le muscle de patients ? Romain Gherardi n'a encore jamais vu cela. Peut-être n'a-t-on encore jamais vu cela. Il faut préciser que l'aluminium, élément chimique dont le numéro atomique est 13, est le métal le plus abondant de l'écorce terrestre. Le monde en produit près de 60 millions de tonnes par an, avec une montée en puissance fulgurante depuis 1940, pour des besoins de guerre. L'industrialisation du monde a vite trouvé de merveilleux usages à l'aluminium. Il y en a désormais dans l'eau du robinet, les dentifrices, le lait maternisé, le matériel de camping, les lignes électriques, les voitures, les TGV, les avions, les trottinettes, les frigos, les emballages alimentaires. En réalité, partout.

 

Ce qui ne manque pas d'étonner, c'est que l'évolution de la vie, si imaginative pourtant, si créatrice, a constamment dédaigné l'aluminium. Nul organisme vivant n'en contient. Nul n'en a jamais eu besoin pour s'imposer. Ni les fleurs et les arbres, ni les moineaux ou les cacatoès, ni les singes, ni les chiens, ni les hommes. Or voilà qu'on en trouve, sous la forme de petites pelotes d'épingles, dans le cytoplasme — l'intérieur de la cellule moins le noyau — des macrophages. Le corps humain, comme celui des autres vivants, parvient très généralement, grâce aux intestins et aux reins, à éliminer ce métal au plus vite. Et heureusement, car l'aluminium est dit « réactogène ». Il réagit fort et déclenche dans le corps des phénomènes d'hypersensibilité.

 

L'OMS n'est pas une officine du crime industriel, mais il lui est arrivé plus d'une fois d'être son paravent :

 

Gherardi, qui a conscience d'emblée du problème, établit des dosages d'aluminium dans le sang et les urines des patients atteints de myofasciite : ils sont normaux, et comme aucun trouble rénal, aucune exposition professionnelle ne peut être constaté, le mystère demeure total. D'où peut venir le métal ? Quelques jours après la découverte de Coquet, Gherardi reçoit — le 27 octobre 1998 exactement — un colis qu'il attendait avec impatience : une bible appelée Encyclopedia of Immunology. Gherardi a en effet acheté ce qu'il appelle une petite folie : quatre volumes de 3.000 pages au total, dont les articles ont été écrits par 700 auteurs, et qui rassemble le meilleur des connaissances humaines en immunologie.

 

Cette discipline scientifique s'intéresse, entre autres, aux intrus qui parviennent à déranger notre ordonnancement intérieur. En règle générale, les virus, bactéries, pollens ou protéines gênants sont combattus et chassés. Mais parfois, l'organisme ne trouve pas de réponse à la présence d'organismes étrangers. Gherardi cherche deux ou trois entrées et puis se concentre sur une seule : à la lettre A, le mot aluminium contient une surprise, et de taille ! Le professeur lit en effet : «Aluminium Hydroxyde as An Adjuvant of Vaccines.» Quoi ? Il y a donc de l'aluminium dans les vaccins ? Personne ne le sait encore, et Gherardi découvre ce jour-là qu'on utilise le métal comme adjuvant, c'est-à-dire pour augmenter l'efficacité des injections de vaccin. Depuis 1926. Un lien existerait-il entre aluminium et myofasciite ? Rien n'est moins sûr, mais le médecin de Créteil préfère en parler à deux responsables de l'Institut de veille sanitaire (InVs). Autant la publication dans The Lancet avait suscité le plus vif intérêt, autant ces nouvelles données désarçonnent les deux responsables de notre sécurité sanitaire. Tout va basculer.

