Le cancer

 

               En grand majorité, le cancer intervient suite à une mauvaise alimentation, et certains

               facteurs psychiques ou environnementaux peuvent l'aggraver ou le déclencher, mais

               ce que l'on met dans son corps a bien évidemment une influence sur sa santé.

 

 

 

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En grand majorité, le cancer intervient suite à une mauvaise alimentation, et certains facteurs psychiques ou environnementaux peuvent l'aggraver ou le déclencher, mais ce que l'on met dans son corps a bien évidemment une influence sur sa santé. Ainsi, n'oublions pas qu'une alimentation saine et équilibrée, en supprimant certaines substances toxiques et cancérigènes comme les produits laitiers, le sucre blanc, l'alcool, etc., ainsi que tous les produits raffinés, dénaturés et inflammatoires, est également le passeport vers une santé retrouvée ou maintenue. Voir : Les aliments toxiques.

 

 

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La vitamine B17

Des amandes d'abricot contre le cancer ?

Le MMS

Cancer du sein et produits laitiers

 

La chimiothérapie

L'Artemisia annua

les feuilles de Graviola

 

La vitamine B17

 

J'ai trouvé cet article sur internet qui me paraît honnête et bien argumenté, et je le partage avec vous ici, avec néanmoins beaucoup de prudence, n'ayant aucune preuve directe de l'efficacité de la vitamine appelée B17.

 

Dans son article intitulé "Les charlatans au supplice", publié dans le journal britannique Observer, John Diamond a sommairement rejeté ce qui apparaît comme le plus célèbre des traitements anticancéreux naturels et éprouvés connus de l'homme : l'extrait naturel de noyau d'abricot, aussi connu sous le nom de vitamine B17. "Les adeptes du laetrile (vitamine B17) et de l'Essiac, en particulier, ont fait tant de bruit autour de leurs guérisons miraculeuses que ces deux méthodes ont fait l'objet de nombreuses recherches et se sont avérées parfaitement inefficaces".

 

Maintenant,  nous pouvons nous demander si ce ne serait pas la faute d'une âme bienveillante mais malavisée qui a envoyé à John Diamond un essai sur les bienfaits de la vitamine B17 mélangée à de l'eau de noix qui l'a poussé à rejeter si catégoriquement la vitamine B17.

 

Ou bien John faisait-il réellement confiance aux rapports de recherche conventionnels qu'il avait consultés à propos de cette vitamine ? Fait intéressant, le Dr Dean Burk, l'ancien président du Département de Cytochimie de l'Institut National du Cancer et l'un des cofondateurs de cette célèbre institution médicale américaine, avait travaillé personnellement sur la vitamine B17. Il a décrit cette substance en des termes bien différents : "Lorsque nous ajoutons du laetrile à une culture de cellules cancéreuses sous le microscope", a déclaré le Dr Burk, "à condition qu'il y ait aussi l'enzyme glucosidase, nous voyons les cellules cancéreuses mourir comme des mouches". (La glucosidase est l'enzyme figurant en grande quantité dans les cellules cancéreuses, qui déclenche le mécanisme unique de destruction du cancer que l'on trouve dans la vitamine B17. Vous trouverez une excellente analyse clinique de ce mécanisme dans 577 Metabolic Therapy - In the Prévention and Control of Cancer [La Thérapie métabolique par la vitamine B17 - Dans la prévention et la maîtrise du cancer], un bref résumé des recherches réalisées sur cette vitamine, dont de nombreuses évaluations cliniques. Le Dr Buck a en outre affirmé que des preuves de l'efficacité du laetrile avaient été observées dans au moins cinq institutions indépendantes de trois pays très éloignés les uns des autres.

 

Alors, qui devons-nous croire dans cette affaire ? Diamond ou Burk ? En regardant où Diamond a pu obtenir ses "informations" sur les recherches relatives à la vitamine B17, nous voyons apparaître plus distinctement les vilains traits de la recherche anti-cancéreuse conventionnelle.

 

C'est la faute de l'argent

 

Le cancer est un marché juteux et les déclarations sur les traitements qui  rapportent de l'argent aux compagnies pharmaceutiques et, inversement, sur ceux qui ne leur en rapportent pas ne sont jamais neutres. Le Dr Ralph Moss a été Directeur adjoint des affaires publiques dans l'institution de recherche sur le cancer la plus célèbre d'Amérique, le Mémorial Sloan Kettering à Manhattan. Il sait tout de l'industrie du cancer. Lisez ce qu'il avait à dire en avril 1994 lors d'un entretien avec Laura Lee et jugez par vous-même de la qualité des preuves contre l'efficacité de la vitamine B17 :

 

Dr Moss : "Peu de temps après avoir pris mes fonctions [à l'Institut du Cancer Sloan-Kettering], j'ai rendu visite au vieux scientifique japonais Kanematsu Sugiura, qui m'a étonné en me disant qu'il travaillait sur le laetrile (vitamine B17). À l'époque, c'était la chose la plus controversée en matière de cancer. Nous autres, aux Affaires publiques, nous faisions paraître des déclarations affirmant que le laetrile ne servait à rien, que c'était du charlatanisme et que les gens ne devaient pas abandonner les thérapies qui avaient fait leurs preuves. J'étais étonné que notre scientifique le plus émérite s'embarrasse d'une telle chose et je lui ai dit, 'Pourquoi faites-vous cela si ça ne marche pas ? Il a pris ses livres de laboratoire et m'a montré que, en réalité, le laetrile avait un effet spectaculaire pour stopper la propagation du cancer."

 

Laura Lee : "Donc, c'est un fait avéré, le laetrile peut avoir cet effet positif ?"

 

Moss : "Nous étions en train de le découvrir et pourtant nous autres, aux Affaires publiques, recevions l'ordre de publier des déclarations en  opposition totale avec ce que nous découvrions sur le plan scientifique."

 

Incapable de garder le silence sur ces informations, le Dr Moss a par la suite convoqué une conférence de presse et, devant une batterie de journalistes et de cameramen, a accusé les responsables de Sloan-Kettering d'avoir massivement tenté d'étouffer l'affaire. Il a fourni tous les documents justificatifs et cité tous les noms qu'il fallait pour attester ses dires. Le lendemain, il a été mis dehors pour"ne pas s'être acquitté de ses responsabilités professionnelles les plus fondamentales".

 

De même, dans son livre, Worid Without Cancer [Un Monde sans cancer], le chercheur de l'industrie du cancer G. Edward Griffin note: "Toutes les études sur le laetrile ont été entachées du même genre de manque d'à propos scientifique, de parti pris et de tromperie absolue... Certaines de ces études reconnaissaient ouvertement les preuves d'un effet anticancéreux mais s'empressaient d'attribuer cet effet à d'autres causes. Certaines études ne portaient que sur la toxicité, ce qui signifie qu'elles n'essayaient pas de savoir si le laetrile était efficace mais simplement de déterminer quelle dose de laetrile suffisait à tuer le patient."

 

Aujourd'hui, les "preuves" étayant l'affirmation de John Diamond selon laquelle la vitamine B17 est inutile et même dangereuse abondent dans toutes les grandes institutions sur le cancer. Et pour cause ! Nous sommes dans le temple des marchands, ne l'oubliez pas !

 

Comme le dit Pat Rattigan, auteur de The Cancer Business [Le Marché du cancer] : "La menace que représentent pour le marché du cancer les thérapies efficaces a été prise très au sérieux dès le départ. Dès les années 1940, l'agence chargée des intérêts du marché avait 300 000 noms de "charlatans" sur ses dossiers. La vitamine B17, constituant une menace unique en raison de sa simplicité, s'est attirée davantage de foudres que tous les autres traitements réunis : rapports expérimentaux frauduleux ; piquets porteurs de bannière payés à l'extérieur des cliniques ; jurys truqués ; critiques virulentes de personnes dans les journaux ; licenciement des employés hérétiques, etc. La FDA (Office de contrôle pharmaceutique et alimentaire des États-Unis), orchestrant l'attaque, a envoyé 10 000 affiches et des centaines de milliers de brochures mettant en garde contre les dangers de la toxicité de cette substance. Auparavant, un Bureau de comptabilité du Congrès avait découvert que 350 employés de la FDA détenaient des actions ou avaient refusé de déclarer des intérêts dans l'industrie pharmaceutique."

 

La  FDA publia un article sur le décès d'une petite fille de onze mois, apparemment suite à un empoisonnement au cyanure après avoir soi-disant avalé les comprimés de vitamine B17 de son père. Le Dr Harold Manner, cancérologue et ardent défenseur de la vitamine B17, reprend l'article : "Je donnais une conférence à Buffalo, à New York... après de tonitruantes déclarations de ma part, un homme s'est levé et m'a dit, Dr Manner, comment diable pouvez-vous faire de telles déclarations alors que la FDA en fait de toutes autres ? J'ai répété que les déclarations de la FDA étaient des mensonges. Il m'a répondu: regardez cette petite fille dans la partie nord de l'état de New York ; elle a pris les comprimés de laetrile de son père et en est morte, empoisonnée au cyanure. A ce moment précis, une petite femme s'est levée: "Dr Manner, laissez-moi répondre à cette question. Je pense que j'en ai le droit parce que je suis la maman de cette petite fille. Mon bébé n'a jamais touché les comprimés de laetrile de son père. Le médecin, sachant que son papa prenait du laetrile, a inscrit "empoisonnement possible au cyanure". À l'hôpital, ils ont utilisé un antidote et c'est l'antidote qui a tué mon enfant. Et pourtant ils continueront à répéter cette affirmation, même s'ils savent que c'est un mensonge."

 

Les histoires alarmistes se focalisent toujours sur les minuscules quantités de cyanure naturellement présentes dans la vitamine B17. Mais nulle part ces histoires ne mentionnent le merveilleux mécanisme gouvernant la libération de ce cyanure. Aucun mal n'est causé à la personne consommant cette vitamine (si tel était le cas, nous avons consommé un nombre suffisant d'abricots, de pommes, de pêches, de cerises, etc... contenant de la vitamine B17 pour n'être plus de ce monde depuis longtemps). Le cyanure n'est libéré que lorsque des cellules cancéreuses sont reconnues de par leur haute teneur en glucosidase. Le cyanure de la vitamine B17 attaque spécifiquement les cellules cancéreuses. En l'absence d'importantes quantités de glucosidase, il n'y aura pas de libération de cyanure.