 

Pour mieux comprendre ce qui suit, trois mots sur la puissante Organisation mondiale de la santé (OMS), agence des Nations unies qui compte 7.000 salariés et 150 bureaux dans le monde. Il était inévitable qu'une telle puissance soit convoitée par les lobbies industriels, qui ont tant à perdre de l'édiction de lois efficaces de protection de la santé. Sans entrer dans des détails, l'OMS est constamment mise en cause pour avoir trop volontiers, dans des affaires importantes, pris le parti de l'industrie. Citons par exemple son rôle trouble dans la définition de la « dose journalière admissible » (DJA) qui empêche de considérer la réalité de la contamination chimique ; ou la gestion de la grippe A (H1N1) de 2009, qui aura au total profité à l'industrie pharmaceutique ; ou encore le fameux accord de 1959 entre l'OMS et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui aura permis de camoufler une partie des réalités nucléaires mondiales. L'OMS n'est pas une officine du crime industriel, mais il lui est arrivé plus d'une fois d'être son paravent.

 

Dans la salle feutrée, le climat est en train de changer :

 

Le 14 septembre 1999, Romain Gherardi est convoqué à Genève, au siège de l'OMS, où il est reçu par le comité consultatif de sécurité vaccinale. Il y a là son président, le Sud-Africain Peter Folb, accompagné par huit conseillers, dont deux États-Uniens qui représentent les incomparables Centers for Disease Control (CDC), ces centres fédéraux pour le contrôle des maladies, dotés outre-Atlantique de très gros budgets. L'initiative de l'OMS est impeccable : constatant qu'un chercheur réputé s'interroge sur les «adjuvants aluminiques» des vaccins, le comité ad hoc a provoqué une audition. Le moment est unique, qui peut lancer un branle-bas de combat planétaire. Gherardi est lui aussi accompagné, on n'ose écrire chaperonné, par plusieurs représentants de l'industrie pharmaceutique et des experts d'agences publiques françaises. Depuis que cette histoire a commencé, il a affûté ses observations, et il arrive à Genève raisonnablement confiant, pour au moins trois raisons.

Le siège de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), à Genève (Suisse)

 

La première, c'est que 100 % des malades atteints de myofasciite ont été vaccinés au cours des années précédant l'apparition des symptômes, le plus grand nombre contre l'hépatite B. Certes, ce peut être un hasard, mais, deux, des études expérimentales menées avec le concours de Gherardi montrent que l'injection de vaccins à l'aluminium chez des rats provoque l'apparition de myofasciites. Ce qui donnera lieu à publication scientifique en 2001. Oui, mais dans ce cas, pourquoi découvre-t-on le problème, alors que l'aluminium est utilisé comme adjuvant vaccinal depuis 1926 ? Troisièmement, après avoir beaucoup cherché, Gherardi trouve : en 1990, on a cessé de vacciner sous la peau, et commencé de piquer dans le muscle lui-même.

 

Autant dire que Gherardi a des arguments à faire valoir. Au total, quarante personnes sont réunies, qui écoutent avec attention le propos sidérant du professeur français. S'il a raison, un édifice s'écroule, mais il a le malheur de dire qu'il ne sait pas tout, de très loin. Notamment, il ignore combien de temps s'écoule entre l'injection d'aluminium et l'apparition d'une lésion à macrophages. Il faut en toute hypothèse compter en années, ce qui dynamite tous les tests de contrôle des médicaments, qui ne connaissent — il faut aller vite, très vite — que les jours et au mieux les semaines. Dans la salle feutrée, le climat est en train de changer. Certains experts mondialement connus croisent et décroisent leurs jambes, les feuilles se tordent dans des mains qui s'agitent. L'un d'eux, qui travaille pour Pasteur-Mérieux, fabricant de vaccins, conteste Gherardi. Plutôt non, mais ayant travaillé sur des lapins, il assure que la lésion observée disparaît en trois mois au plus. Quel a été son protocole d'étude ? Secret professionnel et commercial. Gherardi (s')expose, d'autres affirment.

 

Le rendez-vous de Genève est, dans le même temps et paradoxalement, un triomphe. Oui, il est acquis que les lésions observées par Gherardi sont d'origine vaccinale et oui, elles durent longtemps. Mais, pour le reste, dissensus. Les sommités estiment que la lésion musculaire constatée est une réaction post-vaccinale normale, et passagère. Mais, il y a ce «mais» : l'aluminium est-il responsable de la maladie nouvelle constatée chez certains malades ? L'OMS ne peut trancher cette question, et preuve que la porte n'est pas fermée, elle préconise de nouvelles études. Le malentendu est total !

 

__________________

 

Deuxième volet :

 

Vaccins et aluminium : la recherche interdite :

 

Comment les autorités de santé ont décidé de stopper toute recherche sur la question !

 

Un autre rendez-vous important attend Gherardi après sa visite à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en septembre 1999. On ne l'a pas oublié, et mieux, on le prend au sérieux. Les CDC [Centers for Disease Control, les centres fédéraux pour le contrôle des maladies aux États-Unis] déjà cités invitent notre professeur à Porto-Rico en mai 2000. Le service états-unien en charge de la vaccination — le NVPO — organise le 10 de ce mois une conférence internationale au titre limpide : Aluminium In Vaccines. Les CDC, qui y sont associés, ont estimé à juste titre que Gherardi a toute sa place dans pareil événement scientifique.

 

Porto Rico abrite 80 usines pharmaceutiques qui produisent pour le marché américain et international des médicaments contre le cancer, le diabète,

les maladies cardio-vasculaires ou encore le sida. Un secteur qui génère 15 milliards de dollars par an.

 

Il est l'un des rares étrangers présents, un peu perdu au milieu de centaines de spécialistes américains des vaccins. Pourquoi ce choix exotique de Porto-Rico ? Gherardi pensera des années plus tard avoir trouvé une réponse qui s'appelle le Big Pharma, ou grande industrie du médicament. Porto-Rico, État associé aux États-Unis, bénéficie d'une fiscalité si intéressante que de très nombreux groupes industriels y ont installé des centres de production. Et parmi eux, Novartis, Pfizer, Merck, géants de la pharmacie, dont les enseignes et affiches pullulent dans la ville. Mais quel rapport avec un colloque scientifique ?

 

L'adjuvant aluminique ne sert à rien dans les injections de rappel :

 

Eh bien, voyons toujours. La réunion est dominée par la personnalité d'un chercheur états-unien, Stanley L. Hem. Hem est le coauteur d'une contribution importante sur les adjuvants aluminiques, parue en 1997, qui assure qu'ils disparaissent très vite par les voies urinaires. Au rendez-vous de Porto-Rico, il préside une session consacrée à la pharmacologie des sels d'aluminium. Dès le premier jour, Gherardi apprend une chose qui a son importance : l'adjuvant aluminique, s'il permet en effet, dans un premier temps, de renforcer l'effet du vaccin, ne sert à rien dans les injections de rappel. Mais en ce cas, pourquoi ne pas au moins les supprimer dans ces dernières ? La réponse est limpide : un médicament pour les humains doit être testé dans sa totalité. Si l'on modifie sa composition, fût-ce en enlevant les sels d'aluminium, il faut repartir pour un processus coûteux — pour l'industriel — d'homologation.

 

Ce n'est encore qu'un modeste élément du dossier. Et voilà que Hem entre en scène. Du haut de la tribune, il tonne, d'après une expérience menée sur des lapins, que l'aluminium ne saurait rester dans le corps, et qu'il est rapidement éliminé. Pourquoi pas ? Mais Gherardi constate que si certains sels d'aluminium semblent en effet disparaître, c'est loin d'être le cas pour l'hydroxyde d'aluminium, celui incriminé dans la survenue des myofasciites. Le pire est à venir, car Gherardi fait à son tour une communication qu'on ne peut décrire en détail. Cela chauffe. Hem, qui règne en vedette sur la salle, accule Gherardi qui, sans perdre son sang-froid, vacille sous les coups.