 

Rassurez-vous, il n'existe aucune preuve indiquant que la vitamine B17 peut tuer - sauf, bien sûr si l'on se fait accidentellement écraser sous une palette d'abricots !

 

Un embarras supplémentaire pour l'orthodoxie du cancer doit certainement résider dans les recherches effectuées à L'Imperial Collège de Londres, où des chercheurs tentent de trouver des moyens d'utiliser le cyanure végétal naturel pour attaquer spécifiquement les tumeurs intestinales humaines.

 

L'idée a surgi après avoir étudié le schéma de la libération spécifique de cyanure dans l'amande et le manioc qui les protège des attaques des insectes. Une autre de ces merveilles naturelles, cherchant simplement à se faire entendre, est peut-être enfin écoutée par l'orthodoxie ?

 

A notre grand regret, en affirmant le bien-fondé de la réputation "louche "conférée à la thérapie métabolique de la vitamine B17, nous nous rendons compte qu'elle est totalement injustifiée et que, en outre, ce traitement a fait l'objet d'une attaque continuelle de la part de l'industrie conventionnelle du cancer - attaque qui a pris différentes formes au cours de ces 40 dernières années.

 

Comme indiqué plus haut, les dépenses mondiales relatives aux traitements conventionnels s'élevant à plusieurs centaines de milliards par an, un traitement anticancéreux naturel de n'importe quelle sorte fait office d'intrus malvenu. Citons de nouveau le Dr Moss, dans son entretien d'avril 1984 avec Laura Lee, cette fois-ci à propos de l'argent impliqué dans les traitements conventionnels :

 

Moss : "Près de 630 000 personnes meurent chaque année du cancer aux États-Unis et c'est vraiment une épidémie. Nous avons là une industrie incroyable. Toute personne atteinte d'un cancer et en train d'en mourir va être traitée et ces traitements sont extrêmement chers. La chimiothérapie est évaluée à des dizaines de milliers de dollars, parfois même à des centaines de milliers de dollars. Les greffes de moelle osseuse, qui représentent une autre façon de dispenser une chimiothérapie, ou les rayons peuvent s'élever à près de 150 000 dollars par personne et sont rarement efficaces. Ces traitements tuent 25 pour cent des patients."

 

Lee : "Pourquoi continuer alors ?"

 

Moss : "À cause de l'argent, car les sommes en jeu sont colossales"

 

Lorsque nous saisissons l'ampleur des sommes d'argent en jeu, nous pouvons commencer à comprendre le désir interne de maintenir un processus "de création de preuves" pour soutenir les traitements conventionnels. Les traitements et la recherche conventionnels donnent carte blanche à l'inflation. Manifestement, les parties intéressées se sont alliées dans un processus honteux de "création de preuves" anti-vitamine B17 qui, à son tour, a sûrement conduit au décès précoce et inutile de milliers de personnes. En ce qui concerne le rejet de la vitamine B17 manifesté par John Diamond, il n'a pas écrit ses commentaires en guise d'insulte délibérée. Ce n'était pas lui le menteur dans cet enchaînement d'événements. Il voulait désespérément vivre. Son simple paragraphe lu par des milliers de personnes n'a été qu'un autre exemple de la réaction en chaîne préjudiciable du discours des marchands. Leur discours sur la thérapie métabolique par la vitamine B17 a donné lieu à une grave injustice sur ce traitement, et par conséquent pour tous ceux que l'on a convaincu de penser ainsi.

 

Examinons maintenant quelques témoignages de ceux qui ont résisté à cette propagande :

 

Phillip : Phillip a 64 ans. En avril 2001, on diagnostiquait chez lui une tumeur du poumon inopérable. Le cancérologue lui montra les radiographies qui confirmaient les "ombres" tant redoutées.

 

On lui dit de rentrer chez lui, de profiter de la vie autant que possible et de mettre ses affaires en ordre. Une semaine plus tard, lors d'une conversation inopinée au travail, Phillip entendit parler de la vitamine B17. Phillip commença immédiatement à prendre un mélange de vitamine B17 et de vitamine C. Quatre mois plus tard, Phillip retourna à l'hôpital pour un bilan, où l'on prit une nouvelle série de radios.

 

Les ombres avaient entièrement disparu. Phillip explique : "Je sais ce que j'ai vu et le docteur ne pouvait pas l'expliquer. Je poursuis mon régime à base de vitamine B17 et je mange une dizaine de noyaux par jour." Phillip accorde désormais une très grande attention à son alimentation et pense que ce que nous faisons absorber à notre corps peut avoir une incidence spectaculaire sur le plan thérapeutique.

 

L'importance de la nutrition :

 

Citons encore une fois John Diamond, à propos d'un "dingue" qui parlait d'un régime magique : "Un jour, j'attendais mon tour pour les rayons et j'ai parlé du ridicule d'un régime sur lequel j'avais lu des choses. La radiologue était d'accord avec moi et m'a raconté que lorsqu'elle avait commencé à travailler à l'hôpital il y avait un "dingue" qui, ayant refusé les rayons, venait et se répandait en injures contre ceux qui se trouvaient dans la salle d'attente des rayons, leur disant qu'ils devraient abandonner les rayons et suivre son régime magique.

 

"Criminel", ai-je dit. "Vous l'avez mis dehors, bien sûr ?" Eh bien, "oui" a-t-elle répondu, "nous l'avons mis dehors régulièrement. Le seul truc, c'est qu'il a bel et bien survécu pendant des années et que son cancer a bel et bien disparu.

 

Ce qui tend seulement à prouver... eh bien pas grand-chose, en réalité, mais j'ai pensé que je devais en parier au nom du fair-play".

 

Maintenant, si ce "dingue" n'était qu'un cas isolé de guérison grâce à l'alimentation, sa guérison ne constituait bien sûr pas une preuve. Mais avec la thérapie métabolique par la vitamine B17, nous observons des résultats formidables jour après jour. Continuons au nom du fair-play...

 

William : On a diagnostiqué chez William une tumeur à l'œsophage. Il ne pouvait plus absorber que de la nourriture liquide. Il avait lu un article sur la vitamine B17 un an auparavant et l'avait conservé.

 

William commença à prendre de la vitamine B17 peu de temps après le diagnostic. Au bout de trois semaines, il avalait bien plus facilement la nourriture et au bout d'environ sept semaines son médecin lui dit que s'il pouvait mieux avaler la nourriture c'était tout simplement parce que la tumeur diminuait.

 

William explique : "L'opération destinée à enlever la tumeur a été annulée et j'attends encore les résultats du dernier examen. Je me porte comme un charme. Je fais attention à ce que je mange et je remercie vraiment Dieu d'avoir créé la vitamine B 17. Il est temps que le NHS [Département national de santé] reconnaisse cette vitamine comme une alternative aux traitements conventionnels. Je pense que de l'argent dépensé pour de la vitamine B17 est de l'argent bien dépensé."

 

Que mangeons-nous ?

 

Il est intéressant de noter qu'il existe aujourd'hui des peuples chez qui le cancer est inexistant. Les Abkhasiens, les Azerbaïdjanais, les Hunzukut, les Esquimaux et les habitants du Karakorum s'alimentent tous de produits riches en nitriloside ou vitamine B17. Leur alimentation se compose de sarrasin, de pois, de fèves, de germes de luzerne, de navets, de laitue, de repousses de légumes secs ou de graines, d'abricots et de leurs graines et de diverses baies. Leur alimentation peut leur apporter jusqu'à 250-3 000 mg de nitroloside par jour. Le père fondateur des recherches sur la vitamine B17, Emst T. Krebs J.-R., a étudié les habitudes alimentaires de ces tribus. Krebs a déclaré : "En examinant l'alimentation de ces peuples, nous avons découvert que le noyau d'abricot était considéré comme un mets raffiné et que chacune des parties de l'abricot était utilisée."

 

L'alimentation occidentale moyenne, avec ses aliments raffinés et sans fibres, apporte moins de 2 mg de nitriloside par jour. On a en outre noté que les indigènes de ces tribus qui s'installaient dans des zones "civilisées "et modifiaient leur alimentation en conséquence étaient susceptibles d'être atteints de cancer, à un taux similaire au taux occidental habituel.

 

Les bonnes substances :

 

Dans son livre, Préface to Cancer : Nature, Cause and Cure [Préface au cancer : nature, cause et guérison], le Dr Alexander Berglas déclare à propos du taux de cancer : "La civilisation est, en termes de cancer, un mastodonte que l'on ne peut pas arrêter... C'est la nature et l'essence de la civilisation industrialisée d'être toxique dans tous ses aspects... Nous sommes confrontés à une lugubre perspective où l'avancée du cancer et de la civilisation vont de pair. "Le corps humain a une faculté étonnante de récupération, si nous prenons correctement soin de lui et si nous lui fournissons les substances adéquates à une réparation. Travailler avec des traitements non toxiques et physiologiquement favorables ne peut que jouer en notre faveur. Il suffit de regarder les effets secondaires de la vitamine B17 tels que les décrit G. Edward Griffin dans Worid Without Cancer [Un monde sans cancer] : Les effets secondaires de la vitamine B17 incluent un plus gros appétit, une prise de poids, une baisse de la tension, une hausse de l'hémoglobine, un nombre plus élevé de globules rouges, la disparition ou une nette diminution des douleurs sans narcotiques. Par ailleurs, la vitamine B17 renforce la résistance du corps à d'autres maladies. C'est une substance naturelle présente dans les aliments, elle est compatible avec l'expérience biologique humaine et détruit les cellules cancéreuses tout en nourrissant les cellules non cancéreuses"

 

Comparez cela aux effets secondaires de la chimiothérapie et des rayons : vertiges, dépigmentation de la peau, nausées, diarrhées, chute des cheveux, perte de l'appétit, dysfonctionnements organiques, hémorragies internes, etc..

 

Combien de temps faudra-t-il attendre avant que nous jetions sur ces traitements le même regard rétrospectif que celui que nous jetons aujourd'hui sur les saignées et les infusions à l'ammoniaque infligées au roi Charles II ?