 

C'est d'autant plus injuste que Hem a travaillé — ce n'est pas une critique — en chimiste qu'il est, négligeant, à la différence du biologiste Gherardi, le rôle des cellules dans un organisme humain. Bien plus embêtant pour lui : son étude de 1997 repose sur deux — 2 ! — lapins, et n'a pas été poursuivie au-delà de 28 jours. Elle prouverait néanmoins que l'aluminium ne peut subsister dans le corps.

 

Un terrible communiqué de l'Agence française de sécurité sanitaire :

 

Du côté de l'OMS, le climat s'est soudain alourdi. Après le rendez-vous de 1999, deux réunions ont eu lieu à Genève. La première, en mai 2000, semble prometteuse, car l'OMS affirme vouloir financer des études complémentaires. Mais au cours de la troisième, en décembre 2000, sans la présence de Gherardi, il se passe quelque chose. Et en janvier 2001, l'OMS envoie un courrier indiquant que le financement d'études sur les adjuvants aluminiques est finalement refusé. Selon Gherardi, qui n'a pas de preuve, l'un des médecins importants aurait basculé dans une hostilité de combat contre ses travaux après avoir obtenu une chaire prestigieuse financée par Mérieux, l'un des leaders de la vaccination.

 

Quoi qu'il en soit, le vent a cette fois tourné, et après quelques méandres, l'affaire de l'aluminium ajouté aux vaccins se termine par un terrible communiqué de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, cette Afssaps ancêtre de l'Agence du médicament. Le 6 mai 2004, le conseil scientifique de l'Afssaps écrit qu'aucun «syndrome clinique spécifique n'est retrouvé associé à la vaccination avec des vaccins contenant un adjuvant aluminique», et en bonne logique estime qu'aucune étude complémentaire ne doit être menée. Sans mettre en cause à ce stade l'Afssaps, il faut tout de même ajouter un éclairage : une forte majorité des experts sollicités par l'Agence sont ou ont été en lien avec l'industrie, et l'Agence a été lourdement mise en cause dans le grand scandale Mediator des laboratoires Servier.

 

Détaillons l'arrière-plan du communiqué. La veille, le 5 mai, le conseil scientifique de l'Afssaps se réunit pour évaluer le travail d'une épidémiologiste, Annie Fourrier. Elle-même et quelques collègues ont réalisé une étude dite de cas-témoins sur la fameuse myofasciite, de haute qualité, selon l'avis de Gherardi. Mais elle est passée à la moulinette, au cours de ce que Gherardi décrit comme un «passage à tabac», symbolique s'entend. Et par qui ? Par des «experts épidémiologistes» appelés en renfort. Les trois rapporteurs de la sévère mise en cause du travail d'Annie Fourrier ont tous eu des liens financiers avec l'industrie pharmaceutique, ce qui n'invalide pas leurs propos, mais peut les éclairer.

 

La ministre de la Santé, Mme Bachelot, ex-employée d'une firme pharmaceutique, sourde à l'alerte du docteur Gherardi :

 

Le communiqué du 6 mai 2004 a une conséquence immédiate : les 250 malades diagnostiqués auparavant n'existent plus en tant que tels, même si leurs symptômes renvoient sans discussion au syndrome de fatigue chronique, reconnu comme maladie neurologique grave par… l'OMS ! Les travaux de Gherardi, privés de tout financement public, s'achèvent en même temps. Le silence de mort va durer dix ans. Les chercheurs du CHU Henri-Mondor de Créteil entrent dans une sorte de clandestinité, ou du moins, selon le mot de Gherardi lui-même, la « marginalité ».

 

Que se passe-t-il quand même ? L'équipe de Gherardi continue à comptabiliser par centaines ces malades qui n'existent pas, et recommence pas à pas à valider chacune de ses découvertes. De leur côté, les malades atteints de myofasciite ont créé en 2001 une très combative association, E3M (l'association d'entraide aux malades de myofasciite à macrophages), aujourd'hui présidée par Didier Lambert. Le 4 décembre 2007, à force d'obstination, E3M obtient une réunion au ministère de la Santé pour parler enfin de la myofasciite. Gherardi est de la partie, qui détaille les résultats d'examens cliniques méticuleux menés à Créteil. C'est simplement affreux : la mémoire visuelle et la mémoire de travail sont gravement atteintes chez les malades, et dans 92 % des cas, un test au moins évoque ce que les neuropathologistes appellent la démence, c'est-à-dire de profondes altérations cognitives.

 

En face, les deux conseillers de la ministre en place, l'ancienne pharmacienne Roselyne Bachelot, cachent à peine leur ennui. Écoutent-ils seulement Gherardi citer une étude prouvant que l'aluminium vaccinal peut migrer jusque dans le cerveau, passant donc la barrière hémato-encéphalique ? Comme ce travail reste modeste, il faudrait, avance Gherardi, que le ministère finance d'autres études. Mais les deux conseillers abrègent, et disparaissent à jamais du tableau.

 

En 2009, la mobilisation controversée contre le virus grippal H1N1 aura coûté, notamment pour les vaccins, entre 1 et 2 milliards d'euros. Déléguée médicale du laboratoire ICI Pharma — devenu AstraZeneca — entre 1969 et 1976, Roselyne Bachelot sera chargée des relations publiques de Soguipharm — un autre labo pharmaceutique — entre 1984 et 1989.

Roseline Bachelot, ministre de la santé de 2007 à 2010                        

 

AstraZeneca a été au cœur de la fabrication de vaccins contre le virus H1N1, ce qui ne prouve rien, mais mérite d'être rappelé.

 

__________________

 

Troisième volet :

 

Vaccins et aluminium : la loi des lobbies :

 

Le sérieux du travail du professeur Gherardi et de son équipe sur la maladie provoquée par les adjuvants aluminiques des vaccins est reconnu. Mais la recherche approfondie est empêchée, tandis qu'une ministre proche des firmes pharmaceutiques impose l'obligation de onze vaccins. 3e volet de notre enquête.

 

En décembre 2012, les malades de l'association E3M commencent une grève de la faim. Ils réclament des choses évidentes. Un, la reconnaissance de leur maladie. Deux, de l'argent pour des recherches. Trois, la remise sur le marché d'un vaccin DT-polio — obligatoire — sans aluminium. Car en effet, et c'est toujours le cas, on ne trouve pas en France, en cette fin 2012, de vaccin obligatoire sans sels d'aluminium. Alors même qu'il existe au moins un adjuvant parfaitement inoffensif, le phosphate de calcium, qui n'est pas utilisé.

 

E3M - Association d’Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages

 

Donc, une grève de la faim de gens affaiblis, malheureux et méprisés. Gherardi continue de son côté à tendre sa sébile dans l'espoir d'éclairer la «migration systémique et cérébrale» de l'aluminium vaccinal. La grève de la faim semble, dans un premier temps, débloquer la situation. Le ministère accepte le principe de nouvelles études, pilotées par l'Agence du médicament (ANSM, selon son acronyme), qui a pris la suite de l'Afssaps. On offre la somme de 150.000 euros, qui ne seront obtenus qu'en avril 2014, mais on exclut du travail l'équipe de Gherardi, seule à travailler sur la question depuis plus de quinze années. Le professeur est finalement réintégré grâce à de puissants coups de gueule de quelques élus, dont Laurence Cohen, présidente de la Commission des affaires sociales du Sénat.