 

Même si l'ablation chirurgicale des tissus cancéreux peut souvent sauver la vie, pourrait-il y avoir un traitement plus inhumain au XXIe siècle que la thérapie anticancéreuse conventionnelle ?

 

Flora : On a diagnostiqué chez Flora un cancer de l'intestin en phase 4 en 1999. "Avant l'opération, on m'a fait une chimiothérapie, qui a été dévastatrice. A la fin de la séance, je tenais à peine debout. Ensuite, on m'a enlevé la tumeur de l'intestin. On m'a dit que le cancer avait gagné le foie. On m'a proposé une nouvelle chimiothérapie mais j'ai refusé. Je suis allée au Middiesex Hospital où j'ai reçu cinq séances de laser pour essayer de contenir le cancer du foie, suivie d'une autre chimiothérapie. Après avoir tenté cinq fois de contenir le cancer, ils m'ont dit qu'il grossissait de nouveau. J'ai alors entamé un régime biologique et suis allée à la Dove Clinic pour un traitement intensif à la vitamine C enrichie d'autres suppléments. C'est là-bas que j'ai entendu parler de la vitamine B17. Je l'ai ajoutée à mon régime. Au bout d'un certain temps, mon cancer du foie a complètement disparu. On est maintenant en février 2002 et cela fait un an que je suis débarrassée du cancer. Je poursuis mon régime biologique et je mange environ 50 noyaux d'abricot par jour. J'ai 64 ans, j'ai repris le travail et je me sens bien. De tels traitements devraient au moins être portés à la connaissance des patients par le NHS." II y a littéralement des milliers de personnes qui peuvent témoigner des vertus pharmacologiques et salvatrices de la vitamine B 17 et du régime nutritionnel qui l'accompagne. Et l'on peut dire de même de la vitamine C.

 

La vitamine C :

 

Les bienfaits généraux de la vitamine C pour la physiologie humaine sont connus et utilisés depuis des siècles. En ce qui concerne ses vertus dans le traitement et la prévention du cancer, lisons les déclarations de Philip Day : "Le Dr Linus Pauling, souvent connu sous le nom de Père de la vitamine C et deux fois lauréat du Prix Nobel, a déclaré que consommer jusqu'à dix grammes par jour de vitamine C facilitait l'activité anticancéreuse à l'intérieur du corps... Pauling a été grandement critiqué pour avoir fait ces déclarations mais, aujourd'hui, d'importantes doses de vitamine C sont utilisées par bon nombre de praticiens dans la thérapie nutritionnelle des patients atteints de cancer. Praticiens qui pensent que Pauling avait raison et que ce nutriment populaire est indispensable au corps dans sa lutte contre le cancer."

 

La vitamine C peut protéger du cancer du sein. Après avoir examiné 90 études sur la relation entre la vitamine C et le cancer, Gladys Block, titulaire d'une maîtrise de Médecine, de l'Université de Californie à Berkeley, a conclu : "II y a un nombre impressionnant de preuves de l'effet protecteur de la vitamine C et d'autres antioxydants contre le cancer du sein."

 

Et Geoffroy R. Howe, de l'Institut National du Cancer du Canada, a examiné 12 études comparatives contrôlées sur l'alimentation et le cancer du sein et a noté que la vitamine C avait la relation significative la plus cohérente statistiquement avec une réduction du risque de cancer du sein

 

A propos de l'importance des compléments de minéraux et de vitamines, un récent article publié en première page du New York Times citait le Dr Geoffroy P. Oakiey J.-R., du Centre d'Atlanta pour la prévention et la maîtrise des maladies : "Nous, les médecins, avons fait l'erreur pendant très longtemps de ne pas recommander des suppléments vitaminés à nos patients. Nous devons juste admettre cela, sur ce point, nous avions tort." Que le lecteur sache bien que les récentes tactiques alarmistes entourant la vitamine C et ses liens supposés avec le cancer ne sont qu'une autre de ces campagnes de diffamation orchestrées par les marchands. En clair, toute bonne nouvelle sur la vitamine C représente une nouvelle menace pour les revenus considérables que l'industrie pharmaceutique tire des traitements conventionnels.

 

Hazel : C'est pratiquement une condamnation à mort qu'a prononcé le cancérologue d'Hazel lorsqu'il lui a dit que, bien qu'il y ait un taux de guérison de 86% pour le type de cancer du sein dont elle souffrait, elle se trouvait malheureusement dans la plus petite catégorie. Comme expliqué précédemment, la chimiothérapie d'Hazel ne faisait que lui donner la sensation de se sentir terriblement mal et elle a décidé que, si elle devait mourir, alors elle mourrait sans autre thérapie conventionnelle. Elle a commencé un régime à base de vitamine C et de suppléments, parmi lesquels de la vitamine B17, administrés par voie intraveineuse et a fait très attention à son alimentation. Elle a rapidement commencé à se sentir beaucoup mieux. Elle a retrouvé son poids normal, ses cheveux et son appétit. Environ neuf mois après le diagnostic, elle a ressenti des douleurs dans le bas du dos et a consulté son médecin. Il lui a proposé un examen complémentaire, pensant que ses douleurs venaient peut-être du fait que son cancer avait gagné la base de sa colonne vertébrale. Hazel a dit qu'elle se refusait absolument à tout examen ou à toute nouvelle chimiothérapie, pratiques qui, selon elle, pouvaient elles-mêmes déclencher une activité cancérigène. Hazel décida plutôt d'enrichir son régime à base de vitamine C avec une série de noyaux pleins de vitamine B17. Elle maintint en outre une alimentation raisonnable et ne revint pas voir son cancérologue.

 

L'hémogramme réalisé par son généraliste avant Noël était normal. Elle se sent en bonne santé et est en train d'écrire un livre sur ses expériences. Elle sent profondément que les gens ont besoin de savoir qu'il existe des traitements anticancéreux alternatifs disponibles et elle fait des exposés à des groupes sur ce sujet.

 

Besoin d'informations et d'éducation :

 

Enfin,  laissons s'exprimer le Dr Nicola Hembry de la Dove Clinic, spécialisé dans l'approche non conventionnelle des soins et traitements anticancéreux : "Les traitements nutritionnels tels que ceux impliquant de fortes doses de vitamines C et B17 [laetrile] sont connus depuis des  années et il y a beaucoup de témoignages heureux de patients assez chanceux pour les avoir suivis et en avoir tiré profit. Les recherches montrent que des taux de 400 mg/dL de vitamine C dans le sang peuvent tuer les cellules cancéreuses via un mécanisme pro-oxydant et il y a une grande quantité de données montrant que la vitamine B17 est préférentiellement toxique pour les cellules cancéreuses".

 

"Le problème est qu'il n'y a pas beaucoup de données relatives à des essais aléatoires bien conçus pour l'usage de ces substances et, par conséquent, la médecine conventionnelle les rejette sans même prendre en compte les preuves ni demander pourquoi ces essais n'ont pas été réalisés. Il faut dire que l'une des raisons est un manque de motivation financière parce que ces substances ne peuvent pas être brevetées."

 

"Malheureusement, les perdants sont les patients atteints d'un cancer. Ne pas même avoir le choix de ces traitements plus naturels, moins dangereux, même lorsqu'un cancer est jugé incurable et que seule une chimiothérapie ou une radiothérapie palliatives sont proposées, est à mes yeux totalement inacceptable. J'ai vu beaucoup de patients présenter une durée de vie accrue et une meilleure qualité de vie avec une approche intégrée et certains sont parvenus à connaître une rémission complète de leur maladie, même lorsque leur cancérologue avait jugé leur cancer incurable."

 

Traiter le cancer ne se résume pas à se procurer de la vitamine B17 aussi rapidement que possible. Nous avons besoin d'être éduqués sur tout un ensemble de questions. Le livre de Philip Day, Cancer: Why We're Still Dying To Know The Truth [Cancer : pourquoi il faut encore mourir pour connaître la vérité], a été écrit dans un style simple et agréable, dans le but spécifique d'informer le grand public sur toutes les questions clés relatives aux traitements anticancéreux naturels.

 

C'est une lecture nécessaire et fascinante. Pour les lecteurs souhaitant en savoir plus sur les questions soulevées dans cet article, il suffit de cliquer sur les titres suivants disponibles auprès de Credence Publications sur le site Internet  http://www.credence.org :

 

> Cancer: Why We're Still Dying To Know The Truth [Cancer : pourquoi il faut encore mourir pour connaître la vérité] - Un compte-rendu concis sur l'industrie du cancer et sur les bonnes nouvelles relatives à la thérapie métabolique par la vitamine B17.

 

> Vitamine B17 Metabolic Therapy : A Clinical Guide [La Thérapie métabolique par la vitamine B17 : guide clinique] - Un compte-rendu clinique de la vitamine B17, détaillant les recherches de référence sur l'une des vitamines les plus vitales dans la lutte contre le cancer.

 

> Food For Thought [Des idées de repas] - De délicieuses recettes destinées à favoriser la santé. Une contribution vitale pour la prévention et la guérison du cancer.

 

Remarques finales :

 

Pendant tout le temps où j'ai écrit cet article, j'ai été parfaitement conscient de trois choses :

 

> Premièrement, j'ai été conscient de ma fragile condition de mortel et du fait que ce n'est que par la grâce de Dieu que je n'ai pas eu à faire face personnellement à un diagnostic de cancer. Je sais que, pour beaucoup, les informations contenues dans "Mort sur ordonnance" susciteront de la tristesse ainsi que de la colère. Mais je pense également que cet article apporte beaucoup d'espoir.

 

> Deuxièmement, la thérapie métabolique par la vitamine B 17 et la vitamine C n'est qu'une partie d'une série bien plus large de traitements qui se sont avérés efficaces pour traiter le cancer.

 

> Ces traitements, ainsi que d'autres traitements sensés, sont expliqués plus en détail dans les titres de référence mentionnés ci-dessous.

 

Troisièmement, je suis conscient du fait que certains éléments des pratiques médicales conventionnelles sauvent et améliorent des vies chaque jour, en particulier certaines méthodes de diagnostic de cancer précoce ainsi que la médecine d'urgence. Que les bonnes choses continuent et que les mauvaises fassent l'objet d'une totale révision. Enfin, je regrette vraiment de ne pas avoir eu l'occasion de rencontrer John Diamond parce que je pense que nous nous serions entendus à merveille. Et qui sait ce qui aurait pu en résulter ?

 

Source : http://www.drdesforges.com/smartsection+item.itemid+27.htm

Vidéo : http://www.dailymotion.com/video/x5s730

 

Voir aussi :

http://www.encyclogoji.com/content/chapitre-4-les-secrets-les-mieux-gardés-du-goji-le-germanium-et-la-vitamine-b17

http://www.chiropratiquesante.com/articlejuillet08apricotvitb17.htm

 

Autre informations sur la B17 trouvé sur internet :

 

Les Hunzas, un peuple du Pakistan vivent vieux et en santé et n'ont pratiquement pas de cancer. Ils mangent entre autre des abricots et ouvrent la noix pour en déguster la semence. Cette graine d'abricot contient de la vitamine B17 connue comme faisant partie des vitamines anti-cancéreuses. Certains chercheurs ont découvert qu'une déficience de la vitamine B17 causerait le cancer et l'anémie falciforme (sickle cell anemia). Cette vitamine détruirait les cellules cancéreuses sans affecter les cellules en santé, devenant ainsi une chimiothérapie naturelle. Si cette vitamine était  développée, le cancer qui touchera bientôt une personne sur deux, ne serait pas un problème !

 

Cette vitamine découverte en 1830 n'a jamais été reconnue par le FDA (foor and drug administration), un organisme similaire à Santé Canada qui échangent souvent les informations. C'est pourquoi cette vitamine n'est pas populaire. De plus, son goût est amer et la plupart des gens n'apprécient pas ce goût. Les végétariens sont souvent informés de prendre suffisamment de vitamine B12, car elle est absente dans les plantes. Par contre, l'être humain peut produire sa propre vitamine B12 à partir de la vitamine B17.

 

La nourriture riche en vitamine B17 inclue: l'orge, l'amande (celle qui est amère et non sucrée), le cassava natal, le pois chiche (haricot de garbanzo), l'herbe ( blé et plusieurs autres), la lentille, l'huile de lin, le maïs, le millet, le sorgho et les graines de plusieurs fruits (pomme, abricot, prune, cerise, nectarine, pêche). Cette nutrition santé a presque disparu du menu moderne de la population. Près de 1200 plantes contiennent cette vitamine B17 et plusieurs produits naturels de guérison du cancer peuvent être riches de cette vitamine. Pour aider à prévenir le cancer, manger quelques graines d'amande "amère" ou d'abricot tous les jours.

 

Il faut aussi s'assurer d'avoir assez de zinc, sinon la vitamine B17 ne sera pas absorbée. De plus, les résultats seront plus efficaces si cette vitamine est prise avec d'autres nutriments tel que la vitamine C, les autres vitamines B, la vitamine A, le manganèse, le magnésium et le sélénium. La plupart des professionnels de la santé qui prescrivent cette vitamine, le feront de concert avec un programme axé sur une diète plus équilibrée, un complexe vitaminique, des minéraux, des enzymes et des acides gras essentiels.

 

 

 

 

Des amandes d'abricot contre le cancer ?

 

Article de Michel Dogna :

 

Dans le début des années 1950, le Dr. Ernst T. Krebs, Sr. et son fils le Dr E.T. Krebs, apprirent qu'au royaume des Hunzas, dans les montagnes himalayennes situées au nord du Pakistan, il y avait un peuple qui vivait apparemment «sans cancer». Cette particularité du peuple des Hunzas interpella beaucoup de chercheurs et différentes hypothèses ont été émises depuis. Certains se sont orientés vers l'eau qu'ils buvaient, mais les Docteurs Krebs s'orientèrent vers une autre piste, les abricots dont ils étaient friands.

 

Dans les années 1940, le Dr. Ernst T. Krebs, Sr. et son fils le Dr E.T. Krebs, Jr. ont publié un document intitulé «La Thèse Unitaire ou Trophoblaste du Cancer», dans le Medical Record, de New York. Dans les années qui ont suivi, l'équipe père et fils firent des recherches sur les co-enzymes et sur la possibilité que le cancer pourrait résulter de carences, particulièrement en vitamines.

 

Les Hunzas mangeaient de grandes quantités d'abricots, mais ils ne croyaient pas que le fruit contenait des substances pouvant lutter contre le cancer... jusqu'à ce qu'ils aient découvert que les Hunzakuts mangeaient également les amandes des noyaux d'abricots ; leur particularité : on sait que ces amandes sont très riches en nitrilosides. En outre, on les trouve aussi dans les amandes (d'amandiers), graines de pêches, pépins de pommes (pectine), millet, fèves germées, sarrasin, et aussi dans d'autres fruits et noix, mais en quantité inférieure. (Note pour les amandes d'abricots : seuls les abricots producteurs d'amandes amères sont efficaces.)

 

Les Dr. Krebs ont ensuite défini que le principe actif des nitrolosides était précisément dans certains glycosides qu'ils réussirent à extraire. Finalement, ils ont effectué une demande de brevet pour le procédé de production du métabolite formé par ces glycosides qu'ils baptisèrent du nom de Laetrile, en vue d'une utilisation clinique. Ce Laetrile fut ensuite catalogué Vitamine B17.

 

Des noyaux d'abricot tout simplement :

 

Il s'est avéré que les Hunzakuts consomment entre 100 à 200 fois plus de B17 que l'Américain moyen, en raison principalement du fait qu'ils consomment des amandes de noyaux d'abricots, et aussi beaucoup de millet. Fait intéressant, là-bas, la richesse d'un homme se mesure par le nombre d'abricotiers qu'il détient. La nourriture la plus convoitée est la semence contenue dans les noyaux d'abricot, l'une des plus importantes sources de B17 sur la Terre. L'une des premières équipes médicales chargée d'étudier les Hunza était dirigée par le chirurgien britannique de renommée mondiale, le Dr. Robert McCarrison. Écrivant dans le Journal AMA, du 7 janvier 1922, il indiqua : «Les Hunza n'ont pas d'incidence connue avec le cancer. Ils bénéficient d'une abondante récolte d'abricots. Ils les sèchent sous le soleil, et les utilisent en grande partie dans leur alimentation».

 

Le cyanure... Voilà pourquoi on n'a pas entendu parler de la vitamine B17 :

 

Cela semble si simple ! La vérité sur cette question, c'est que l'Industrie du Cancer a supprimé cette information et a même ordonné le fait qu'il soit illégal de vendre la B17. La Mafia médicale a monté avec grand succès des campagnes effrayantes, basées sur le fait que la vitamine B17 contient des quantités «meurtrières» de cyanure, alors que c'est faux !

 

Voici pourquoi : chaque molécule de vitamine B17 contient une unité de cyanure d'hydrogène, une unité de benzaldéhyde, et deux unités de glucose qui sont verrouillées ensemble et forment une synergie inoffensive comme cela se passe souvent dans les produits naturels.

 

Pour que le cyanure d'hydrogène devienne dangereux, il faut le déverrouiller de la molécule B17 ; or ceci ne peut être effectué que par une enzyme appelée beta-glucosidase, qui est présente partout dans le corps humain en quantités infimes, mais par contre que l'on trouve en grande quantité dans les cellules cancéreuses. Tiens, tiens...Très intéressant !

 

Le résultat est d'autant plus dévastateur pour les cellules cancéreuses que les unités benzaldéhyde se déverrouillent en même temps ; or le benzaldéhyde qui est déjà un poison mortel en lui-même, quand il fait équipe avec le cyanure, devient 100 fois plus mortel. Les cellules cancéreuses sont littéralement désintégrées !

 

Est-ce sans danger pour les cellules saines ?

 

Il faut savoir que dans les tissus sains, une autre enzyme, le rhodanèse, présente en quantités beaucoup plus importantes que l'enzyme de déverrouillage, la beta-glucosidase, a la capacité de dégrader entièrement à la fois le cyanure et le benzaldéhyde, en thiocyanate (une substance inoffensive), et en salicylate (qui est un antidouleur de la famille de l'aspirine). Fait intéressant, les cellules cancéreuses malignes ne contiennent pas de rhodanèse, ce qui les laisse complètement à la merci des deux poisons mortels. Tout ce processus est connu sous le nom de toxicité sélective, puisque seules les cellules cancéreuses sont spécifiquement ciblées et détruites.

 

Les centaines d'études cliniques menées par de nombreux médecins compétents dans le monde entier, y compris celles qui sont dirigées par le Dr. Ernesto Contreras à l'Oasis of Hope Hospital au Mexique, nous donnent toute confiance, que le traitement avec la thérapie B17 ne présente aucun danger pour les cellules normales (ce qui est loin d'être le cas de la chimio). Çà, c'est une très mauvaise nouvelle pour l'Industrie du Cancer. Les graines d'abricots sont à la portée de n'importe quel porte-monnaie, au regard des prix exorbitants des cocktails médicamenteux agressifs de la chimiothérapie.

 

L'histoire de Jason Vale :

 

Dans les années 90, l'Américain Jason Vale s'est retrouvé avec un cancer en phase terminale. Il était considéré comme irrécupérable par les médecins. Grâce à des recherches personnelles, il a appris que les gens qui avaient eu un cancer avaient pu guérir grâce à la vitamine B17 des pépins de pommes (pectine) et des amandes de noyaux d'abricots. Sans attendre il a commencé à en consommer dans le cadre de son régime alimentaire quotidien et s'est rapidement senti mieux. Dans un court laps de temps, le cancer de Jason a complètement disparu.

 

Lorsque l'histoire extraordinaire de Jason fut diffusée à la télévision nationale, cela à provoqué une audience si grande que le même reportage a été diffusé une deuxième fois, la semaine suivante. L'enthousiasme des spectateurs fut tel que Jason se retrouva inondé d'appels téléphoniques, provenant de personnes résidant dans tout le pays. Au cours des années suivantes, Jason a aidé des milliers de gens à traiter avec succès leur cancer en consommant des amandes de noyaux d'abricot.