 

Pendant trois ans, Gherardi travaille avec l'aumône qui lui a été octroyée. Aumône ? Comment réaliser un travail scientifique d'importance avec 150.000 euros ? Le chiffre d'affaires mondial des vaccins était de 27,5 milliards d'euros en 2014 et pourrait atteindre 100 milliards en 2025. Gherardi travaille néanmoins sur les prédispositions génétiques qui permettraient d'expliquer pourquoi si peu de vaccinés, qui sont des millions, développent une myofasciite. Et voilà qu'en mars 2017, l'Agence du médicament (ANSM) réapparaît. Un débat a lieu dans le cadre de son conseil scientifique, et l'on s'écharpe à propos des résultats de Gherardi. Les experts réunis sont divisés, mais reconnaissent le sérieux du travail, et demandent dans un avis consultatif la poursuite des travaux et donc des financements.

 

« Cent vingt nouveaux vaccins, en majorité aluminiques, dans les “pipelines” de l'OMS » :

 

Mais cet avis reste délicatement déposé sur une étagère jusqu'en septembre, quand le journal Le Parisien met les pieds dans le plat et accuse l'Agence d'avoir caché un débat essentiel. Au cœur de la polémique, une question qui porte sur la toxicologie. Depuis Paracelse il y a 400 ans, la plupart des spécialistes pensent, après lui, que la dose fait le poison. Plus on en reçoit, plus on réagit. Or une révolution, celle des « effets non linéaires », est en cours. Il apparaît désormais certain que des doses plus faibles peuvent, dans certains cas, avoir des effets plus importants. Le peu d'aluminium contenu dans une dose vaccinale — ce n'est qu'une hypothèse — pourrait être la cause d'un grand désordre général. On peut, malgré l'ampleur de l'expression, parler de rupture paradigmatique. Un avant, et surtout, un après.

 

À ce stade, Gherardi ne réclame qu'un financement ridicule de 550.000 euros — qui montera à 670.000 euros — pour continuer un travail dont personne ne conteste le caractère scientifique. Mais l'Agence du médicament refuse son crédit, arguant qu'il lui faut s'adresser, ce qui peut se défendre, à l'Agence nationale de la recherche (ANR). Laquelle constate, dans un document en notre possession, l'excellence scientifique du projet, qui recueille 42 points sur un total possible de 45. Avant de pourtant refuser le financement, et de placer le tout dans une waiting list qui a l'apparence d'une impasse !

 

Il n'est que temps de rassurer ceux qui pourraient croire ici à une croisade contre la vaccination. Dans un texte récent qu'il nous a adressé, le professeur Gherardi insiste pour la centième fois sur les bienfaits de la vaccination (Note de C.M. : Pour ma part et après de multiples recherches c'est faux, mais je comprends sa position), mais met en garde justement sur la crise de confiance. «Il faut mesurer les effets à long terme des adjuvants aluminiques car une expansion massive des approches vaccinales est programmée par l'OMS, qui annonce plus de 120 nouveaux vaccins, en majorité aluminiques, dans les “pipelines”, pour une croissance annuelle de 20 % du marché des vaccins, le chiffre d'affaires étant passé de 5 à 43 milliards de dollars de 2000 à 2016 et devant atteindre 100 milliards en 2025. Le plus satisfaisant serait bien entendu que la suppression des adjuvants aluminiques soit envisagée à terme.»

 

« Les faits sont têtus : les malades sont là » :

 

                      L'hôpital Henri-Mondor, à Créteil (Val-de-Marne), où travaillent

                                             le professeur Gherardi et son équipe.

Optimiste envers et malgré tout, après vingt années de mépris glacial, Gherardi nous écrit par ailleurs : «Les faits sont têtus : les malades sont là et on identifie deux nouveaux cas par mois dans le seul hôpital Henri-Mondor. La piste d'une susceptibilité génétique chez ces patients sentinelles est très forte, leur maladie existe chez le mouton et peut être reproduite avec l'administration des adjuvants seuls, les consciences s'éveillent chez nos collègues partout dans le monde et même chez nos adversaires qui, à la lecture de notre analyse critique des articles de référence, admettent (en privé) que tout doit être repris à zéro.»