 

C'est alors que Jason fut victime d'une opération coup de poing, décidée par la FDA : il fut condamné le 18 juin 2004, à 63 mois de prison et 3 ans de liberté surveillée, par un tribunal du District Est de New York. Son crime ? La vente d'amandes d'abricot sur son site web, et de dire aux gens la vérité sur leurs propriétés curatives. On ne joue pas avec la mafia du médicament !!! Après avoir purgé près de quatre ans de prison, Jason a été libéré de la maison d'arrêt début 2008.

 

Extrait des témoignages adressés à Jason :

 

Je n'ai sélectionné ici que quelques témoignages très récents. Il y a des quantités d'autres témoignages sur le site de Jason (www.apricotsfromgod.info). Malheureusement c'est en anglais avec option automatique de traduction charabia...

 

5 octobre 2014, Laine Crandall : « Il y a deux ans j'ai été diagnostiqué stade 4 d'un cancer de la prostate et des os. Six mois après j'ai été diagnostiqué en rémission. Mon PSA était passé de 128 à 0,2. Je n'ai pas eu de chimio ni de radiothérapie, j'ai seulement pris des amandes amères d'abricot. Je continue à en manger 12 par jour et je continuerai à le faire. J'ai 74 ans. Je parle constamment de vos graines d'abricot aux autres et je leur donne une carte que j'ai imprimée avec votre site web, numéro de téléphone». <kalamalka@msn.com>

 

Septembre 2014 : Jason Browning avait un gliome kystique. Il était toujours là après la chimio et la radiothérapie. Jason a commencé à prendre les graines d'abricot ; la tumeur rétréci et finalement disparu. En plus, il a pu arrêter son médicament contre l'hypertension artérielle. <browning38821@yahoo.com>.

 

28 avril 2014 : Jeffery Moore qui a été diagnostiqué avec le cancer de la prostate il y a trois ans m'a appelé pour me dire que son PSA était passé de 12 à 8 ; mais surtout son cancer du nez qui avait été diagnostiqué l'année dernière par une biopsie, est apparu résolu à la dernière biopsie. Il mange les graines d'abricot, prend de l'herbe de blé, et du curcuma - il a aussi supprimé complètement le sucre.<j_mooare@yahoo.com>

 

13 avril 2014 : La chienne Labrador de Diane Duhaime avait été diagnostiquée avec le cancer de la mamelle l'an dernier à l'âge de 10 ans et opérée. Diane lui a immédiatement donné 6 graines d'abricot matin et soir. Aujourd'hui, un an plus tard, la chienne va bien, et signe important, son poil est plus beau que jamais.

 

Réflexions et conclusions :

 

Il est évident que concernant le cancer, cette cure est beaucoup moins compliquée que la cure Gerson ou Breuss. En revanche, on peut remarquer que la maladie risque de redémarrer si l'on arrête les amandes amères d'abricot, ce qui signifie que l'on n'a pas traité le problème à fond.

 

Dans la cure Gerson, il est bien expliqué que la cause première des maladies est l'intoxication massive, et que la désintoxication cellulaire est la priorité absolue qui bien souvent suffit à débloquer les processus de guérison.

 

La logique du raisonnable est donc d'associer les deux protocoles, ce qui ne peut qu'accélérer le retour à la santé. D'ailleurs, on peut constater dans les témoignages que beaucoup ont modifié leur alimentation en supprimant radicalement les produits laitiers, la viande et le sucre.

 

Il paraît un peu surprenant que certains malades prennent à la fois des amandes amères et du laetrile (vit B 17). Et pourquoi pas simplement augmenter les doses d'amande ? Car on sait que les mélanges naturels présentent un équilibre synergique rarement agressif pour l'organisme, ce qui n'est pas le cas des molécules isolées – d'autant plus si elles sont de synthèse.

 

La posologie :

 

En préventif au long cours : 3 amandes pulvérisées au petit-déjeuner.

 

En curatif : 8 amandes pulvérisées matin et soir. Attention ! La dose est forte et certaines personnes pourraient ne pas la supporter, notamment les personnes dont le foie, très engorgé, pourrait ne pas supporter le supplément de déchets cellulaires généré par les amandes. Ceci concerne en particulier les personnes atteintes de cancers avancés dont le foie est surchargé par le traitement allopathique. Dans ce cas, il faut commencer par un solide drainage préventif avec du Desmodium (en cure de trois semaines à démarrer après les traitements chimiques).

 

Remarque : il peut être intéressant d'associer à la cure d'amandes un booster universel tel que le jus d'herbe d'orge.

 

Reste le problème de l'approvisionnement en amandes amères. Il y a le choix entre différents sites de vente dont les prix se tiennent de près. Certains proposent les amandes amères en poudre ; je ne sens pas bien cette version car je crains une oxydation accélérée risquant d'altérer l'efficacité du produit. Il est facile de pulvériser les amandes soi-même avec un petit blender ou un ancien moulin à café électrique.

 

Nous avons retenu une adresse nous paraissant sérieuse et sympathique : Santé Bio Europe qui commercialise des paquets de 1 kg d'amandes bio pour 25 € environ (port compris).

 

Attention : Les conseils prodigués dans cet article ne vous dispensent pas de consulter un praticien des médecines alternatives. Vous pourrez en trouver un près de chez vous et prendre rendez-vous sur annuaire-therapeutes.com

 

Questions :

 

Q. Pourquoi pulvériser les amandes ? Ne suffit-il pas de bien les mâcher ?

R. C'est moins bien de les mâcher, mais ça fonctionne quand même.

 

Q. Pour une cure, faut-il mieux prendre les amandes amères au cours ou entre les repas ?

R. Le mieux c'est entre les repas, mais soyez vigilant sur votre réaction.

 

Voir les autres questions à la fin de l'article du site :

http://www.alternativesante.fr/cancer/des-amandes-d-abricot-contre-le-cancer#.Vi_TykBIugA.facebook

 

 

 

 

Le MMS

 

Une autre méthode pour aider à guérir le cancer :

 

(Pas de témoignages de personnes dans mon entourage qui ont testé le MMS, donc merci de garder le recul nécessaire.)

 

Cette méthode a été découverte par Jim Humble, sur l'efficacité du bioxyde de chlore sur la plupart des maladies humaines, mêmes dites incurables.

 

> Cliquez ici pour lire le premier livre.

> Cliquez ici pour lire le second livre.

 

Les liens :

 

http://lemineralmiracle.com/

http://mmsfrancais.com/

 

http://jimhumble.biz/  (en anglais)

 

 

 

 

Le cancer du sein et les produits laitiers

 

Professeur Jane Plant, PhD, CBE : «Guérir le cancer du sein en éliminant les produits laitiers». L'original de l'article « Cure breast cancer by avoiding all milk products » fut publié dans le journal Daily Mail, le 27 mai 2000. Jane Plant : «Pourquoi je crois que la clé de la victoire contre le cancer du sein se trouve dans l'abandon des produits laitiers.» (Traduction par Claude Simon, nutritionniste et patricien Shiatsu.)

 

Le Professeur Jane Plant est une épouse, une mère, et un savant partout respecté, qui a été décorée de la médaille de Commandeur de l'Empire Britannique (CBE) pour ses travaux dans le domaine de la géochimie. Lorsqu'elle fut atteinte d'un cancer du sein en 1987 à l'âge de 42 ans, sa vie heureuse et productive semblait vouée à la désintégration.

 

Mais en dépit de quatre rechutes, Jane refusa toujours d'abandonner. Comme elle le décrit dans un nouveau livre plein d'espoir, Votre Vie entre vos Mains, publié dans le Daily Mail cette semaine, elle a conçu un régime et un style de vie révolutionnaires qui d'après elle lui ont sauvé la vie, et peuvent éviter à d'autres femmes de tomber dans les affres de la maladie.

 

Sa théorie reste controversée, mais toutes les femmes devraient lire son livre et se faire sa propre opinion.

 

Elle nous explique son histoire personnelle :

 

Je n'avais pas le choix : soit je mourais, soit j'essayais de trouver un moyen de guérir. Je suis une scientifique : il devait sûrement y avoir une explication rationnelle à cette maladie cruelle qui frappe une femme sur 12 au Royaume-Uni.

 

J'avais déjà perdu un sein et subi un traitement de rayons. J'étais alors traitée par chimiothérapie, très douloureuse, et j'avais consulté les plus éminents spécialistes du pays. Mais au fond de moi-même, je savais que j'étais en train de mourir.

 

J'avais un mari qui m'aimait, une belle maison et deux jeunes enfants à m'occuper. J'avais désespérément envie de vivre. Heureusement, ce désir me donna la force d'aller découvrir des faits qui, pour certains, n'étaient connus à l'époque que d'une poignée d'experts.

 

Tous ceux qui ont été en contact avec la maladie savent que certains facteurs de risque sont incontrôlables, comme l'âge, une puberté précoce, une ménopause tardive, et des antécédents dans la famille. Mais beaucoup d'autres facteurs de risque peuvent être facilement contrôlés. Le contrôle de ces facteurs de risque peut se traduire concrètement en changeant de simples habitudes quotidiennes pour nous aider à éviter, ou guérir, le cancer du sein. Ce que je veux dire c'est que même un cancer du sein très avancé peut être vaincu parce que je l'ai fait. La première clé pour comprendre ce qui favorisait mon cancer est venue au retour de mon mari Peter, qui était également un scientifique, d'un voyage d'études en Chine, alors que j'entamais une chimiothérapie.

 

Il m'avait rapporté des cartes et des lettres, et aussi d'étonnants suppositoires à base de plantes, envoyés par mes amis et confrères de Chine.

 

Les suppositoires étaient un remède contre le cancer du sein. Malgré l'horreur de la situation, nous avons bien ri lorsque j'ai dit que si c'était le remède pour le cancer du sein en Chine, pas étonnant si les chinoises évitent de l'attraper ! Et ces mots ont résonné dans ma tête. Pourquoi est-ce que les chinoises ne souffrent pas du cancer du sein ? J'avais un temps travaillé avec des collègues chinois à une étude des relations entre la maladie et la chimie du sol, et je me souvenais de quelques chiffres.

 

La maladie est pratiquement inexistante dans toute la Chine. En Chine, seulement une femme sur 10 000 meurt d'un cancer du sein, comparé à une sur 12 en Grande-Bretagne et une sur 10 en moyenne dans les pays occidentaux ! Ce n'est pas seulement une question de ruralité, avec moins de pollution. Dans la grande ville de Hong-Kong, le taux monte à 34 pour 10 000 mais reste loin du triste record de l'occident.