 

Que vient faire le mouton dans cette histoire ? Eh bien, un chercheur espagnol de l'université de Saragosse, Lluís Luján, a réalisé une étude édifiante sur ces animaux, en leur injectant des vaccins contenant de l'aluminium. Une faible partie des vaccinés — autour de 0,5 % — développent un syndrome passant par «un épisode neurologique aigu» et des changements neurodégénératifs, proches des symptômes observés avec la myofasciite.

 

C'est dans ce contexte plutôt lourd que madame Agnès Buzyn, ministre de la Santé du gouvernement d'Édouard Philippe, annonce fin août que 11 vaccins infantiles deviendront obligatoires dès le 1er janvier 2018, contre 3 aujourd'hui, qui sont ceux contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP). Les huit autres concernent la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l'hépatite B, la bactérie Haemophilus influenzae, le pneumocoque, le méningocoque C. La ministre a alors précisé que «son objectif n'est pas de sanctionner» les récalcitrants, car il s'agit pour elle «de rendre la confiance dans les vaccins». La tâche paraît tout sauf évidente.

 

«La nature des adjuvants utilisés dans la fabrication des vaccins doit faire l'objet d'une attention particulière» :

 

Au printemps 2012, la députée Marisol Touraine n'est pas encore ministre de la Santé du gouvernement Jean-Marc Ayrault. Responsable «du pôle social de la campagne de François Hollande», elle écrit une lettre instructive à l'association des malades de myofasciite, E3M, et notamment ces mots : «Dans le contexte de perte de confiance de nos concitoyens envers les institutions sanitaires, en particulier depuis la gestion catastrophique de l'épidémie de grippe A et la dénonciation de graves conflits d'intérêts ayant provoqué de trop nombreux scandales sanitaires, il faut donner les meilleures assurances de sécurité pour effectuer les vaccinations obligatoires dans l'intérêt de la santé de notre population. La nature des adjuvants utilisés dans leur fabrication doit faire l'objet d'une attention particulière et doit être communiquée aux familles afin qu'elles soient pleinement informées. Elles doivent également avoir le choix de faire procéder aux vaccinations obligatoires par des vaccins sans sel d'aluminium, d'autant plus que c'était le cas jusqu'en 2008.»

 

La première réaction à ces mots ne peut être qu'un sourire crispé, car madame Touraine aura, tout de long des cinq années passées ensuite au ministère de la Santé, tout oublié des promesses préélectorales de son candidat. Mais il faut aller au-delà, et constater avec l'ancienne ministre qu'au plus haut niveau de l'État, la question des adjuvants aluminiques des vaccins est bel et bien posée. Où en est-on aujourd'hui alors que les nouvelles obligations vaccinales sont effectives depuis le 1er janvier 2018 ?

 

Le 8 février 2017, répondant à une demande de 2.300 personnes, le Conseil d'État rend une décision très attendue : le ministère de la Santé — celui tenu encore par madame Touraine — dispose de six mois pour rendre enfin disponibles dans les pharmacies des vaccins, dits trivalents, contre le fameux trio diphtérie-tétanos-polio. Aussi surprenant que cela paraisse, à cette date, les parents n'ont pas le choix. Ils sont obligés d'acheter des vaccins hexavalents, qui outre les trois premiers, protègent aussi contre la coqueluche, l'Haemophilus influenza et l'hépatite B. Six mois plus tard, au 8 août donc, la décision du Conseil d'État n'est toujours pas respectée, entraînant une requête réclamant la condamnation de l'État.

 

Rien n'a bougé depuis, mais il y a pis : les vaccins DTP vendus en France contiennent de toute façon des sels d'aluminium. Et plusieurs des vaccins obligatoires à venir — ceux contre l'hépatite B, la coqueluche, la Haemophilus influenzae — en contiennent eux aussi, ce qui ne peut qu'augmenter les risques. Combien cette décision coûtera-t-elle au budget national, qui contient aussi la cassette de la Sécurité sociale ? Nul ne sait exactement, mais il faudra au moins compter en centaines de millions d'euros d'un argent public qui ne sera pas dépensé ailleurs. On doute que les laboratoires pharmaceutiques s'en plaignent.