 

Les villes japonaises de Hiroshima et Nagasaki montrent des taux similaires, malgré les attaques subies par armes nucléaires. On aurait pu s'attendre à trouver des conséquences de cette pollution radioactive en plus des cancers liés à la pollution urbaine. La conclusion de ces statistiques nous a frappé brutalement. Si une femme occidentale allait vivre dans la ville industrielle et irradiée d'Hiroshima, elle diviserait par deux son risque de contracter un cancer du sein.

 

C'est évidemment absurde. Il me sembla évident qu'un facteur de style de vie, sans lien avec la pollution, l'urbanisation ou l'environnement, augmente beaucoup le risque pour les femmes d'occident de contracter un cancer du sein.

 

J'ai ensuite découvert que la raison des énormes différences du taux de cancer du sein entre les femmes d'extrême orient et celles de l'occident n'est pas d'origine génétique. Plusieurs études scientifiques ont montré que lorsque les chinois ou les japonais viennent vivre en occident, au bout d'une ou deux générations, la fréquence des cancers du sein se rapproche de celle de leur communauté d'adoption.

 

Même chose lorsque les orientaux adoptent un style de vie occidental à Hong-Kong. De fait le mot d'argot qui désigne le cancer du sein veut dire « la maladie des femmes riches ». Car en Chine, seuls les gens les plus aisés peuvent se payer ce qu'on appelle là-bas « la nourriture Hong-Kong ».

 

Les chinois appellent toute la nourriture occidentale, depuis les crèmes glacées et les barres de chocolat jusqu'aux spaghettis et au feta, « nourriture Hong-Kong », à cause de son abondance dans l'ancienne colonie britannique et sa rareté en Chine continentale.

 

Donc c'était tout à fait plausible que la cause de mon cancer du sein, et sa fréquence effrayante dans notre pays en général, avait sans aucun doute un lien avec notre style de vie aisé en occident.

 

C'est un point important pour les hommes également. J'ai observé dans mes travaux que les données sur le cancer de la prostate mènent aux mêmes conclusions. D'après les chiffres de l'OMS, le nombre d'hommes atteints d'un cancer de la prostate dans les campagnes chinoises est négligeable (seulement 0,5 pour 100.000), alors qu'en Grande Bretagne le chiffre est 70 fois plus élevé. Comme le cancer du sein, c'est une maladie des classes moyennes qui affecte principalement les groupes les plus aisés, ceux qui ont les moyens de manger des nourritures riches.

 

Je me souviens avoir dit à mon mari : « Allons, Peter, tu reviens de Chine, alors qu'est-ce qui est si différent dans le mode de vie des chinois. Pourquoi n'ont-ils pas de cancer du sein ? »

 

Nous avons décidé de mettre en commun nos expériences scientifiques pour approcher le problème de façon logique. Nous avons regardé les données qui concernaient les graisses dans l'alimentation.

 

Les chercheurs ont trouvé dans les années 80 que les chinois en moyenne tirent seulement 14% de leurs calories des graisses, comparé à 36% en occident. Mais mon alimentation depuis des années, bien avant que je ne tombe malade, était pauvre en graisses et riche en fibres. En outre, je savais, en tant que scientifique, que la quantité de graisses ingérée par les adultes n'augmentait pas le risque de cancer du sein dans la plupart des études qui avaient suivi de nombreuses femmes pendant une douzaine d'années.

 

Puis un jour, il se produisit quelque chose de spécial. Peter et moi avions travaillé ensemble depuis tant d'années que je ne sais pas qui a dit le premier :  "Les chinois ne mangent pas de produits laitiers !"

 

Il est difficile d'expliquer aux non-scientifiques l'excitation soudaine à la fois intellectuelle et émotionnelle que l'on ressent lorsqu'on fait une découverte importante. C'est comme si vous aviez un tas de pièces d'un jeu de patience dans votre tête, et que soudain elles s'arrangent en quelques secondes en une image claire.

 

Alors, je me suis souvenue qu'un grand nombre de chinois ne tolèrent pas le lait, que beaucoup de chinois que j'avais rencontrés m'avaient toujours dit que seuls les bébés devraient boire du lait, et qu'une de mes amies, d'origine chinoise, avait toujours refusé poliment les plats de fromage aux repas. Je ne connaissais aucun chinois vivant un style de vie traditionnel qui utilisait des produits laitiers (de vache ou autre) pour nourrir leurs bébés. La tradition était d'utiliser une nourrice pour allaiter, mais jamais de produits laitiers. Les chinois trouvent notre attraction vers le lait et les produits laitiers très étrange.

 

Je me souviens d'une réception organisée pour une délégation de savants chinois peu après la fin de la Révolution Culturelle dans les années 80. Sur les conseils du Ministère des Affaires Etrangères, nous avions demandé au traiteur de servir un gâteau contenant beaucoup de crème glacée. Après s'être renseigné sur les ingrédients, tous les chinois présents, interprète compris, refusèrent poliment mais clairement de manger ce dessert, et rien ne put les faire changer d'avis. À l'époque, nous étions ravis de nous servir une deuxième portion !

 

J'ai découvert ensuite que le lait est l'une des causes principales des allergies alimentaires. Plus de 70% de la population mondiale est incapable de digérer le sucre du lait, le lactose, ce qui conduit les nutritionnistes à croire que c'est en fait un état normal pour les adultes, et non une sorte d'insuffisance. La nature essaie peut-être de nous dire que cette nourriture n'est pas faite pour nous.

 

Avant mon premier cancer du sein, je mangeais beaucoup de produits laitiers : du lait écrémé, du fromage allégé et des yaourts. C'était ma principale source de protéines. Je mangeais aussi de la viande hachée, maigre et pas chère, qui venait certainement de viande de vaches laitières. Pour faire face à la chimiothérapie du traitement de mon cinquième cancer, je mangeais des yaourts bios pour aider mon appareil digestif à guérir et reconstituer une faune de  "bonnes" bactéries.

 

Récemment, j'ai découvert que les yaourts étaient déjà soupçonnés de causer le cancer des ovaires en 1989. Le Dr Daniel Cramer, de l'Université de Harvard, a analysé les cas de centaines de femmes atteintes de cancer des ovaires, et leur avait demandé d'écrire en détail tout ce qu'elles mangeaient. J'aurais bien aimé être au courant de ces travaux à l'époque.

 

Après la découverte que Peter et moi avions faite sur le régime des chinois, je décidais d'abandonner immédiatement pas seulement les yaourts mais tous les produits laitiers. Les fromages, le beurre, le lait, les yaourts et tout ce qui contenait des produits laitiers : je m'en suis débarrassée dans l'évier ou dans la poubelle. C'est vraiment étonnant de voir combien de produits – soupes, biscuits, gâteaux, etc., contiennent des produits laitiers. Même de nombreuses marques de margarine, présentées comme "de soja, de tournesol ou d'olive" peuvent contenir des produits laitiers. Je me suis mise à lire attentivement les moindres informations sur les emballages alimentaires.

 

Jusqu'alors, j'avais régulièrement mesuré et enregistré l'évolution de ma cinquième tumeur avec un compas à calibrer. Malgré les encouragements et soutiens positifs des docteurs et infirmières, mes observations me révélaient la vérité brutale. Les premières séances de chimiothérapie n'avaient eu aucun effet : la tumeur ne diminuait pas.

 

Puis j'ai éliminé les produits laitiers. En quelques jours, la tumeur a commencé à rétrécir. Une semaine plus tard, la boule dans mon cou se mit à me démanger, puis elle devint plus molle et plus petite. Le graphe de mes enregistrements qui était resté stable, commençait nettement à descendre : la tumeur rétrécissait régulièrement.

 

Et, très nettement, le graphe ne suivait pas une courbe asymptotique, comme elle est censée faire pour le cancer, mais une ligne bien droite qui se dirigeait vers le zéro du graphe, indiquant une guérison, et non une disparition (ou rémission) de la tumeur.

 

Un samedi après-midi, environ six semaines après le début de mon régime sans produits laitiers, je fis une heure de méditation. À la fin, je palpai l'endroit où se trouvait la tumeur : je ne la sentais plus.

 

Pourtant j'avais l'habitude de détecter les tumeurs, et j'avais moi-même découvert mes cinq cancers. J'ai alors demandé à mon mari de palper mon cou. Il n'a pas trouvé de trace de grosseur non plus.

 

Le jeudi suivant je devais voir mon cancérologue à l'Hôpital Charing Cross à Londres. Il m'examina entièrement, surtout le cou, à l'endroit de la tumeur. Il fut d'abord étonné, puis ravi en m'annonçant "Je ne la trouve pas". Aucun de mes docteurs, apparemment, ne s'attendait à ce que quelqu'un avec mon type de cancer très avancé, étendu au système lymphatique, puisse survivre, et encore moins être en si bonne forme. Mon spécialiste était aussi content que moi. Lorsque j'ai commencé à lui parler de mes idées, il était sceptique naturellement. Mais je sais que maintenant il utilise dans ses cours des cartes montrant la mortalité des cancers en Chine, et recommande un régime sans produits laitiers à ses patient.

 

Je suis maintenant convaincue que le lien entre les produits laitiers et le cancer du sein est de même nature que le lien entre le tabac et le cancer du poumon. Je suis convaincue que la découverte du lien entre cancer du sein et produits laitiers, et l'adoption du régime spécifique pour conserver la santé de mes seins et de mon système hormonal, m'ont guérie.

 

Cela m'a été difficile, comme cela peut l'être pour vous, d'accepter qu'une substance aussi  "naturelle" que le lait puisse avoir un tel impact dramatique sur la santé. Mais je suis la preuve vivante que c'est le cas, et j'ai décidé de vous révéler les secrets de mon plan d'action.

 

Extrait de  "Your life in your hands", du Professeur Jane Plant, publié chez Virgin, © 2000 Jane Plant.

 

 

 

 

La chimiothérapie

 

Trois médecins sur quatre refuseraient la chimio pour eux-même ! (par Michel Dogna)

 

C'est une info qui a été publiée sur le site de la chaîne d'information libanaise «Al Manar». Selon elle, 75% des médecins refusent toute chimiothérapie sur eux-mêmes en cas de cancer en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l'organisme humain.

 

Ce sondage vient seulement confirmer ce que de nombreux médecins et scientifiques disent à propos de la chimiothérapie.

 

J'ai sélectionné pour vous quelques unes des déclarations les plus frappantes sur ce sujet et parues dans des ouvrages ou revues scientifiques.

 

« La majorité des patients atteints de cancer dans ce pays meurent à cause de la chimiothérapie, qui ne soigne ni les cancers du sein, ni ceux du côlon ou des poumons. Cela été consigné depuis plus de dix ans. Néanmoins, les médecins continuent à utiliser la chimiothérapie pour combattre ces tumeurs. » (Allen Lewin, MD, UCSF, « The Healing of Cancer », Marcus Books, 1990)

 

Le Dr Hardin Jones, conférencier à l'université de Californie, après avoir analysé pendant  plusieurs décennies les statistiques de survie au cancer, est parvenu à cette conclusion qui n'a jamais été réfutée : « … Quand ils ne sont pas traités, les patients ne vont pas plus mal, ils vont même mieux. » (Walter Last, « The Ecologist », vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)

 

« De nombreux oncologues recommandent la chimiothérapie pour presque tous les types de cancer, avec une foi qui n'est même pas ébranlée par des échecs presque constants. » (Albert Braverman, MD, « Medical Oncology in the 90s », Lancet, 1991, vol. 337, p. 901)

 

« Après tout, et pour une majorité bouleversante de cas, il n'y a aucune preuve que la chimiothérapie prolonge les attentes de survie. Et le grand mensonge de cette thérapie, c'est qu'il y a une corrélation entre la réduction des tumeurs et le prolongement de la vie du patient. » (Philip Day, « Cancer : Why we're still dying to know the truth », Credence Publications, 2000)

 

Il y a aussi cette édifiante enquête menée par plusieurs scientifiques à plein temps du Centre du Cancer Mac Gill. Ils ont envoyé à 118 médecins, tous experts du cancer du poumon, un questionnaire pour déterminer le niveau de confiance qu'ils avaient dans les thérapies qu'ils appliquaient; on leur a demandé d'imaginer qu'ils avaient eux-mêmes contracté la maladie et laquelle des six thérapies expérimentales actuelles ils choisiraient :

 

> Sur 79 médecins qui ont répondu, 64 ont dit qu'ils ne consentiraient pas à subir les  traitements contenant du cis-platine (un des médicaments chimio communs),

 

> 58 pensaient que ces thérapies expérimentales sont inacceptables en raison de leur inefficacité et de leur niveau élevé de toxicité. (Philip Day, « Cancer : Why we're still dying to know the truth », Credence Publications, 2000)

 

Le docteur Ulrich Abel, un épidémiologiste allemand de la Clinique des tumeurs de Heidelberg-Mannheim, a étudié et analysé de manière exhaustive les principales études et expérimentations cliniques effectuées sur la chimiothérapie. Il les a décrites comme désolantes du point de vue scientifique, et maintient qu'au moins 80% des chimiothérapies administrées dans le monde sont sans valeur.

 

L'institution médicale n'ignore pas les critiques que l'on peut faire à la chimiothérapie, alors, un plan B a été mis en œuvre depuis 2010 : « La cancérologie personnalisée ».  Un nouveau grand espoir ! De quoi s'agit-il ?

 

On va étudier les cancers selon des caractéristiques biomoléculaires, et l'on va procéder à des classifications – comme pour les groupes sanguins – et puis l'on va concocter des groupes de médicaments dits « personnalisés », en génie génétique, qui seront ensuite utilisés en fonction de chaque type de cancer.

 

Selon le professeur Jacques Lacaze, éminent cancérologue, nous sommes repartis pour 100 ans dans ce nouveau mirage avec à la clé une nouvelle manne de fric pour l'industrie pharmaceutique, aux dépens des malades (et des contribuables).

 

La prévention plutôt que le dépistage :

 

Le professeur Jacques Lacaze préconise plutôt la priorité absolue de la prévention…

 

« Un cancer a généralement une vie cachée de 8 ans en moyenne. Durant cette longue période, l'embryon de cancer est très vulnérable, un rien peut le faire capoter. TOUS les spécialistes admettent cette réalité, mais très peu d'entre eux préconisent une politique de prévention. L'étude SUVIMAX qui a duré 8 ans, a montré qu'une simple complémentation en vitamines et sels minéraux suffisait à faire baisser cette incidence de cancers d'environ 30%. Néanmoins, aucune conséquence en politique de santé publique n'en a été tirée.

 

Bien entendu, l'industrie pharmaceutique ne veut pas en entendre parler : on ne scie pas la branche sur laquelle on est assis. Quant au corps médical, il est sous la coupe des « grands patrons » qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par les laboratoires. La majorité des médecins de base suivent sans broncher ! Et malheur à ceux qui pensent le contraire ou qui contestent chimiothérapie, vaccins ou antibiothérapie.

 

Je dois ajouter, car cela correspond à ma pratique et à des études réelles faites par quelques services spécialisés, que de nombreux produits qualifiés de complémentaires ou alternatifs sont efficaces, mais interdits et pourchassés par les autorités aux ordres de l'industrie pharmaceutique. »

 

Nota : il suffit de consulter mon site www.micheldogna.fr pour découvrir les moyens thérapeutiques que j'utilise et préconise depuis plusieurs années, ceux-là même qu'aucun médecin n'a le droit de proposer… Ce ne sont pas les seuls, mais ce sont ceux dont j'ai l'expérience.

 

Curiosité en prime : une heure supplémentaire de crémation est nécessaire pour ceux qui ont reçu des chimio.

 

 

 

 

L'Artemisia annua

 

Contre le palu... et le cancer ! (Par Michel Dogna)

 

L'Artemisia annua est une plante aromatique qui a été utilisée par la médecine chinoise en tant que puissant remède du paludisme, maladie qui, en dépit des statistiques officielles, reste la plus ravageuse de la planète. L'artémisine est le principe actif de cette plante. On vient de se rendre compte de sa stupéfiante efficacité contre le cancer du poumon et du sein. À condition d'y ajouter du fer.

 

La Revue des Sciences de la Vie (USA) a présenté une vaste étude de l'Université de Washington, menée par les Drs Narenda Singh et Henry Lai sur l'artémisine. Elle a découvert au départ que l'artémisine pouvait détruire rapidement près de 30% des cellules cancéreuses du poumon. Mais en la combinant avec du fer, elle éradique jusqu'à 98% des cellules cancéreuses, en seulement 16 heures !

 

En plus, la consommation de cette plante n'a aucun impact sur les cellules pulmonaires saines en raison du fer qui se joint sélectivement au tissu cancérisé, ceci favorisant l'attaque ciblée de l'artémisine.

 

Le rapport précise que selon les résultats, « l'artémisine arrête le facteur de transcription "E2F1" et intervient dans la destruction des cellules cancéreuses du poumon, ce qui signifie qu'elle présente un moyen de transcription selon lequel l'artémisine contrôle la croissance des cellules cancéreuses ».

 

Une autre étude a été menée sur des échantillons de tumeurs mammaires cancéreuses in vitro. Vu que ces cellules ont aussi une forte propension à accumuler le fer, il a aussi été associé du fer à l'artémisine. Il a ainsi été obtenu un taux de 75 % de destruction du cancer après seulement 8 heures et presque 100% en seulement 24 heures.

 

Depuis, de nombreuses expériences ont été menées sur différents cancers (prostate, intestins….), et jusqu'à présent elles ont toutes prouvé que l'artémisine combinée au fer détruisait sélectivement les tumeurs cancéreuses, ce qui a fait définir l'artémisine - par le Dr Len Saput -, comme « une bombe intelligente pour le cancer ».

 

NOTA : Concernant le paludisme, les bio-ingénieurs Henry Lai et Narendra Singh, de l'Université de Washington, ont été les premiers scientifiques à expliquer que le parasite du paludisme ne peut pas survivre en présence d'artémisine, étant donné qu'il est très riche en fer.

 

Source : Healthy Food House

 

L'historique des travaux sur l'Artemisia annua :

 

C'est à la suite des ravages du paludisme dans les rangs de l'armée nord-vietnamienne que Mao Tsé Toung a mis en route en 1967, en pleine révolution culturelle, le "projet 523" (ainsi nommé parce qu'il a été lancé le 23 Mai 1967). C'était un programme secret de recherche sur le traitement du paludisme, basé sur l'étude des traitements de la médecine traditionnelle chinoise.

 

L'Académie de Médecine Traditionnelle Chinoise a confié cette recherche à l'un de ses membres, Youyou Tu, jeune pharmacienne âgée de 36 ans, dont le nom est resté totalement ignoré jusque dans les années récentes. Ce n'est qu'en 2005 que Youyou Tu a été associée à la découverte de l'artémisine, et qu'elle est devenue célèbre. En 2011, Youyou Tu a reçu le prestigieux prix Lasker DeBakey Clinical Research. Elle a rassemblé plusieurs milliers de recettes à base d'herbe ; elle a évalué 380 extraits de différentes plantes, parmi lesquelles l'Artémisia annua (ou Qinghao), qui était connue depuis très longtemps pour son efficacité pour traiter la fièvre récurrente.

 

Les premiers résultats obtenus par Youyou Tu ont été décevants, car les extraits étaient préparés avec de l'eau bouillante qui détruisait les composants actifs.

 

• C'est en 1971, en réalisant une extraction par de l'éther à basse température, qu'elle a obtenu des extraits qu'elle a testés en laboratoire sur des souris et des singes infectés par le parasite, avec une efficacité pratiquement de 100% (92% exactement). Après avoir vérifié sur elle-même l'innocuité de l'extrait, elle l'a testé « sur l'humain » au travers de 21 patients impaludés, qui ont été guéris à 90%.