 

Comment ne pas employer le mot de sidération ?

 

Et justement. Il ne s'agit pas d'accuser madame Buzyn d'avoir favorisé ces mêmes labos (C.M. ?), mais une vraie question se pose néanmoins. Est-il sain qu'une ministre de la Santé ait eu tant de liens, y compris financiers, avec l'industrie pharmaceutique ? Membre du conseil d'administration de l'Institut national du cancer (Inca) entre 2009 et 2011, madame Buzyn faisait partie en même temps du board de deux puissants labos, Novartis et Bristol-Meyers Squibb. Elle a en outre été rémunérée pour différents travaux par le laboratoire Genzyme, aujourd'hui filiale de Sanofi, entre 1998 et 2011. Comme Roselyne Bachelot en son temps. Pareillement.

 

Et pendant ce temps, Gherardi attend toujours une aumône pour enfin aller au fond des choses.

Agnès Buzyn, ministre de la Santé (2017)                                        

 

Ayant tout supporté depuis plus de vingt ans, il envisage de faire appel à nous, au vaste public qui souhaite enfin des réponses précises à une authentique question de santé publique. Cela pourrait prendre la forme d'un vaste crowdfunding, ce qui serait une première en France dans le domaine si ravagé de la recherche médicale. Pourquoi pas ?

 

Pour le reste, comment ne pas employer le mot de sidération ? Une ministre qui a été en partie payée, pendant des années, par des labos pharmaceutiques, décide sans argument majeur le passage à onze vaccins obligatoires, dont plusieurs contiennent de l'aluminium, sans que les parents aient le moindre choix. Pas de malentendu : nul n'accuse ici madame Buzyn de servir des amis. Mais la notion de conflit d'intérêts existe précisément pour couvrir la zone grise dans laquelle tant de mauvaises décisions sont prises. Or, il n'y a aucune urgence. Or, les questions posées par Gherardi sont non seulement légitimes, mais scientifiques. Comment écarter le doute avec tant de désinvolture après tant de scandales de santé publique ? Oui, le seul mot qui convient est celui de sidération.

 

Les liens de ces articles :

https://reporterre.net/Vaccins-et-aluminium-ce-danger-que-l-Etat-refuse-de-voir

https://reporterre.net/Vaccins-et-aluminium-la-recherche-interdite

https://reporterre.net/Vaccins-et-aluminium-la-loi-des-lobbies

 

Mon avis (C.M.) :

 

Il est bien entendu totalement scandaleux et bien peu courageux que nos différents ministres de la santé successifs ne financent pas des études sérieuses sur le sujet, avec les moyens nécessaires ! Quelle autre possibilité pour les citoyens que de rentrer en résistance face à un tel déni, un tel manque de considération et de respect face à ces familles et ces personnes qui souffrent des conséquences du poison que représentent ces adjuvants ? Comment peut-on raisonnablement faire vacciner ses propres enfants en ayant conscience des nombreuses pathologies neurologiques pouvant être induites par ces vaccins ? Que chacun(e) se pose la question, et prenne ses dispositions face à cette dictature médicale. Quand on pense que le marché des vaccins pourrait atteindre les 100 milliards de CA en 2025, on comprend à quel point la santé publique pèse bien peu face à cette monstrueuse entreprise cupide. Il est clair pour ma part depuis bien longtemps que nos politiques, dont c'est pourtant le devoir, ne protègent plus les citoyens, mais les intérêts des puissances industrielles. Certes, certains politiques sont de bonne volonté, mais sont écrasés par le pouvoir de l'argent.

 

 

 

 

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