 

• En 1972, elle a isolé une substance considérée comme l'élément actif de l'Artémisia annua, et lui a donné le nom d'artémisine (ou Qinghaosu, le suffixe su signifiant « la substance active »). Mais on peut encore noter que les premiers essais positifs avaient été faits avec de l'Artémisia annua produite dans la région de Pékin, contenant peu d'artémisine. Comme Youyou Tu désirait disposer de beaucoup d'artémisine, elle a ensuite utilisé de l'Artémisia annua provenant de la région du Sichuan, très riche en artémisine, avec des résultats cliniques identiques, ce qui suggère encore que la concentration optimale en artémisine n'est pas nécessairement la concentration maximale...

 

• En 1975, Youyou Tu a déterminé la structure de la molécule d'artémisine (sesquiterpène lactone).

 

• En 1979, la publication d'un article dans le Chinese Medical Journal fit connaitre l'artémisine.

 

• En 1981, le 4ème congrès du Groupe de Travail Scientifique sur la Chimiothérapie du Paludisme, sponsorisé par le PNUD, la Banque Mondiale et l'OMS, se tint à Pékin. L'artémisine devint connue dans le monde entier, et elle souleva l'intérêt des grandes firmes pharmaceutiques, qui produisirent les dérivés semi-synthétiques que l'on connait (artésunate hydrosoluble, arthémeter liposoluble…), aboutissant en 1986 à la mise sur le marché des premiers médicaments à base d'artémisine. Devant l'efficacité du produit, en 2004 l'OMS en fit la promotion à grande échelle, et recommanda son utilisation en association avec d'autres molécules « classiques » (les ACT, ou Artemisinin Combined Therapy).

 

• Enfin, en 2011, l'OMS recommanda l'utilisation de l'artésunate en monothérapie par voie intraveineuse au lieu de sels de quinine dans le traitement du paludisme grave de l'enfant.

 

Formes galéniques et mode d'utilisation :

 

L'artémisine est présente surtout dans les feuilles, mais les flavonoïdes résident surtout dans les tiges de l'Artémisia annua ; il est donc préférable de prélever non seulement les feuilles mais aussi les tigelles de la plante pour faire la poudre ou la tisane.

 

Les feuilles d'armoise annuelle doivent pouvoir se trouver en herboristerie et peut-être en pharmacie – mais attention ! Ne vous laissez pas vendre de l'armoise vulgaire (très courante) à la place de l'annuelle, ce n'est pas la même et elle ne marchera pas !

 

En l'occurrence, il existe autour de 50 variétés d'armoise, dont certaines sont dangereuses.

 

- L'Artémisia annua en poudre est nettement plus efficace que la tisane ; c'est pour cela que je ne m'étendrai pas sur la formule infusion.

 

- Les feuilles avec leur tigelle, doivent être séchées à l'ombre dans un endroit aéré pendant au moins 5 jours. On les réduit ensuite en poudre fine avec un blinder.

 

La dose journalière est entre 500 mg et 1 000 mg.

 

Il est possible de trouver facilement de l'armoise en gélules de 250 mg, mais c'est en principe toujours de la vulgaris – donc pas bon.

 

Vous en trouverez "de la bonne" en suivant ce lien :

http://www.laboratoiresbimont.fr/artemisia_375.68.htm

ou ici :

https://www.biologiquement.com/bio/artemisia-annua-armoise-annuelle-anti-cancer/?wpam_id=1

 

Le fer associé sous quelle forme ?

Celui-ci doit être facilement biodisponible. On peut choisir donc entre :

1. Fer :

http://www.djform.fr/sante-au-naturel/oligo-elements-catalyons/catalyons-unitaires/fer-catalyons-614.html

 

2. Ferryon de Catalyons :

http://www.djform.fr/sante-au-naturel/oligo-elements-catalyons/catalyons-complexes/feryon-catalyons-634.html

 

3. Ou dans la poudre de feuilles de Moringa bio (3 cuil. à café par jour à saupoudrer sur les crudités et les aliments après cuisson) :

https://www.biologiquement.com/biologique/poudre-feuilles-moringa-bio/?wpam_id=1

 

Ultime solution : acheter des graines pour les cultiver.

 

Les graines d'Artemisia annua sont très petites (plus de 10 000 graines par gramme) et il est conseillé de les mélanger avec du sable fin ou de la cendre (une cuillerée de graines pour 5 à 6 cuillerées de sable ou de cendre) avant de semer. Il faut semer fin avril dans une boite remplie de terre meuble et bien arrosée. Pour conserver l'humidité, on peut recouvrir le semis avec un plastique transparent.

 

Un repiquage en pots est nécessaire ; on le réalise lorsque le semis devient trop dense, habituellement 3 à 4 semaines après le semis, ou lorsque les plants atteignent 4 cm de haut, en repiquant chaque plant dans de petits pots (type pots de yaourt). Puis quand les plants ont atteint une hauteur de 15 cm, ou que 5 à 6 feuilles ont poussé, on peut repiquer en pleine terre.

 

Le repiquage en pleine terre se fait habituellement après 3 nouvelles semaines. Après avoir préparé la terre, on repique tout le contenu du pot, en espaçant suffisamment les plants (80 cm). Il faut arroser et désherber au début ; par la suite aucun traitement particulier n'est nécessaire. En France, la plante peut atteindre une hauteur de 1,5 à 2 mètres. Avec 5 g de graines on peut couvrir 1 ha.

 

La récolte des feuilles se fait à la fin du mois d'août.

 

Pour vous procurer les graines (un créneau thérapeutique porteur pour les cultivateurs en herbes), vous pouvez aller sur un site :

http://www.alsagarden.com/fr/205-artemisia-annua-armoise-graines.html#sthash.3ckLTnhS.dpbsT

 

Coût : environ 4,25 € les 50 graines

 

Attention : Les conseils prodigués dans cet article ne vous dispensent pas de consulter un praticien des médecines alternatives. Vous pourrez en trouver un près de chez vous et prendre rendez-vous sur: annuaire-therapeutes.com

 

 

 

 

La plante qui combat le cancer

 

Article traduit du site voceuniversale.myblog.it :

 

L'arbre Graviola vient des profondeurs de la forêt amazonienne. Des recherches en laboratoire ont montré que des extraits de cette plante miraculeuse peut lutter contre le cancer avec un traitement entièrement naturel qui ne provoque ni nausées, ni perte de poids et ni perte de cheveux, de protéger le système immunitaire et d'éviter les infections mortelles, les personnes se sentent plus forts et plus sains tout au long du traitement, plus d'énergie et améliore la vision de la vie.

 

Graviola est un petit arbre typique des régions tropicales chaudes caractérisées par de grandes feuilles vertes et des fruits comestibles jaune-vert, vendus sur les marchés d'Amérique du Sud sous le nom de Guanabana et utilisé dans la préparation de certaines boissons.

 

Les résultats ont permis d'identifier les ingrédients actifs spécifiques appelées Annonaceae acétogénines, les protagonistes des propriétés biologiques de cette plante.

 

Les résultats encourageants observés dans un court laps de temps a conduit à une expérimentation en plein essor qui compte aujourd'hui plus de 600 études avec d'excellents résultats et qui, malheureusement, n'a pas été accompagnée par une utilisation tout aussi valable dans un cadre cliniquement possible.

 

Le fruit ressemble à une fragolone vert et sa saveur est agréable. C'est un fruit naturel et sans effets secondaires. Cette plante a de nombreux avantages anti-cancer. C'est également un agent antimicrobien, contre les infections, les infections bactériennes et fongiques, abaisse la pression artérielle, il est utilisé pour les troubles de la dépression, le stress et nervosité.

 

Depuis 1976, Graviola s'est avéré être un tueur de cancer extrêmement puissant dans 20 tests de laboratoires indépendants. Une étude publiée dans le Journal of Natural Products, suite à une enquête similaire menée par l'Université catholique de Corée du Sud a déclaré que Graviola peut tuer sélectivement les cellules cancéreuses du côlon avec une capacité supérieure à 10.000 médicaments de chimiothérapie couramment utilisé comme l'Adriamycine.

 

Le rapport de l'Université catholique de Corée du Sud a déclaré que Graviola pouvait cibler sélectivement les cellules cancéreuses, laissant intactes les cellules saines, contrairement à la chimiothérapie, qui visent indistinctement toutes les cellules qui se reproduisent activement et provoque des effets secondaires souvent dévastateurs, des nausées et perte de cheveux chez les patients cancéreux.

 

Une étude menée à l'Université de Purdue à Lafayette (États-Unis) a récemment découvert que les feuilles de l'arbre Graviola pouvait tuer les cellules cancéreuses chez six lignées cellulaires humaines et elles sont particulièrement efficaces contre les cancers de la prostate, du pancréas et du poumon. Le corossol (son nom en anglais), connu en Italie comme le fruit de Graviola est donc un remède miracle (et naturel) pour éradiquer les cellules cancéreuses, 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie.

 

Les tests de laboratoire effectués depuis 1970 ont montré son efficacité, et tuer les cellules malignes dans 12 types de cancer, y compris le côlon, du sein, de la prostate, du poumon et du pancréas, et est jusqu'à 10.000 fois plus forte en ralentissant la croissance des cellules cancéreuses par rapport à l'Adriamycine, un médicament de chimiothérapie couramment utilisé dans le traitement du cancer. Contrairement à la chimiothérapie, le composé extrait de l'arbre Graviola tue seulement les cellules cancéreuses sans nuire aux cellules saines.

 

Une importante société pharmaceutique américaine a alors investi près de sept ans à essayer de synthétiser deux des ingrédients anti-cancer Graviola. Mais il n'a pas été possible de synthétiser en aucune façon les ingrédients actifs de Graviola contre le cancer. L'original tout simplement n'a pas pu être reproduit. Il n'y avait aucune façon dont la société pharmaceutique en question avait été en mesure de protéger leurs propres intérêts, et récupérer l'argent investi dans la recherche. Cette société pharmaceutique a abandonnée le projet et a alors décidée de ne pas publier les résultats de ses recherches.

 

Le National Cancer Institute a effectué la première recherche scientifique en 1976. Les résultats ont montré que les feuilles et les tiges de Graviola se sont révélés efficaces pour attaquer et détruire les cellules malignes. Inexplicablement, les résultats ont été publiés dans un rapport interne, mais jamais rendus publics.

 

Voici un lien trouvé, sans certitude sur la valeur de ce dernier (faites des recherches sur internet) :

http://www.biologiquement.com/produits-bio/corossol-graviola-poudre/

 

 

 

 

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